La 41e session du Conseil National du Crédit (CNC) s’est ouvert ce jeudi sous la présidence du directeur de cabinet du ministre Cheikh Diba, présentement à l’étranger. Le Conseil National du Credit est chargé « d'étudier les conditions de fonctionnement du système bancaire et financier, notamment dans ses relations avec la clientèle et dans la gestion des moyens de paiement ainsi que les conditions de financement de l'activité économique ». Outre les représentants de l'Etat, de la BCEAO et les membres du Comité de Politique Monétaire ressortissants du Sénégal, le Conseil comprend des représentants des banques, des chambres consulaires, des associations. Il s’agit des Directeurs Généraux de La Banque Agricole (LBA) ainsi que de la Banque Nationale pour le Développement Economique (BNDE).
Lors de ces échanges, la situation du budget de la campagne de production que le président de la République a décidé de porter à 120 milliards FCFA avec des procédures de paiement des dettes dues aux opérateurs a été évoquée.
Par ailleurs, a déclaré le directeur de cabinet du ministre des finances, « l'Etat du Sénégal a mis en œuvre un programme pilote de refinancement du secteur agricole à travers la rétrocession partielle, aux banques éligibles, d'un montant de 300 millions d'euros (196,787 milliards FCFA), mobilisé auprès de la Standard Chartered Bank au titre du financement du secteur agricole et du renforcement de la sécurité alimentaire du Sénégal ».
Grâce à ce programme, a t-il indiqué, « le financement de la campagne de production s'est déroulé dans d'excellentes conditions ». Mais des défis du financement de la campagne de commercialisation demeurent, ajoute-t-il.
Il s’agira d’échanges sur les enseignements tirés des échecs des précédentes campagnes, au regard notamment des mesures que le gouvernement compte prendre pour apporter les correctifs nécessaires aux préoccupations notées l'année dernière en particulier au niveau de la filière arachidière. Le ministre demandera ensuite aux Directeurs Généraux de La Banque Agricole et de la BNDE, principales banques impliquées dans le financement de la commercialisation agricole, « de faire le point des mesures arrêtées en vue de faire face aux besoins exprimés par les acteurs lors de ce conseil qui s’épanche aussi, sur le financement de la campagne de commercialisation agricole, la présente session du Conseil National ainsi qu’à la situation des secteurs bancaire et de la microfinance.
Lors de ces échanges, la situation du budget de la campagne de production que le président de la République a décidé de porter à 120 milliards FCFA avec des procédures de paiement des dettes dues aux opérateurs a été évoquée.
Par ailleurs, a déclaré le directeur de cabinet du ministre des finances, « l'Etat du Sénégal a mis en œuvre un programme pilote de refinancement du secteur agricole à travers la rétrocession partielle, aux banques éligibles, d'un montant de 300 millions d'euros (196,787 milliards FCFA), mobilisé auprès de la Standard Chartered Bank au titre du financement du secteur agricole et du renforcement de la sécurité alimentaire du Sénégal ».
Grâce à ce programme, a t-il indiqué, « le financement de la campagne de production s'est déroulé dans d'excellentes conditions ». Mais des défis du financement de la campagne de commercialisation demeurent, ajoute-t-il.
Il s’agira d’échanges sur les enseignements tirés des échecs des précédentes campagnes, au regard notamment des mesures que le gouvernement compte prendre pour apporter les correctifs nécessaires aux préoccupations notées l'année dernière en particulier au niveau de la filière arachidière. Le ministre demandera ensuite aux Directeurs Généraux de La Banque Agricole et de la BNDE, principales banques impliquées dans le financement de la commercialisation agricole, « de faire le point des mesures arrêtées en vue de faire face aux besoins exprimés par les acteurs lors de ce conseil qui s’épanche aussi, sur le financement de la campagne de commercialisation agricole, la présente session du Conseil National ainsi qu’à la situation des secteurs bancaire et de la microfinance.