L’ancien ministre de la promotion de la bonne gouvernance et porte-parole du deuxième gouvernement d'Abdoul Mbaye, sous le régime de Macky Sall n’a pas été sans mots aux 100 premiers jours des nouveaux dirigeants. Abdou Latif Coulibaly, pour le nommer, ne veut pas passer par quatre chemins pour donner ses impressions en tant que spécialiste de la communication notamment sur le comportement du président de la république, Bassirou Diomaye Faye: « C’est vrai qu’il est jeune, il vient d’arriver dans une situation dans laquelle il n’était pas préparé. Je pense qu’il va s’y faire. J’apprécie qu’il ait beaucoup de retenue.
Et aussi, il n’est pas dans une posture conflictuelle. Il apaise quelque part » a reconnu l’ancien ministre de la culture. Mais ce ne sont pas que des appréciations positives qu’Abdou Latif Coulibaly fera à l’endroit du nouveau président de la République. Dans l’Emission « Jury du Dimanche » sur les plateformes de E-médias, Latif sera un peu critique sur « l’appropriation » des rôles du chef de l’Etat.
« Ce qu’on peut lui reprocher, c’est ne pas occuper ses fonctions. Il ne les occupe pas suffisamment » a martelé l’ancien porte-parole du gouvernement sous le régime Sall. En revanche, Latif Coulibaly qui dit ne pas faire partie de ceux qui estiment que Diomaye et Sonko peuvent se chamailler, précise que « chacun doit occuper ses fonctions au regard des exigences de la constitution ».
Et aussi, il n’est pas dans une posture conflictuelle. Il apaise quelque part » a reconnu l’ancien ministre de la culture. Mais ce ne sont pas que des appréciations positives qu’Abdou Latif Coulibaly fera à l’endroit du nouveau président de la République. Dans l’Emission « Jury du Dimanche » sur les plateformes de E-médias, Latif sera un peu critique sur « l’appropriation » des rôles du chef de l’Etat.
« Ce qu’on peut lui reprocher, c’est ne pas occuper ses fonctions. Il ne les occupe pas suffisamment » a martelé l’ancien porte-parole du gouvernement sous le régime Sall. En revanche, Latif Coulibaly qui dit ne pas faire partie de ceux qui estiment que Diomaye et Sonko peuvent se chamailler, précise que « chacun doit occuper ses fonctions au regard des exigences de la constitution ».