Dans une opération menée avec brio par la sous-brigade de gendarmerie de Niaguis, dirigée par l’adjudant Ndao, la traque d’Amadou Dia, alias « Amadiang », redoutable voleur de bétail, a enfin pris fin. Après plusieurs mois de cavale, l’homme surnommé « Amadiang » a été interpellé, mettant un terme à ses actes de brigandage qui avaient défiguré la paisible région de Niaguis.
Depuis juin 2023, Amadou Dia était activement recherché suite à de multiples plaintes. Ce dernier n’était pas un simple voleur, mais un chef de gang insaisissable, connu dans la zone pour son habileté à dérober des bétail en grande quantité. Au total, 150 bœufs avaient disparu dans la nature, tous retrouvés dans son enclos, prouvant l’ampleur du préjudice causé à ses voisins.
L’enquête qui a conduit à son arrestation a débuté de manière peu banale. Lors d’une mission de reconnaissance dans un champ d’un village proche, la gendarmerie avait été informée de la présence d’un engin explosif de 80 mm. Sur leur route, les gendarmes ont rencontré un éleveur du village de Djenné, victime de vol de bétail. Ce dernier, déterminé à retrouver ses animaux, a commencé sa propre quête et a repéré deux de ses bœufs attachés autour d’un arbre. Voyant là une occasion de tendre un piège aux voleurs, il s’est caché non loin du lieu, attendant patiemment l’arrivée des malfaiteurs.
Comme prévu, deux individus se sont approchés pour détacher les bœufs. L’éleveur, sorti de sa cachette, a immédiatement confronté les voleurs, mais ces derniers ont pris la fuite, courant droit vers le repaire de « Amadiang ». Là, un échange tendu s’est produit, avant que les gendarmes, arrivés en renfort, ne parviennent à maîtriser la situation. Voyant l’ombre des forces de l’ordre, « Amadiang » a sauté par-dessus un mur pour tenter de s’échapper, mais il n’a pas pu échapper à la justice.
Les gendarmes, inspectant son enclos, ont découvert avec stupeur les 150 bœufs volés. L’homme, qui avait trouvé refuge à Bissau, a commis l’irréparable erreur de revenir dans son village natal, où il a été capturé sans difficulté. Un dénouement inattendu pour celui qui semblait insaisissable depuis si longtemps.
Ce coup de filet spectaculaire démontre la détermination des autorités locales à lutter contre le fléau du vol de bétail, un phénomène qui inquiète de nombreuses communautés rurales. Le « roi des voleurs de bétail », comme certains l’appellent dans la région, a enfin été mis hors d’état de nuire. Un soulagement pour les éleveurs et un avertissement pour ceux qui oseraient défier la loi dans la région de Niaguis.
Loin d’être un simple vol, l’histoire d’Amadou Dia, dit « Amadiang », se révèle être une saga d’ingéniosité criminelle et de persévérance de la part des gendarmes, comme l’a rapporté Libération. La traque du voleur de bétail rappelle les défis auxquels font face les autorités pour lutter contre les réseaux de criminalité rurale, mais aussi l’importance de la collaboration entre citoyens et forces de l’ordre pour maintenir la sécurité dans les zones les plus vulnérables.
Depuis juin 2023, Amadou Dia était activement recherché suite à de multiples plaintes. Ce dernier n’était pas un simple voleur, mais un chef de gang insaisissable, connu dans la zone pour son habileté à dérober des bétail en grande quantité. Au total, 150 bœufs avaient disparu dans la nature, tous retrouvés dans son enclos, prouvant l’ampleur du préjudice causé à ses voisins.
L’enquête qui a conduit à son arrestation a débuté de manière peu banale. Lors d’une mission de reconnaissance dans un champ d’un village proche, la gendarmerie avait été informée de la présence d’un engin explosif de 80 mm. Sur leur route, les gendarmes ont rencontré un éleveur du village de Djenné, victime de vol de bétail. Ce dernier, déterminé à retrouver ses animaux, a commencé sa propre quête et a repéré deux de ses bœufs attachés autour d’un arbre. Voyant là une occasion de tendre un piège aux voleurs, il s’est caché non loin du lieu, attendant patiemment l’arrivée des malfaiteurs.
Comme prévu, deux individus se sont approchés pour détacher les bœufs. L’éleveur, sorti de sa cachette, a immédiatement confronté les voleurs, mais ces derniers ont pris la fuite, courant droit vers le repaire de « Amadiang ». Là, un échange tendu s’est produit, avant que les gendarmes, arrivés en renfort, ne parviennent à maîtriser la situation. Voyant l’ombre des forces de l’ordre, « Amadiang » a sauté par-dessus un mur pour tenter de s’échapper, mais il n’a pas pu échapper à la justice.
Les gendarmes, inspectant son enclos, ont découvert avec stupeur les 150 bœufs volés. L’homme, qui avait trouvé refuge à Bissau, a commis l’irréparable erreur de revenir dans son village natal, où il a été capturé sans difficulté. Un dénouement inattendu pour celui qui semblait insaisissable depuis si longtemps.
Ce coup de filet spectaculaire démontre la détermination des autorités locales à lutter contre le fléau du vol de bétail, un phénomène qui inquiète de nombreuses communautés rurales. Le « roi des voleurs de bétail », comme certains l’appellent dans la région, a enfin été mis hors d’état de nuire. Un soulagement pour les éleveurs et un avertissement pour ceux qui oseraient défier la loi dans la région de Niaguis.
Loin d’être un simple vol, l’histoire d’Amadou Dia, dit « Amadiang », se révèle être une saga d’ingéniosité criminelle et de persévérance de la part des gendarmes, comme l’a rapporté Libération. La traque du voleur de bétail rappelle les défis auxquels font face les autorités pour lutter contre les réseaux de criminalité rurale, mais aussi l’importance de la collaboration entre citoyens et forces de l’ordre pour maintenir la sécurité dans les zones les plus vulnérables.