Préparation du match
« Nous n’avons pas pu beaucoup travailler. Le match contre la Tunisie a été difficile, on a beaucoup récupéré, le staff médical a du beaucoup travailler ».
Problème défensif
« Le résultat est quand même là. J’ai de grands défenseurs, les éliminatoires, les statistiques ont montré que je n’ai pris que deux buts. On a joué aussi avec des adversaires véloces, il y a eu énormément de qualité. Ma ligne défensive a fait ses preuves. Le Zimbabwe est une belle équipe, on prépare sereinement ce match, nous allons vers un match difficile mais intéressant pour les deux côtés ».
L’équipe du Zimbabwe en question
« Le Zimbabwe, a une belle équipe, il y a 16 équipes à la CAN, il n’y pas de petites équipes, nous allons vers un match difficile. Contre l’Algérie ça a surpris beaucoup de gens, mais moi personnellement non, leur prestation ne me surprend pas, je les surveille depuis un bon bout de temps. L’importance de ce deuxième match, est que chacun aura sa chance de passer. Ils sont souvent compliqués à maîtriser les deuxièmes matchs, et ils sont souvent décisifs. Donc nous le préparons. Le Zimbabwe aura sa chance, mais nous sommes aussi déterminés à passer ce deuxième tour. Ma philosophie que je fais passer à mon équipe c’est match par match. Le Zimbabwe est une équipe technique, dotée d'une belle qualité technique, physique et athlétique. Capable de se projeter rapidement. Ils ont l’habitude de jouer en Afrique, s’ils sont là, ce n’est pas par hasard. Mais nous on fait partie des meilleures équipes africaines, maintenant un match c’est 90 minutes. On ne sous estime personne. Nous avons à cœur de passer ce premier tour ».
Blessures
« Les médecins ont bien travaillé, les 23 joueurs sont disponibles à prendre part au match de demain ».
Coach Africains contre entraîneurs étrangers
« C’est toujours ce débat là qui ne finit jamais entre coach. C’est des questions à poser à nos fédéraux, c’est eux qui choisissent. Sur le continent africain, il y a de très grands entraîneurs, ça c’est sûr et certain. Je suis juste entraîneur, le football est universel, il n’y a pas de couleur, de race, je ne fais pas partie de ceux qui veulent polémiquer ou amener un débat sur ça. L’expertise n’a pas de couleur, le football est une discipline où il y a différentes personnes et ethnies, le débat ne m'intéresse pas et je n’ai pas envie de rentrer dedans... »
Problèmes de la libération des joueurs par leurs clubs :
« C’est un gros problème qui dure depuis des années, c’est la CAF qui doit prendre ses responsabilités dans ce sens. Pour une CAN avec un bon niveau, les équipes doivent jouer avec leurs meilleurs joueurs. Surtout celles africaines ayant la plupart de leurs joueurs à l’étranger. Cette bataille a toujours été là, quand il s’agit d’un sud américain ou un européen il n’a pas de soucis. Nous devons nous faire respecter par les clubs européens. On a un nouveau président à la FIFA, j’ai l’impression que sa politique va dans le sens de notre continent. Nous espérons que nos droits seront de plus en plus respectés. On a une confédération qui devrait maintenant aider à ce que les clubs respectent plus notre continent ».
« Nous n’avons pas pu beaucoup travailler. Le match contre la Tunisie a été difficile, on a beaucoup récupéré, le staff médical a du beaucoup travailler ».
Problème défensif
« Le résultat est quand même là. J’ai de grands défenseurs, les éliminatoires, les statistiques ont montré que je n’ai pris que deux buts. On a joué aussi avec des adversaires véloces, il y a eu énormément de qualité. Ma ligne défensive a fait ses preuves. Le Zimbabwe est une belle équipe, on prépare sereinement ce match, nous allons vers un match difficile mais intéressant pour les deux côtés ».
L’équipe du Zimbabwe en question
« Le Zimbabwe, a une belle équipe, il y a 16 équipes à la CAN, il n’y pas de petites équipes, nous allons vers un match difficile. Contre l’Algérie ça a surpris beaucoup de gens, mais moi personnellement non, leur prestation ne me surprend pas, je les surveille depuis un bon bout de temps. L’importance de ce deuxième match, est que chacun aura sa chance de passer. Ils sont souvent compliqués à maîtriser les deuxièmes matchs, et ils sont souvent décisifs. Donc nous le préparons. Le Zimbabwe aura sa chance, mais nous sommes aussi déterminés à passer ce deuxième tour. Ma philosophie que je fais passer à mon équipe c’est match par match. Le Zimbabwe est une équipe technique, dotée d'une belle qualité technique, physique et athlétique. Capable de se projeter rapidement. Ils ont l’habitude de jouer en Afrique, s’ils sont là, ce n’est pas par hasard. Mais nous on fait partie des meilleures équipes africaines, maintenant un match c’est 90 minutes. On ne sous estime personne. Nous avons à cœur de passer ce premier tour ».
Blessures
« Les médecins ont bien travaillé, les 23 joueurs sont disponibles à prendre part au match de demain ».
Coach Africains contre entraîneurs étrangers
« C’est toujours ce débat là qui ne finit jamais entre coach. C’est des questions à poser à nos fédéraux, c’est eux qui choisissent. Sur le continent africain, il y a de très grands entraîneurs, ça c’est sûr et certain. Je suis juste entraîneur, le football est universel, il n’y a pas de couleur, de race, je ne fais pas partie de ceux qui veulent polémiquer ou amener un débat sur ça. L’expertise n’a pas de couleur, le football est une discipline où il y a différentes personnes et ethnies, le débat ne m'intéresse pas et je n’ai pas envie de rentrer dedans... »
Problèmes de la libération des joueurs par leurs clubs :
« C’est un gros problème qui dure depuis des années, c’est la CAF qui doit prendre ses responsabilités dans ce sens. Pour une CAN avec un bon niveau, les équipes doivent jouer avec leurs meilleurs joueurs. Surtout celles africaines ayant la plupart de leurs joueurs à l’étranger. Cette bataille a toujours été là, quand il s’agit d’un sud américain ou un européen il n’a pas de soucis. Nous devons nous faire respecter par les clubs européens. On a un nouveau président à la FIFA, j’ai l’impression que sa politique va dans le sens de notre continent. Nous espérons que nos droits seront de plus en plus respectés. On a une confédération qui devrait maintenant aider à ce que les clubs respectent plus notre continent ».