Situé à quelques encablures du marché central de Kaolack, le CEM Djim Momar Guèye a toujours essayé de redorer son blason tant bien que mal, en vain. En effet, le bâtiment croule sous le poids de l'âge. Construite vers les années 60, cette vieille bâtisse abritait à l'époque la Radio Sénégal (Kaolack) et a été plus tard retapée pour devenir l'annexe du lycée valdiodio Ndiaye. 60 ans après, aucune rénovation de la part des autorités académiques et du ministère de tutelle...
Après moult plaidoyers, le corps professoral a décidé ce matin de faire face à la presse afin d'interpeller les autorités sur le danger qui guette les potaches et l'administration. "Nous ne sommes plus en sécurité dans cette école, car ce bâtiment date de l'époque coloniale. Aujourd'hui, les plafonds sont en train de se détacher et les murs menacent de s'écrouler à tout moment. Et pourtant, les autorités sont au courant de cette situation, mais rien n'est encore fait face à ce danger...", a regretté un professeur du nom de Ousmane Diallo.
À cette problématique s'ajoute la pollution sonore. Avec le marché central à côté, les professeurs peinent à inculquer correctement le savoir à leurs potaches. Du coup, l'école qui occupait la première place, a finalement perdu sa confortable position pour se retrouver à la 12ème place.
"On avait la meilleure école de Kaolack, mais maintenant tel n'est le plus cas. On est presque à la queue en dépit des gros efforts consentis par les enseignants, mais comme on dit "à l'impossible nul n'est tenu". Les motos Jakarta qui passent devant cette école dérangent les 800 potaches qui fréquentent cet établissement et c'est juste pour dire que la situation est plus qu’alarmante...", a lancé un autre professeur de français, sous le couvert de l'anonymat.
Les élèves qui ont pris part à ce point de presse, ont émis leur ultime souhait qui est de voir leur école réhabilitée au plus vite avant que l'irréparable ne se produise...
Après moult plaidoyers, le corps professoral a décidé ce matin de faire face à la presse afin d'interpeller les autorités sur le danger qui guette les potaches et l'administration. "Nous ne sommes plus en sécurité dans cette école, car ce bâtiment date de l'époque coloniale. Aujourd'hui, les plafonds sont en train de se détacher et les murs menacent de s'écrouler à tout moment. Et pourtant, les autorités sont au courant de cette situation, mais rien n'est encore fait face à ce danger...", a regretté un professeur du nom de Ousmane Diallo.
À cette problématique s'ajoute la pollution sonore. Avec le marché central à côté, les professeurs peinent à inculquer correctement le savoir à leurs potaches. Du coup, l'école qui occupait la première place, a finalement perdu sa confortable position pour se retrouver à la 12ème place.
"On avait la meilleure école de Kaolack, mais maintenant tel n'est le plus cas. On est presque à la queue en dépit des gros efforts consentis par les enseignants, mais comme on dit "à l'impossible nul n'est tenu". Les motos Jakarta qui passent devant cette école dérangent les 800 potaches qui fréquentent cet établissement et c'est juste pour dire que la situation est plus qu’alarmante...", a lancé un autre professeur de français, sous le couvert de l'anonymat.
Les élèves qui ont pris part à ce point de presse, ont émis leur ultime souhait qui est de voir leur école réhabilitée au plus vite avant que l'irréparable ne se produise...
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