Après l’opération de ratissage des forces de défense qui a permis de récupérer trois bases des forces combattantes du MFDC dans les départements de Ziguinchor et de Goudomp, l’heure est à l’installation des positions militaires. L’armée a entamé la construction de positions et de bases dans ce secteur pour mieux renforcer la sécurité. Le génie militaire est à pied-d ’œuvre. Ce qui constitue une étape sine qua non au retour des populations. « Ce qui est important, dès qu’il y a le retour de la sécurité, tout est possible. Tous les programmes peuvent commencer à être déroulés. Le retour de la sécurité, c’est le préalable », nous confie une source sécuritaire.
Cependant, comme dans toutes les régions qui ont connu la présence de bandes armées ou de rébellions, celles-ci laissent des drames au sein des familles, des conséquences néfastes dans les consciences des populations. C’est des questions qui sont souvent résolues avec l’existence de drames au niveau des familles, au niveau des communautés. Ceci surtout avec les affrontements entre les armées et ces bandes qu’ont vécus les populations. Mais « toutes les guerres finissent autour d’une table de négociations » avons-nous l’habitude de dire. Et notre source sécuritaire de dire qu’« il y a eu des guerres plus effroyables après les gens vont se parler pour trouver une solution définitive pour l’intérêt de tout le monde et surtout des populations victimes des dégâts collatéraux. »
La direction des relations publiques des armées (DIRPA) informe que l’armée poursuit sa mission. C’est-à-dire la seconde étape. « Les opérations sont presque terminées. On est en train de consolider, d’ouvrir les postes, de permettre un retour des populations. On retourne dans la normalité en posant les conditions au retour des populations. C’est un volet qui concerne les autorités administratives », souligne le Colonel Makhtar Diop, directeur de la Dirpa.
Pour rappel, l’armée a enclenché vers la deuxième quinzaine du mois de janvier, une opération de ratissage et de sécurisation des parties Sud-Est de la région de Ziguinchor et une partie de celle Sédhiou. C’est ainsi que les bases du MFDC implantées dans les départements de Ziguinchor et de Goudomp ont été démantelées par l’armée. Toute cette zone est sous le contrôle de l’armée...
Cependant, comme dans toutes les régions qui ont connu la présence de bandes armées ou de rébellions, celles-ci laissent des drames au sein des familles, des conséquences néfastes dans les consciences des populations. C’est des questions qui sont souvent résolues avec l’existence de drames au niveau des familles, au niveau des communautés. Ceci surtout avec les affrontements entre les armées et ces bandes qu’ont vécus les populations. Mais « toutes les guerres finissent autour d’une table de négociations » avons-nous l’habitude de dire. Et notre source sécuritaire de dire qu’« il y a eu des guerres plus effroyables après les gens vont se parler pour trouver une solution définitive pour l’intérêt de tout le monde et surtout des populations victimes des dégâts collatéraux. »
La direction des relations publiques des armées (DIRPA) informe que l’armée poursuit sa mission. C’est-à-dire la seconde étape. « Les opérations sont presque terminées. On est en train de consolider, d’ouvrir les postes, de permettre un retour des populations. On retourne dans la normalité en posant les conditions au retour des populations. C’est un volet qui concerne les autorités administratives », souligne le Colonel Makhtar Diop, directeur de la Dirpa.
Pour rappel, l’armée a enclenché vers la deuxième quinzaine du mois de janvier, une opération de ratissage et de sécurisation des parties Sud-Est de la région de Ziguinchor et une partie de celle Sédhiou. C’est ainsi que les bases du MFDC implantées dans les départements de Ziguinchor et de Goudomp ont été démantelées par l’armée. Toute cette zone est sous le contrôle de l’armée...