Le chef de l’Etat Bassirou Diomaye Faye est attendu ce jeudi au Mali et au Budkina. Deux pays de l’Afrique de l’Ouest qui partagent avec le parti de l’actuel président de la république, les mêmes aspirations de souveraineté et de perspectives de développement. En effet, c’est à plusieurs occasions le premier ministre, Ousmane Sonko a élevé la voix pour faire entendre la position du Sénégal sur ce que ces pays traversent notamment dans cette quête de souveraineté sur plusieurs plans, particulièrement « l’autonomie monétaire ». « Nous serons toujours aux cotés de nos frères africaines » ! Telle est la phrase que l’actuel chef du gouvernement sénégalais avait émise lors de la conférence avec Jean Luc Mélenchon, sur l’avenir des relations Afrique-Europe.
En janvier dernier, le Mali, le Burkina et le Niger ont décidé de quitter la CEDEAO estimant que c’est une organisation qui ne répond pas aux aspirations de leurs peuples. C’est-à-dire, faire face à leur destin africain et de ne plus être sous l’influence étrangère. Après 49 ans d'existence, les peuples du Burkina Faso, du Mali et du Niger constatent avec beaucoup de regret, d'amertume et une grande déception que leur organisation s'est éloignée des idéaux de ses pères fondateurs et du panafricanisme. D’ailleurs, ce panafricanisme est tout au plus, partagée avec le Sénégal à travers ce nouveau régime avec à sa tête le président Bassirou Diomaye Faye qui, dans son projet pour un changement systémique, évoque, la souveraineté comme maitre mot.
Il faut rappeler que lors de sa visite au Cap vert, le président e Bassirou Diomaye Faye a rappelé devant son homologue José M. Pereira Neves, « l’importance d’une collaboration dans le cadre de la Cedeao, en manifestant leurs préoccupations face aux défis avec les pays de l’AES ». Comment Bassirou Diomaye, au regard de cette visite qu’il entend effectuer dès ce jeudi vers le Burkina et le Mali, compte-t-il convaincre ses camarades souverainistes à « réintégrer » la communauté qui a été pendant ces dernières années taxée de « syndicat de chefs d’Etats » ? Va-t-il s’engager résolument dans une dynamique pour une nouvelle force à laquelle le Sénégal intégrera pour une souveraineté affirmée ? Tant de questions qui se posent à quelques heures de la visite officielle du président tant attendue par la communauté ouest-africaine.
En janvier dernier, le Mali, le Burkina et le Niger ont décidé de quitter la CEDEAO estimant que c’est une organisation qui ne répond pas aux aspirations de leurs peuples. C’est-à-dire, faire face à leur destin africain et de ne plus être sous l’influence étrangère. Après 49 ans d'existence, les peuples du Burkina Faso, du Mali et du Niger constatent avec beaucoup de regret, d'amertume et une grande déception que leur organisation s'est éloignée des idéaux de ses pères fondateurs et du panafricanisme. D’ailleurs, ce panafricanisme est tout au plus, partagée avec le Sénégal à travers ce nouveau régime avec à sa tête le président Bassirou Diomaye Faye qui, dans son projet pour un changement systémique, évoque, la souveraineté comme maitre mot.
Il faut rappeler que lors de sa visite au Cap vert, le président e Bassirou Diomaye Faye a rappelé devant son homologue José M. Pereira Neves, « l’importance d’une collaboration dans le cadre de la Cedeao, en manifestant leurs préoccupations face aux défis avec les pays de l’AES ». Comment Bassirou Diomaye, au regard de cette visite qu’il entend effectuer dès ce jeudi vers le Burkina et le Mali, compte-t-il convaincre ses camarades souverainistes à « réintégrer » la communauté qui a été pendant ces dernières années taxée de « syndicat de chefs d’Etats » ? Va-t-il s’engager résolument dans une dynamique pour une nouvelle force à laquelle le Sénégal intégrera pour une souveraineté affirmée ? Tant de questions qui se posent à quelques heures de la visite officielle du président tant attendue par la communauté ouest-africaine.