Le Code électoral ne prévoit pas de duplicata de la carte d’électeur, pour se conformer à la précaution prise par les partis politiques pour éviter les périls, a rappelé le ministre des Elections, Cheikh Guèye, qui a fait part de sa vigilance pour les échéances électorales de 2012.
Mercredi, M. Guèye a défendu, devant le Sénat, son budget pour l’année 2012 concernant les élections présidentielle, législatives et sénatoriales, une allocation chiffrée à 16,830 milliards de francs CFA et adoptée à l’unanimité par les sénateurs.
‘’La carte d’électeur n’est pas la carte d’identité qui est une carte permanente. Car, à chaque fois que vous la perdez, vous pouvez avoir une autre’’, a précisé le ministre selon qui, la carte d’électeur est politiquement chargée.
Selon lui, il faut une surveillance avec toutes les mesures idoines pour éviter des suspicions. ‘’Si on perd la carte d’électeur, le citoyen ne pourra pas voter. Je demande vraiment à tout citoyen la vigilance’’, a lancé comme appel, le ministre chargé des Elections.
‘’Pour la carte d’électeur, l’individu n’en a besoin que lors du jour du vote car si c’est perdu, le citoyen ne pourra plus accomplir son devoir de vote’’, a-t-il insisté. Pour lui, faire un duplicata en dehors des élections est une chose difficile et cela pourrait créer des suspicions.
La seule carte d’électeur ne permet pas au citoyen de voter, a souligné le ministre rappelant la nécessité de disposer des deux documents jumelés, en même temps. ‘’Le code le dit de manière claire pour les niveaux de contrôle’’, a signalé Cheikh Guèye.
Il a rappelé que ce sont les partis qui se sont réunis lors de la revue du code électoral pour en décider ainsi. ‘’A l’époque, il y a avait plusieurs documents valables. Mais, les politiciens se sont dit que cela est dangereux’’, a-t-il dit.
Comme documents valables, pour éviter toute suspicion, la carte d’identité numérisée, ainsi que la carte qui contient les mêmes éléments, sont les instruments qui permettent d’identifier correctement l’électeur.
‘’Cela n’existe presqu’au Sénégal en plus de la photo sur la carte d’électeur et celle sur la carte d’identité’’, a relevé Cheikh Guèye qui a été nommé, fin juillet dernier, ministre chargé des Elections.
Il était jusque-là le Directeur général des élections, un poste créé en mars 1998 par le président Abdou Diouf. M. Guèye était resté à la DGE, depuis sa création. Il est inspecteur d’Etat de classe exceptionnelle.
Sous sa direction, la DGE a organisé les deux tours de l’élection présidentielle de 2000, le référendum et les élections législatives de 2001, l’élection présidentielle et les élections législatives et sénatoriales de 2007, ainsi que les élections locales de 2009.
( APS )
Mercredi, M. Guèye a défendu, devant le Sénat, son budget pour l’année 2012 concernant les élections présidentielle, législatives et sénatoriales, une allocation chiffrée à 16,830 milliards de francs CFA et adoptée à l’unanimité par les sénateurs.
‘’La carte d’électeur n’est pas la carte d’identité qui est une carte permanente. Car, à chaque fois que vous la perdez, vous pouvez avoir une autre’’, a précisé le ministre selon qui, la carte d’électeur est politiquement chargée.
Selon lui, il faut une surveillance avec toutes les mesures idoines pour éviter des suspicions. ‘’Si on perd la carte d’électeur, le citoyen ne pourra pas voter. Je demande vraiment à tout citoyen la vigilance’’, a lancé comme appel, le ministre chargé des Elections.
‘’Pour la carte d’électeur, l’individu n’en a besoin que lors du jour du vote car si c’est perdu, le citoyen ne pourra plus accomplir son devoir de vote’’, a-t-il insisté. Pour lui, faire un duplicata en dehors des élections est une chose difficile et cela pourrait créer des suspicions.
La seule carte d’électeur ne permet pas au citoyen de voter, a souligné le ministre rappelant la nécessité de disposer des deux documents jumelés, en même temps. ‘’Le code le dit de manière claire pour les niveaux de contrôle’’, a signalé Cheikh Guèye.
Il a rappelé que ce sont les partis qui se sont réunis lors de la revue du code électoral pour en décider ainsi. ‘’A l’époque, il y a avait plusieurs documents valables. Mais, les politiciens se sont dit que cela est dangereux’’, a-t-il dit.
Comme documents valables, pour éviter toute suspicion, la carte d’identité numérisée, ainsi que la carte qui contient les mêmes éléments, sont les instruments qui permettent d’identifier correctement l’électeur.
‘’Cela n’existe presqu’au Sénégal en plus de la photo sur la carte d’électeur et celle sur la carte d’identité’’, a relevé Cheikh Guèye qui a été nommé, fin juillet dernier, ministre chargé des Elections.
Il était jusque-là le Directeur général des élections, un poste créé en mars 1998 par le président Abdou Diouf. M. Guèye était resté à la DGE, depuis sa création. Il est inspecteur d’Etat de classe exceptionnelle.
Sous sa direction, la DGE a organisé les deux tours de l’élection présidentielle de 2000, le référendum et les élections législatives de 2001, l’élection présidentielle et les élections législatives et sénatoriales de 2007, ainsi que les élections locales de 2009.
( APS )