Mon pays, le Sénégal, traverse actuellement des moments difficiles. De jours en jours, la situation s’empire. Gagner sa vie devient de plus en plus difficile, ce qui se manifeste au niveau des autres domaines de la société. Plus le chômage s’accentue plus la corruption le suit de même que la prostitution, le vol, les agressions, l’insécurité, etc. Bref, la population a besoin de survivre et face à cette situation, tout devient acceptable pour ne pas mourir de faim.
Pourtant, une petite couche de la population s’enrichit de plus en plus au détriment de la majorité. L’argent du peuple qui devrait servir à éviter le chaos que nous sommes en train de traverser, est partagé entre une minorité. Certains guides religieux qui devraient réguler la conscience de leurs disciples se trouvent corrompus. Ce qui leur pousse à ne prêcher que le mal que ces aveugles disciples sont tenus de suivre. L’Etat en quête de popularité se permet d’accepter des pratiques ignobles que subissent les enfants de la rue. Etc. Mon pays va mal, et je ne saurais terminer la liste longue car il y’a tellement de choses à améliorer…
Très loin du Sénégal, et après avoir observé tant de bonnes pratiques dans différents pays d’Afrique, d’Europe et d’Amérique du Nord, je me permets de proposer ces solutions adaptées à la réalité sénégalaise :
Améliorer l’éducation.
L’éducation est la base de toute société. Augmenter le nombre d’établissements est certes important, mais le contenu des programmes l’est encore plus. Car, c’est le programme qu’étudie l’élève/l’étudiant qui déterminera son savoir et son comportement vis-à-vis de la société. Les programmes d’études doivent être régulièrement mis à jour en fonction des réalités sénégalaises. Les chefs d’entreprises doivent êtres consultés quant à la mise en œuvre des programmes, car il ne sert à rien d’acquérir des connaissances qui ne seront pas mis en œuvre au sortir de l’université. Combien de personnes détentrices d’une maitrise son au chômage ?
De même, nous sommes conscients qu’il y’a un sérieux problème de civisme et de moral dans notre pays. Des lors que nous avons fait ce constat, il s’agit d’en prendre compte lors de la mise en œuvre des programmes. L’éducation civique et morale que j’ai étudiée à l’école primaire devraient être réintroduites et enseignées aussi bien à l’école primaire qu’à l’école secondaire, et même au Lycée. Car plus le citoyen est conscient de ses devoirs civiques et moraux envers son pays et ses concitoyens, moins ces derniers subirons les conséquences du manque de civisme (exemple : insalubrité) et du non-respect de son prochain (exemple : tapage nocturne, viol, pédophilie, etc.)
Respect des lois.
Une démocratie, c’est aussi veiller au respect des lois. L’Etat doit s’assurer d’un traitement égal de tout citoyen, quelque soit son appartenance. Pour se faire, il est important de séparer le pouvoir exécutif du pouvoir judiciaire. Tant que cette séparation ne sera pas faite, nous continuerons à subir les imperfections du système judiciaire sénégalais. Les proches du parti au pouvoir seront ainsi privilégiés au détriment des autres.
Accompagner les entreprises nationales.
Il n’y a qu’au Sénégal que j’ai vu des entreprises nationales sacrifiées par le pouvoir. Dans nombre de pays, certains secteurs sont même inaccessibles aux entreprises étrangères, et les entreprises nationales sont étroitement protégées pour assurer leur survie. Un entrepreneur sénégalais qui se trouve obligé d’aller investir à l’étranger se résume à des emplois transférés ailleurs au moment où le pays en a énormément besoin. L’Etat se doit alors de faciliter la tâche aux investisseurs nationaux. Pour ce faire, il convient de mettre de côte les considérations politiques et de définir des politiques efficaces d’accompagnement de l’investissement national.
Plus d’infrastructures pour plus de décentralisation.
Des efforts ont été faits dans le domaine de l’infrastructure certes, mais il faut noter que le Sénégal n’est pas seulement Dakar. L’exode s’accentue de plus en plus et Dakar devient de plus en plus invivable. Il convient alors de décentraliser certains établissements et d’assurer une bonne connexion entre les régions. Un investissement ne doit pas se faire sur la base d’une recherche de gloire ou par considérations politiques. Il doit être réfléchi et tourné vers l’avenir.
Cette décentralisation permettra aussi de résoudre le problème d’encombrement de Dakar. Car les marchands ambulants sont obligés d’aller trouver les acheteurs là où ils sont pour pouvoir vendre leurs produits et assurer leur survie.
Préférer la compétence a l’affinité.
Quels sont critères nécessaires pour devenir Ministre de la Santé ou Ministre des Affaires Etrangères voire même Directeur d’un tel ou tel établissement publique. Ces critères devraient exister et les sélections devraient se faire sur la base de ces critères. Faut-il rappeler que les compétences d’un dirigeant affectent la survie d’une entreprise ? Encore une fois, il faut limiter les considérations politiques et penser à l’avenir de notre pays. C’est primordial.
Certes, vue la tornade que traverse le Sénégal, les propositions de solutions ne seront être suffisantes… Mais je suis convaincu que la mise en place de celles énoncées ci-dessus pourrait nous permettra de changer la tendance actuelle pour aller vers un meilleur Sénégal.
Il est tant que nous prenions en main l’avenir de notre Nation.
Pourtant, une petite couche de la population s’enrichit de plus en plus au détriment de la majorité. L’argent du peuple qui devrait servir à éviter le chaos que nous sommes en train de traverser, est partagé entre une minorité. Certains guides religieux qui devraient réguler la conscience de leurs disciples se trouvent corrompus. Ce qui leur pousse à ne prêcher que le mal que ces aveugles disciples sont tenus de suivre. L’Etat en quête de popularité se permet d’accepter des pratiques ignobles que subissent les enfants de la rue. Etc. Mon pays va mal, et je ne saurais terminer la liste longue car il y’a tellement de choses à améliorer…
Très loin du Sénégal, et après avoir observé tant de bonnes pratiques dans différents pays d’Afrique, d’Europe et d’Amérique du Nord, je me permets de proposer ces solutions adaptées à la réalité sénégalaise :
Améliorer l’éducation.
L’éducation est la base de toute société. Augmenter le nombre d’établissements est certes important, mais le contenu des programmes l’est encore plus. Car, c’est le programme qu’étudie l’élève/l’étudiant qui déterminera son savoir et son comportement vis-à-vis de la société. Les programmes d’études doivent être régulièrement mis à jour en fonction des réalités sénégalaises. Les chefs d’entreprises doivent êtres consultés quant à la mise en œuvre des programmes, car il ne sert à rien d’acquérir des connaissances qui ne seront pas mis en œuvre au sortir de l’université. Combien de personnes détentrices d’une maitrise son au chômage ?
De même, nous sommes conscients qu’il y’a un sérieux problème de civisme et de moral dans notre pays. Des lors que nous avons fait ce constat, il s’agit d’en prendre compte lors de la mise en œuvre des programmes. L’éducation civique et morale que j’ai étudiée à l’école primaire devraient être réintroduites et enseignées aussi bien à l’école primaire qu’à l’école secondaire, et même au Lycée. Car plus le citoyen est conscient de ses devoirs civiques et moraux envers son pays et ses concitoyens, moins ces derniers subirons les conséquences du manque de civisme (exemple : insalubrité) et du non-respect de son prochain (exemple : tapage nocturne, viol, pédophilie, etc.)
Respect des lois.
Une démocratie, c’est aussi veiller au respect des lois. L’Etat doit s’assurer d’un traitement égal de tout citoyen, quelque soit son appartenance. Pour se faire, il est important de séparer le pouvoir exécutif du pouvoir judiciaire. Tant que cette séparation ne sera pas faite, nous continuerons à subir les imperfections du système judiciaire sénégalais. Les proches du parti au pouvoir seront ainsi privilégiés au détriment des autres.
Accompagner les entreprises nationales.
Il n’y a qu’au Sénégal que j’ai vu des entreprises nationales sacrifiées par le pouvoir. Dans nombre de pays, certains secteurs sont même inaccessibles aux entreprises étrangères, et les entreprises nationales sont étroitement protégées pour assurer leur survie. Un entrepreneur sénégalais qui se trouve obligé d’aller investir à l’étranger se résume à des emplois transférés ailleurs au moment où le pays en a énormément besoin. L’Etat se doit alors de faciliter la tâche aux investisseurs nationaux. Pour ce faire, il convient de mettre de côte les considérations politiques et de définir des politiques efficaces d’accompagnement de l’investissement national.
Plus d’infrastructures pour plus de décentralisation.
Des efforts ont été faits dans le domaine de l’infrastructure certes, mais il faut noter que le Sénégal n’est pas seulement Dakar. L’exode s’accentue de plus en plus et Dakar devient de plus en plus invivable. Il convient alors de décentraliser certains établissements et d’assurer une bonne connexion entre les régions. Un investissement ne doit pas se faire sur la base d’une recherche de gloire ou par considérations politiques. Il doit être réfléchi et tourné vers l’avenir.
Cette décentralisation permettra aussi de résoudre le problème d’encombrement de Dakar. Car les marchands ambulants sont obligés d’aller trouver les acheteurs là où ils sont pour pouvoir vendre leurs produits et assurer leur survie.
Préférer la compétence a l’affinité.
Quels sont critères nécessaires pour devenir Ministre de la Santé ou Ministre des Affaires Etrangères voire même Directeur d’un tel ou tel établissement publique. Ces critères devraient exister et les sélections devraient se faire sur la base de ces critères. Faut-il rappeler que les compétences d’un dirigeant affectent la survie d’une entreprise ? Encore une fois, il faut limiter les considérations politiques et penser à l’avenir de notre pays. C’est primordial.
Certes, vue la tornade que traverse le Sénégal, les propositions de solutions ne seront être suffisantes… Mais je suis convaincu que la mise en place de celles énoncées ci-dessus pourrait nous permettra de changer la tendance actuelle pour aller vers un meilleur Sénégal.
Il est tant que nous prenions en main l’avenir de notre Nation.