Lundi dernier, Idrissa Seck a tenu à être présent lors du point de presse du collectif des 25 candidats. D'ailleurs, le leader de Rewmi était le seul des quatre candidats de l'opposition dont le dossier a été validé par le Conseil constitutionnel, à avoir faire acte de présence lors de cette réunion. Madické Niang et Ousmane Sonko étaient absent de Dakar, alors que Issa Sall se trouvait en Europe dans le cadre d'une tournée internationale.
Mais les “va-t-en-guerre” du groupe des 25 qui ont décidé d'en découdre avec Macky Sall qu'ils accusent de fomenter un coup d'État électoral ne doivent pas se leurrer à propos de l'ancien Premier ministre de Wade. Cette présence ne signifie pas que Idrissa Seck est dans la même logique que 2012.
Lors de ces joutes électorales, le leader de Rewmi avait mis entre parenthèse la campagne électorale au profit d'un bras de fer avec le pouvoir d'alors sur fond de contestation de la 3e candidature de Wade. Posture qui s'est répercutée dans les urnes puisqu'à l'arrivée, l'ancien maire de Thiès n'est arrivé qu'à la 5e place avec 7,86% des suffrages exprimés et s'est vu obligé de soutenir Macky Sall au second tour. Sept ans après, beaucoup d'eau a coulé sous les ponts. Le président du Conseil départemental de Thiès a appris de ses erreurs du passé même s'il ne veut pas donner l'air d'aller plus vite que la musique.
Selon Docky Mohamed Diop, membre des jeunesses rewmistes, cette présence de Idrissa Seck au point de presse des 25 est seulement illustrative de la solidarité qu'il veut manifester aux recalés. Mais que ces derniers se le tiennent pour dit ! Parallèlement, le Rewmi et ses alliés occupent le terrain en perspective de la campagne électorale qui s'ouvre le 02 février prochain. “Le parti est en train de se déployer sur toute l'étendue du territoire pour désigner ses mandataires et responsables de centre de VOTE sous la houlette de Yankhoba Diattara. Inchallah dans chaque bureau de vote ici comme dans la diaspora nous flanquerons un représentant”, confie à Dakaractu ce membre des jeunesses de Rewmi.
C'est la confirmation que les Rewmistes ne sont pas prêts à sacrifier à nouveau la carrière politique de leur leader qui, faut-il le rappeler, est à sa troisième présidentielle après ses échecs de 2007 et de 2012.
Le terrain déblayé, Idrissa Seck sera dans le Sénégal des profondeurs pour parler aux électeurs. Car selon Docky Mohamed Diop , l'heure de l'ancien maire a sonné. “2019, c'est notre année”, se convainc-t-il.
Mais les “va-t-en-guerre” du groupe des 25 qui ont décidé d'en découdre avec Macky Sall qu'ils accusent de fomenter un coup d'État électoral ne doivent pas se leurrer à propos de l'ancien Premier ministre de Wade. Cette présence ne signifie pas que Idrissa Seck est dans la même logique que 2012.
Lors de ces joutes électorales, le leader de Rewmi avait mis entre parenthèse la campagne électorale au profit d'un bras de fer avec le pouvoir d'alors sur fond de contestation de la 3e candidature de Wade. Posture qui s'est répercutée dans les urnes puisqu'à l'arrivée, l'ancien maire de Thiès n'est arrivé qu'à la 5e place avec 7,86% des suffrages exprimés et s'est vu obligé de soutenir Macky Sall au second tour. Sept ans après, beaucoup d'eau a coulé sous les ponts. Le président du Conseil départemental de Thiès a appris de ses erreurs du passé même s'il ne veut pas donner l'air d'aller plus vite que la musique.
Selon Docky Mohamed Diop, membre des jeunesses rewmistes, cette présence de Idrissa Seck au point de presse des 25 est seulement illustrative de la solidarité qu'il veut manifester aux recalés. Mais que ces derniers se le tiennent pour dit ! Parallèlement, le Rewmi et ses alliés occupent le terrain en perspective de la campagne électorale qui s'ouvre le 02 février prochain. “Le parti est en train de se déployer sur toute l'étendue du territoire pour désigner ses mandataires et responsables de centre de VOTE sous la houlette de Yankhoba Diattara. Inchallah dans chaque bureau de vote ici comme dans la diaspora nous flanquerons un représentant”, confie à Dakaractu ce membre des jeunesses de Rewmi.
C'est la confirmation que les Rewmistes ne sont pas prêts à sacrifier à nouveau la carrière politique de leur leader qui, faut-il le rappeler, est à sa troisième présidentielle après ses échecs de 2007 et de 2012.
Le terrain déblayé, Idrissa Seck sera dans le Sénégal des profondeurs pour parler aux électeurs. Car selon Docky Mohamed Diop , l'heure de l'ancien maire a sonné. “2019, c'est notre année”, se convainc-t-il.