L’équipe nationale est devenue une véritable planche de salut et un lieu pour relancer sa carrière pour Bayal Sall qui, malgré un contrat qui court jusqu’à 2013 à Saint-Etienne, est devenu un footballeur sur lequel on ne compte plus.
Dans son édition de mercredi du quotidien sportif français L’Equipe, fait état d’une mise à l’écart qui frise l’humiliation pour le défenseur international sénégalais qui, quelques années, avait pourtant droit à tous les égards.
S’il compte aux yeux d’Amara Traoré qui l’a d’ailleurs fait entrer à la place de Kader Mangane blessé contre le Cameroun à Yaoundé (0-0), l’ancien Goréen ‘’n’a plus de casier chez les pros ni de place de parking à un centre d’entraînement où il ne peut plus prendre son petit-déjeuner’’.
Il partage cette situation difficilement compréhensible avec l’attaquant ivoirien Boubacar Sanogo et le Français Sylvain Monsoreau et les trois footballeurs ‘’n’ont pas été conviés à la photo officielle et évoluent (parfois) avec l’équipe de CFA’’.
Contrairement aux deux autres footballeurs, Bayal Sall a la chance de pouvoir aller régulièrement en sélection avec les entraînements contre des attaquants de de haut niveau, il a les possibilités de se maintenir et d’être dans le viseur des clubs.
La saison dernière, le défenseur central avait décliné les approches des deux clubs turcs Galatasaray et Fenerbahçe qui a finalement jeté son dévolu sur le Nigérian Joseph Yobo.
Et le plus étrange dans cette marginalisation du défenseur international sénégalais et de ses partenaires en club, ils coûtent 4,5 millions d’euros en salaires annuels à Saint-Etienne.
Et en laissant ces joueurs sur le carreau, Saint-Etienne risque de ne pas en tirer grand profit parce que les éventuels acheteurs n’ont pas besoin de chance de voir évoluer ces pros.
Sauf Bayal Sall qui a joué une bonne dizaine de minutes de haut niveau contre l’attaquant Samuel Eto’o, en juin dernier à Yaoundé lors de la 4-ème journée des éliminatoires de la CAN 2012 et a été rappelé pour le match contre l’Ile Maurice, de dimanche prochain.
L’ancien attaquant du FC Barcelone et de l’Inter est devenu cette saison en signant à l’Anzhi Makhachkala (Russie), le footballeur le mieux payé du monde avec un salaire annuel de 13 milliards de francs CFA.
Le capitaine des Lions Indomptables a signé un contrat de trois ans en faveur du club russe situé au Daghestan.
( APS )
Dans son édition de mercredi du quotidien sportif français L’Equipe, fait état d’une mise à l’écart qui frise l’humiliation pour le défenseur international sénégalais qui, quelques années, avait pourtant droit à tous les égards.
S’il compte aux yeux d’Amara Traoré qui l’a d’ailleurs fait entrer à la place de Kader Mangane blessé contre le Cameroun à Yaoundé (0-0), l’ancien Goréen ‘’n’a plus de casier chez les pros ni de place de parking à un centre d’entraînement où il ne peut plus prendre son petit-déjeuner’’.
Il partage cette situation difficilement compréhensible avec l’attaquant ivoirien Boubacar Sanogo et le Français Sylvain Monsoreau et les trois footballeurs ‘’n’ont pas été conviés à la photo officielle et évoluent (parfois) avec l’équipe de CFA’’.
Contrairement aux deux autres footballeurs, Bayal Sall a la chance de pouvoir aller régulièrement en sélection avec les entraînements contre des attaquants de de haut niveau, il a les possibilités de se maintenir et d’être dans le viseur des clubs.
La saison dernière, le défenseur central avait décliné les approches des deux clubs turcs Galatasaray et Fenerbahçe qui a finalement jeté son dévolu sur le Nigérian Joseph Yobo.
Et le plus étrange dans cette marginalisation du défenseur international sénégalais et de ses partenaires en club, ils coûtent 4,5 millions d’euros en salaires annuels à Saint-Etienne.
Et en laissant ces joueurs sur le carreau, Saint-Etienne risque de ne pas en tirer grand profit parce que les éventuels acheteurs n’ont pas besoin de chance de voir évoluer ces pros.
Sauf Bayal Sall qui a joué une bonne dizaine de minutes de haut niveau contre l’attaquant Samuel Eto’o, en juin dernier à Yaoundé lors de la 4-ème journée des éliminatoires de la CAN 2012 et a été rappelé pour le match contre l’Ile Maurice, de dimanche prochain.
L’ancien attaquant du FC Barcelone et de l’Inter est devenu cette saison en signant à l’Anzhi Makhachkala (Russie), le footballeur le mieux payé du monde avec un salaire annuel de 13 milliards de francs CFA.
Le capitaine des Lions Indomptables a signé un contrat de trois ans en faveur du club russe situé au Daghestan.
( APS )