Les accusations datent de mai et les agressions présumées se seraient produites dans la région centrale de Kemo, a précisé le porte-parole de l'ONU Stéphane Dujarric.
L'une des victimes n'a que 12 ans et l'autre "moins de 18 ans", a précisé un responsable de l'ONU sous couvert de l'anonymat. C'est une organisation non gouvernementale qui a transmis ces informations à l'ONU, selon ce responsable.
Le porte-parole n'a pas précisé le nombre de Casques bleus soupçonnés de ces abus ni leur nationalité. Mais les soldats de la mission de l'ONU en Centrafrique (Minusma) déployés dans la région de Kemo viennent du Gabon et du Burundi.
L'ONU va transmettre ces allégations aux pays concernés et leur demander d'envoyer des enquêteurs sur place pour établir les faits.
L'une des victimes n'a que 12 ans et l'autre "moins de 18 ans", a précisé un responsable de l'ONU sous couvert de l'anonymat. C'est une organisation non gouvernementale qui a transmis ces informations à l'ONU, selon ce responsable.
Le porte-parole n'a pas précisé le nombre de Casques bleus soupçonnés de ces abus ni leur nationalité. Mais les soldats de la mission de l'ONU en Centrafrique (Minusma) déployés dans la région de Kemo viennent du Gabon et du Burundi.
L'ONU va transmettre ces allégations aux pays concernés et leur demander d'envoyer des enquêteurs sur place pour établir les faits.