DAKARACTU.COM En dépit des apparences, les relations en "haut lieu" sont toujours "tendues". Depuis quelques temps, ils sont nombreux à se perdre dans des conjectures et autres interprétations, les unes plus erronées que les autres. Mais Dakaractu a essayé d’en savoir un peu plus, au-delà des apparences et bruits de couloirs.
De nos investigations, menées non sans difficultés eu égard à, comme qui dirait une "loi de l'omerta", nous sommes parvenus à tirer quelques vers du nez de certains proches du régime bien au parfum de ce que d'aucuns appellent prosaïquement le "cas Mimi".
Selon une de nos interlocutrices qui côtoie l'actuel "homme fort du pays" depuis la période des vaches maigres, il faut se poser la question de savoir le pourquoi du maintien des élections locales prévues pour le 29 juin prochain? La réponse qui semble couler de source est que "le chef de l’État entend tout simplement réajuster le gouvernement aussitôt après".
Autrement, s'accordent à dire nos sources, quelle que soit le cas de figure, la bonne dame qui a succédé à Abdoul Mbaye à la Primature "ne survivra pas aux locales".
Quid de la véritable pomme de discorde?
Il ressort de nos investigations qu'il faut intégrer ses points saillants révélés il y' a quelques temps de cela par le jeune Mambaye Niang, lequel est décrit, à tord ou à raison, comme un "proche parmi les proches du PR". En d'autres termes, "il faut prendre en compte ses rares sorties notamment à travers les médias".
"Mambaye n'a pas tout faux de dire que lors de la traversée du désert, Mimi était encore dans une institution". Pour ainsi dire que le Président de la République a tiré la bonne dame du néant, c'est à dire qu'elle a été aidée par Macky "himself" à acquérir son ascension somme toute enviable.
Malheureusement, Mme le Premier Ministre chercherait ‘’à noyauter le parti, à placer discrètement un peu partout ses éléments. Et le Président n'est pas sans le savoir".
En d'autres termes, il est reproché à la dame de chercher à avoir un réseau. Son propre réseau. Poussant le bouchon plus loin, d'aucuns dans le parti soutiennent en catimini que Mimi, qui "souffre de crédibilité politique dans le parti et de loyauté", aurait "usé et abusé de certains, comme un certain Mor Ngom" aux fins d'arriver à ce standing. A quelles fins ? Est ce pour croiser le fer au "Macky" lors de la prochaine Présidentielle? Mystère et boule de gomme !
Qui plus est, nous avons appris que le fait qu'elle ait surpris plus d'un dans la formation marron en convoquant une réunion exécutive du parti en l'absence du patron, (alors en voyage), a été mal vu par le boss.
D'aucuns, disons plutôt les détracteurs de Mimi, ont saisi cette opportunité pour ne pas dire cette bourde pour aller mâchouiller l’ouïe du boss sur ses "intentions sournoises".
A titre illustratif, les pourfendeurs de la bonne dame, ont alors brandi ce magazine qui classait Mimi parmi les 100 personnalités les plus influentes au monde, "alors qu'elle est sous ordre du patron, tenue de définir la politique du chef de l'Etat".
Il s'y ajoute également le fait que Mimi entend croiser le fer avec le propre frère de la Première Dame "ne plaide pas en sa faveur" pour reprendre nos sources.
Survivra, survivra pas ? Le temps, reste meilleur juge !
De nos investigations, menées non sans difficultés eu égard à, comme qui dirait une "loi de l'omerta", nous sommes parvenus à tirer quelques vers du nez de certains proches du régime bien au parfum de ce que d'aucuns appellent prosaïquement le "cas Mimi".
Selon une de nos interlocutrices qui côtoie l'actuel "homme fort du pays" depuis la période des vaches maigres, il faut se poser la question de savoir le pourquoi du maintien des élections locales prévues pour le 29 juin prochain? La réponse qui semble couler de source est que "le chef de l’État entend tout simplement réajuster le gouvernement aussitôt après".
Autrement, s'accordent à dire nos sources, quelle que soit le cas de figure, la bonne dame qui a succédé à Abdoul Mbaye à la Primature "ne survivra pas aux locales".
Quid de la véritable pomme de discorde?
Il ressort de nos investigations qu'il faut intégrer ses points saillants révélés il y' a quelques temps de cela par le jeune Mambaye Niang, lequel est décrit, à tord ou à raison, comme un "proche parmi les proches du PR". En d'autres termes, "il faut prendre en compte ses rares sorties notamment à travers les médias".
"Mambaye n'a pas tout faux de dire que lors de la traversée du désert, Mimi était encore dans une institution". Pour ainsi dire que le Président de la République a tiré la bonne dame du néant, c'est à dire qu'elle a été aidée par Macky "himself" à acquérir son ascension somme toute enviable.
Malheureusement, Mme le Premier Ministre chercherait ‘’à noyauter le parti, à placer discrètement un peu partout ses éléments. Et le Président n'est pas sans le savoir".
En d'autres termes, il est reproché à la dame de chercher à avoir un réseau. Son propre réseau. Poussant le bouchon plus loin, d'aucuns dans le parti soutiennent en catimini que Mimi, qui "souffre de crédibilité politique dans le parti et de loyauté", aurait "usé et abusé de certains, comme un certain Mor Ngom" aux fins d'arriver à ce standing. A quelles fins ? Est ce pour croiser le fer au "Macky" lors de la prochaine Présidentielle? Mystère et boule de gomme !
Qui plus est, nous avons appris que le fait qu'elle ait surpris plus d'un dans la formation marron en convoquant une réunion exécutive du parti en l'absence du patron, (alors en voyage), a été mal vu par le boss.
D'aucuns, disons plutôt les détracteurs de Mimi, ont saisi cette opportunité pour ne pas dire cette bourde pour aller mâchouiller l’ouïe du boss sur ses "intentions sournoises".
A titre illustratif, les pourfendeurs de la bonne dame, ont alors brandi ce magazine qui classait Mimi parmi les 100 personnalités les plus influentes au monde, "alors qu'elle est sous ordre du patron, tenue de définir la politique du chef de l'Etat".
Il s'y ajoute également le fait que Mimi entend croiser le fer avec le propre frère de la Première Dame "ne plaide pas en sa faveur" pour reprendre nos sources.
Survivra, survivra pas ? Le temps, reste meilleur juge !