Le deuxième quart de finale de la Coupe du Monde de Beach Soccer de la FIFA 2011 ce 8 septembre mettait aux prises le Portugal et le Sénégal. Pour deviner à qui reviendrait le billet pour le dernier carré, les spectateurs du Stadio del Mare de Ravenne s’attendaient à chercher du côté du vainqueur du duel à distance entre Madjer et Pape Koukpaki.
Bien vu, puisque ce sont les deux vedettes qui lancent les hostilités. Sur un long d’Al Seyni Ndiaye, le meilleur buteur africain de l’histoire de l’histoire du tournoi prolonge de la tête pour mettre les Lions de la Teranga devant (4’25, 0:1). Pas pour longtemps, car le meilleur buteur de l’histoire de la compétition - tout court - lui répond sur l’engagement (4’26, 1:1). Incapables de régir à cette égalisation expresse, les Sénégalais s’inclinent quelques instants plus tard sur un but opportuniste de Belchior, servi depuis l’aile droite par Coimbra (4’53, 2:1). La précision - ou la chance - est du côté européen. Quand Ngalla Sylla trouve la transversale, Torres expédie son coup franc puissant juste en-dessous et offre deux buts d’avance à la Selecçao das Quinas à la première pause (9’40, 3:1).
Egalisation inutile
Le défenseur africain sera plus heureux après la pause, d’abord en marquant sur penalty après une faute de Coimbra (3 :2), puis en trompant Paulo Graça à bout portant d’une reprise croisée du droit. Les Portugais ont laissé fondre leur avance mais ont de la ressource. A peine sorti du banc, Jordan récupère entre deux défenseurs pour enrouler une frappe au ras du poteau gauche de Ndiaye (22’35, 4:3).
Ce but est tout près d’être suffisant pour envoyer le Portugal en demi-finale, puisque les deux équipes sont incapables de marquer durant presque tout le dernier tiers-temps. Presque, car à quelques secondes de la sirène, Libasse Diagne arrache l’égalisation sur penalty (35’15, 4:4). Mais après une prolongation sans but, ce sont les Portugais qui s’imposent aux tirs au but, avec comme un symbole, Madjer inscrivant le penalty décisif.
Les Sénégalais étaient venus avec l’ambition d’atteindre le dernier carré. Il faudra attendre l’édition 2013 à Tahiti pour y parvenir. Le Portugal, lui, est un habitué de ce niveau mais espère cette fois le franchir pour soulever son premier trophée mondial.
( FIFA.COM )
Bien vu, puisque ce sont les deux vedettes qui lancent les hostilités. Sur un long d’Al Seyni Ndiaye, le meilleur buteur africain de l’histoire de l’histoire du tournoi prolonge de la tête pour mettre les Lions de la Teranga devant (4’25, 0:1). Pas pour longtemps, car le meilleur buteur de l’histoire de la compétition - tout court - lui répond sur l’engagement (4’26, 1:1). Incapables de régir à cette égalisation expresse, les Sénégalais s’inclinent quelques instants plus tard sur un but opportuniste de Belchior, servi depuis l’aile droite par Coimbra (4’53, 2:1). La précision - ou la chance - est du côté européen. Quand Ngalla Sylla trouve la transversale, Torres expédie son coup franc puissant juste en-dessous et offre deux buts d’avance à la Selecçao das Quinas à la première pause (9’40, 3:1).
Egalisation inutile
Le défenseur africain sera plus heureux après la pause, d’abord en marquant sur penalty après une faute de Coimbra (3 :2), puis en trompant Paulo Graça à bout portant d’une reprise croisée du droit. Les Portugais ont laissé fondre leur avance mais ont de la ressource. A peine sorti du banc, Jordan récupère entre deux défenseurs pour enrouler une frappe au ras du poteau gauche de Ndiaye (22’35, 4:3).
Ce but est tout près d’être suffisant pour envoyer le Portugal en demi-finale, puisque les deux équipes sont incapables de marquer durant presque tout le dernier tiers-temps. Presque, car à quelques secondes de la sirène, Libasse Diagne arrache l’égalisation sur penalty (35’15, 4:4). Mais après une prolongation sans but, ce sont les Portugais qui s’imposent aux tirs au but, avec comme un symbole, Madjer inscrivant le penalty décisif.
Les Sénégalais étaient venus avec l’ambition d’atteindre le dernier carré. Il faudra attendre l’édition 2013 à Tahiti pour y parvenir. Le Portugal, lui, est un habitué de ce niveau mais espère cette fois le franchir pour soulever son premier trophée mondial.
( FIFA.COM )