Le ministre des Sports Abdoulaye Makhtar Diop a proposé samedi au Comité national de gestion (CNG) de la lutte d’expérimenter ‘’la lettre d’habilitation’’, pour mettre fin aux abus dans les contrats liant les lutteurs aux promoteurs de lutte.
‘’Même si vous reconnaissez les mandataires des écoles et des écuries, il faut créer une lettre d’habilitation, qui dit que X, responsable de l’écurie Y, habilite Z à signer, au titre de la saison 2012, pour tous les contrats des lutteurs de ladite écurie, à percevoir les avances, et cela en présence d’une autorité déléguée par le CNG’’, a proposé M. Diop lors d’une rencontre avec les membres de l’instance de gestion de la lutte.
‘’Il ne faut plus qu’un promoteur signe un contrat avec un lutteur ou son représentant et donne une avance en dehors du CNG’’, a-t-il dit.
La lettre d’habilitation doit préciser que ‘’toute opération faite en dehors de ce cadre est nulle et non avenue’’, a indiqué le ministre des Sports.
Une affaire aux relents d’abus de confiance défraye la chronique depuis plusieurs mois, un lutteur engagé dans un combat soutenant n’avoir jamais perçu la somme d’argent représentant son avance. Le promoteur de lutte, qui a monté l’affiche, soutient avoir bien remis l’argent à un représentant officiel du lutteur en question.
L’affaire est pendante devant les services judiciaires
( APS )
‘’Même si vous reconnaissez les mandataires des écoles et des écuries, il faut créer une lettre d’habilitation, qui dit que X, responsable de l’écurie Y, habilite Z à signer, au titre de la saison 2012, pour tous les contrats des lutteurs de ladite écurie, à percevoir les avances, et cela en présence d’une autorité déléguée par le CNG’’, a proposé M. Diop lors d’une rencontre avec les membres de l’instance de gestion de la lutte.
‘’Il ne faut plus qu’un promoteur signe un contrat avec un lutteur ou son représentant et donne une avance en dehors du CNG’’, a-t-il dit.
La lettre d’habilitation doit préciser que ‘’toute opération faite en dehors de ce cadre est nulle et non avenue’’, a indiqué le ministre des Sports.
Une affaire aux relents d’abus de confiance défraye la chronique depuis plusieurs mois, un lutteur engagé dans un combat soutenant n’avoir jamais perçu la somme d’argent représentant son avance. Le promoteur de lutte, qui a monté l’affiche, soutient avoir bien remis l’argent à un représentant officiel du lutteur en question.
L’affaire est pendante devant les services judiciaires
( APS )