Le Lieutenant-colonel, Adama DIOP, ancien Chef de la Division Médias et stratégies de la Dirpa s'est aussi prononcé sur la brutalisation des journalistes au moment des manifestations de ces derniers jours. Il mentionne que lorsque les FDS exécutent une mission, c'est dans l'espace et dans le temps. Cela veut dire que, explique-t-il, dans l'espace où ils accomplissent leur mission, tous les obstacles qui les empêchent de les exécuter doivent être dégagés. « C'est à la presse de comprendre par où les gens doivent se mettre. Les journalistes peuvent demander aux autorités qui commandent, est ce qu'on peut se mettre ici ? Mais quand vous venez, vous vous mettez dans leur dispositif et vous les empêchez de travailler, mais ils vous dégagent », souligne le lieutenant-colonel à la retraite.
Il ajoute qu' « au mois de mars 2021 quand le préfet était là, devant les forces de Gendarmerie, il y avait un journaliste qui était à côté des gendarmes mais il s'est retrouvé avec une blessure. Il (le journaliste) a fait savoir que les gendarmes avaient tiré sur lui alors qu’il était du côté des gendarmes. Il n'a pas tenu en compte des pierres qui venaient de l'autre côté. Donc, il faut adopter une attitude responsable d'abord, pouvoir parler aux autorités qui commandent les gens et ne pas venir parce que vous voulez avoir un scoop, des images, mais vous vous mettez dans un endroit qui empêche les FDS de pouvoir assurer leurs missions », a-t-il soutenu.
Cependant, il déplore cette attitude du journaliste qui refuse d'exécuter un ordre qui empêcherait les FDS à bien mener leurs missions. « Lorsqu'on vous dit de dégager, vous qui n'êtes pas bien formés ou qui ne comprenez pas les exigences de la mission, on vous pousse, on vous fait dégager manu militari », dit-il. À l’en croire, l'importance de la mission exige que les journalistes laissent les Forces de Défense et de Sécurité assumer pleinement leur mission dans l'espace et dans le temps.
Il ajoute qu' « au mois de mars 2021 quand le préfet était là, devant les forces de Gendarmerie, il y avait un journaliste qui était à côté des gendarmes mais il s'est retrouvé avec une blessure. Il (le journaliste) a fait savoir que les gendarmes avaient tiré sur lui alors qu’il était du côté des gendarmes. Il n'a pas tenu en compte des pierres qui venaient de l'autre côté. Donc, il faut adopter une attitude responsable d'abord, pouvoir parler aux autorités qui commandent les gens et ne pas venir parce que vous voulez avoir un scoop, des images, mais vous vous mettez dans un endroit qui empêche les FDS de pouvoir assurer leurs missions », a-t-il soutenu.
Cependant, il déplore cette attitude du journaliste qui refuse d'exécuter un ordre qui empêcherait les FDS à bien mener leurs missions. « Lorsqu'on vous dit de dégager, vous qui n'êtes pas bien formés ou qui ne comprenez pas les exigences de la mission, on vous pousse, on vous fait dégager manu militari », dit-il. À l’en croire, l'importance de la mission exige que les journalistes laissent les Forces de Défense et de Sécurité assumer pleinement leur mission dans l'espace et dans le temps.