Les femmes transformatrices de poisson du site « KHELCOM » situé à Bargny ne parlent plus le même langage. Une partie des femmes transformatrices ont tenu ce Dimanche une manifestation pour dénier toutes les allégations portées à l'encontre de la centrale à charbon. Ce, après la sortie d'une partie de leurs collègues transformatrices de poisson pour dénoncer leur cohabitation avec les industries polluantes, notamment la centrale à charbon qui a longtemps suscité l'opposition catégorique des populations.
Selon ces femmes qui défendent l'industrie, depuis l'installation de la centrale à Bargny, les populations n'ont plus besoin de soutien financier ailleurs. "C'est par erreur que nous étions les premiers à refuser l'installation de cette centrale parce que les possibilités que la centrale offre aux habitants de Bargny étaient inconnues. Depuis l'installation de la centrale à Bargny, nous n'avons plus besoin de soutien financier. L'aide de la centrale nous a permis de bâtir une mosquée. Elle a amélioré le pont qui traverse le canal pour nous. Elle a clôturé l'école primaire où les enfants étaient exposés au vent et à la poussière en plein air", a développé Awa Guèye, l'une d'elles, comme dividende de leur cohabitation avec la centrale à charbon. "Nous nous opposons fermement au départ de la centrale en raison de son utilité pour nous. Même lors des fêtes religieuses, la centrale nous apporte son soutien pour répondre à nos besoins", a fait valoir la femme transformatrice et ses camarades, défendant qu'elles ne sont plus exposées aux maladies car disent-elles, "toutes les travailleuses du site KHELCOM ont reçu des cartes de mutuelle de santé de la part de la centrale, afin que toute personne qui ressent quelque chose d'étrange concernant sa santé puisse consulter un médecin gratuitement. Une chose qu'aucune autre industrie n'a jamais faite jusque là.
Par ailleurs, elles exposent quelques doléances à prendre en charge, notamment le réaménagement de leur site afin qu'elles puissent exercer leur activité en toute sérénité et sécurité. "Aussi, nous souhaitons simplement que la centrale à charbon soit transformée en gaz afin de réduire la pollution de l'air", ont plaidé les femmes transformatrices de poisson, affirmant que la centrale est déjà à pied d'œuvre pour satisfaire ces doléances...
Selon ces femmes qui défendent l'industrie, depuis l'installation de la centrale à Bargny, les populations n'ont plus besoin de soutien financier ailleurs. "C'est par erreur que nous étions les premiers à refuser l'installation de cette centrale parce que les possibilités que la centrale offre aux habitants de Bargny étaient inconnues. Depuis l'installation de la centrale à Bargny, nous n'avons plus besoin de soutien financier. L'aide de la centrale nous a permis de bâtir une mosquée. Elle a amélioré le pont qui traverse le canal pour nous. Elle a clôturé l'école primaire où les enfants étaient exposés au vent et à la poussière en plein air", a développé Awa Guèye, l'une d'elles, comme dividende de leur cohabitation avec la centrale à charbon. "Nous nous opposons fermement au départ de la centrale en raison de son utilité pour nous. Même lors des fêtes religieuses, la centrale nous apporte son soutien pour répondre à nos besoins", a fait valoir la femme transformatrice et ses camarades, défendant qu'elles ne sont plus exposées aux maladies car disent-elles, "toutes les travailleuses du site KHELCOM ont reçu des cartes de mutuelle de santé de la part de la centrale, afin que toute personne qui ressent quelque chose d'étrange concernant sa santé puisse consulter un médecin gratuitement. Une chose qu'aucune autre industrie n'a jamais faite jusque là.
Par ailleurs, elles exposent quelques doléances à prendre en charge, notamment le réaménagement de leur site afin qu'elles puissent exercer leur activité en toute sérénité et sécurité. "Aussi, nous souhaitons simplement que la centrale à charbon soit transformée en gaz afin de réduire la pollution de l'air", ont plaidé les femmes transformatrices de poisson, affirmant que la centrale est déjà à pied d'œuvre pour satisfaire ces doléances...
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