Les communautés locales de Bargny s'insurgent contre l'implantation de la centrale à charbon de Sendou. En conférence de presse ce vendredi, elles estiment que les activités génératrices de revenus et les moyens de subsistance
de plus de 1000 femmes ainsi que des travailleurs saisonniers sont menacés. La cohabitation est d'autant plus difficile car la centrale à charbon cause des contraintes et de multiples nuisances et ne répond pas aux normes respectueuses de l'environnement.
Depuis 2010, Lumière Synergie pour le Développement soutient les communautés
locales de Bargny au Sénégal qui luttent contre cette implantation.
Pour rappel, le projet Sendou correspond à une centrale à charbon d’une puissance de 125
mégawatts, située à 35 km de Dakar, à Bargny (Sénégal). Il a été approuvé en 2009 et financé par des Banques comme la BAD, la Banque Néerlandaise de développement (FMO),
la BOAD.
Mis en place à l'époque pour résorber l'énorme gap énergétique du pays, il constitue aujourd'hui l’un des projets les
plus problématiques dans le portefeuille de ces banques.
Les communautes locales comptent durcir le ton dans les prochains jours en initiant un plan d'action pour se faire entendre.
de plus de 1000 femmes ainsi que des travailleurs saisonniers sont menacés. La cohabitation est d'autant plus difficile car la centrale à charbon cause des contraintes et de multiples nuisances et ne répond pas aux normes respectueuses de l'environnement.
Depuis 2010, Lumière Synergie pour le Développement soutient les communautés
locales de Bargny au Sénégal qui luttent contre cette implantation.
Pour rappel, le projet Sendou correspond à une centrale à charbon d’une puissance de 125
mégawatts, située à 35 km de Dakar, à Bargny (Sénégal). Il a été approuvé en 2009 et financé par des Banques comme la BAD, la Banque Néerlandaise de développement (FMO),
la BOAD.
Mis en place à l'époque pour résorber l'énorme gap énergétique du pays, il constitue aujourd'hui l’un des projets les
plus problématiques dans le portefeuille de ces banques.
Les communautes locales comptent durcir le ton dans les prochains jours en initiant un plan d'action pour se faire entendre.