Sorti de prison, moins de dix jours avant l'élection présidentielle, le candidat de la coalition Diomaye Président a battu campagne dans des conditions très difficiles. Toutefois, il constitue le messie tant attendu par les jeunes désespérés en quête d'espoir. « Avec Diomaye, nous allons gagner au premier tour. Et le changement sera au rendez-vous », tels sont les mots d'un étudiant désespéré, rencontré lors du passage de la caravane à Bambey.
À l'entrée de la ville de Bambey, une accalmie attire l'attention. On dirait une ville qui fait semblant d'être un havre de paix et sans besoin à l'image d'une princesse dans un conte de fées.
Habillé d'un pantalon kaki noir et d'une chemise à manches courtes bleue, ce jeune homme a l'air perdu dans la foule alors que tous les yeux sont rivés sur Diomaye, scrutant ses moindres gestes. Il réussit à s'approcher tant bien que mal de la camionnette de la presse.
Interpellé sur son comportement étrange, il répliqua ainsi : « Je me nomme Demba Diath, je suis étudiant en première année en système de télécommunication à l'Université de Bambey. Je suis à la recherche d'un chargeur, mon téléphone est sur le point de s'éteindre», m'explique t-il.
Étant incapable de satisfaire son besoin, le réflexe de journaliste me pousse à poser quelques questions sur la situation de l'université et de la ville en général.
« Nous, étudiants à l'Université de Bambey, nous souffrons du manque d'eau. Le transport aussi est un casse-tête. C'est vraiment très dur. Les pénuries, c'est quasiment partout dans la ville », confia-t-il.
Habillé d'un pantalon kaki noir et d'une chemise à manches courtes bleue, ce jeune homme a l'air perdu dans la foule alors que tous les yeux sont rivés sur Diomaye, scrutant ses moindres gestes. Il réussit à s'approcher tant bien que mal de la camionnette de la presse.
Interpellé sur son comportement étrange, il répliqua ainsi : « Je me nomme Demba Diath, je suis étudiant en première année en système de télécommunication à l'Université de Bambey. Je suis à la recherche d'un chargeur, mon téléphone est sur le point de s'éteindre», m'explique t-il.
Étant incapable de satisfaire son besoin, le réflexe de journaliste me pousse à poser quelques questions sur la situation de l'université et de la ville en général.
« Nous, étudiants à l'Université de Bambey, nous souffrons du manque d'eau. Le transport aussi est un casse-tête. C'est vraiment très dur. Les pénuries, c'est quasiment partout dans la ville », confia-t-il.
« Les amphithéâtres sont vieillissants et pas plus tard que la semaine passée, les professeurs vacataires étaient en grève», ajoute-il.
Abordant les raisons de sa présence à l'accueil de la caravane de DiomayePresident, il nous confie : « Je suis très content, les mots me manquent pour qualifier cette joie », soutient-il. Poursuivant, il croit dans son intime conviction que le changement, c'est avec Diomaye Président. « Nous manquons presque de tout ici, à Bambey. La jeunesse est confrontée au chômage. Avec Diomaye, nous allons gagner au premier tour. Et le changement sera au rendez-vous », présage l'étudiant.
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