Président, l'Arnaque continue
Balla GAYE dans le règlement du conflit casamançais
L’Arnaque continue, Réveillez-vous enfin !
Je croyais que seul WADE pouvait s’autoriser certaines dérives : « je nourris la rébellion », avait-il déclaré au deuxième tour de l’élection présidentielle. Je pensais que nous n’assisterions plus à l’émergence d’organisations « secrètes », malsaines, inopportunes qui feraient de la crise en Casamance un fond de commerce, comme nous avons pu le voir avec l’Ex-Chef d’État, Abdoulaye WADE. Fuguerez-vous que le lutteur Balla GAYE est appelé en renfort, accompagné d’une « forte » délégation, pour sillonner la Casamance afin d’y délivrer un message de paix. Cela me fait penser à beaucoup de choses saugrenues et stupides telles que « la lutte est un facteur de développement », ou encore « l’« arc-boutage » du ministre de l’éducation sur Modou LO pour faire « fonctionner » notre « système scolaire » , mais aussi à l’implication de WADE-Président dans la réconciliation entre ces lutteurs précités. Je disais dans la lettre ouverte que j’ai adressée au Président Macky SALL (06-09-2012), publiée en ligne, que « je pouffe de rire quand j’entends des hommes politiques agiter l’idée d’inclure un « lutteur » dans la résolution de la crise casamançaise.
Rappelez-vous avec Bruno SONKO du département du CODESRIA que les Présidents SENGHOR et DIOUF, en leur temps, crurent qu’« en nommant en Casamance des cadres administratifs originaires d’autres régions » cela renforcerait « le sentiment d’unité nationale. Au lieu d’un tel résultat, les autorités butèrent sur des « populations autochtones » ayant « l’impression d’une occupation étrangère, encore accrue par les malversations de certains fonctionnaires enclins au népotisme et à l’esprit de clan ». S’en est suivi l’introduction « massive » de cardes casamançais dans différents gouvernements. Le résultat vous le connaissez.
Aujourd’hui des personnes malhonnêtes essaient de nous faire croire que Balla GAYE, de part son statut de lutteur célèbre, peut sortir le Sénégal de cette crise instaurée par les positions intransigeantes de certaine factions rebelles et par les stratégies inefficaces de nos dirigeants politiques. Soyons un temps soit peu sérieux. Quelles sont les aptitudes dont dispose Balla GAYE, un lutteur pour qui j’ai beaucoup de respect, pour nous faire espérer une résolution paisible de cette « guerre fratricide » qui, depuis notre indépendance, fragilise la stabilité de notre « nation », l’intégration de l’ensemble de mon Peuple.
Mon cher président, Membres du gouvernement du Sénégal, Parlementaires, je pense que vous valez mieux que ça. Parmi vous il y a certes des novices, mais aussi des hommes d’expérience. Ayez plutôt du « sang dans les veines » au lieu de vous accommoder de « vous saigner aux quatre veines », une entreprise budgétivore qui n’aura aucun résultat à part enrichir des opportunistes qui profitent de nos peurs.
Question : qui finance ces organisations ?
Le Sociologue Rebelle
mactko@yahoo.fr
L’Arnaque continue, Réveillez-vous enfin !
Je croyais que seul WADE pouvait s’autoriser certaines dérives : « je nourris la rébellion », avait-il déclaré au deuxième tour de l’élection présidentielle. Je pensais que nous n’assisterions plus à l’émergence d’organisations « secrètes », malsaines, inopportunes qui feraient de la crise en Casamance un fond de commerce, comme nous avons pu le voir avec l’Ex-Chef d’État, Abdoulaye WADE. Fuguerez-vous que le lutteur Balla GAYE est appelé en renfort, accompagné d’une « forte » délégation, pour sillonner la Casamance afin d’y délivrer un message de paix. Cela me fait penser à beaucoup de choses saugrenues et stupides telles que « la lutte est un facteur de développement », ou encore « l’« arc-boutage » du ministre de l’éducation sur Modou LO pour faire « fonctionner » notre « système scolaire » , mais aussi à l’implication de WADE-Président dans la réconciliation entre ces lutteurs précités. Je disais dans la lettre ouverte que j’ai adressée au Président Macky SALL (06-09-2012), publiée en ligne, que « je pouffe de rire quand j’entends des hommes politiques agiter l’idée d’inclure un « lutteur » dans la résolution de la crise casamançaise.
Rappelez-vous avec Bruno SONKO du département du CODESRIA que les Présidents SENGHOR et DIOUF, en leur temps, crurent qu’« en nommant en Casamance des cadres administratifs originaires d’autres régions » cela renforcerait « le sentiment d’unité nationale. Au lieu d’un tel résultat, les autorités butèrent sur des « populations autochtones » ayant « l’impression d’une occupation étrangère, encore accrue par les malversations de certains fonctionnaires enclins au népotisme et à l’esprit de clan ». S’en est suivi l’introduction « massive » de cardes casamançais dans différents gouvernements. Le résultat vous le connaissez.
Aujourd’hui des personnes malhonnêtes essaient de nous faire croire que Balla GAYE, de part son statut de lutteur célèbre, peut sortir le Sénégal de cette crise instaurée par les positions intransigeantes de certaine factions rebelles et par les stratégies inefficaces de nos dirigeants politiques. Soyons un temps soit peu sérieux. Quelles sont les aptitudes dont dispose Balla GAYE, un lutteur pour qui j’ai beaucoup de respect, pour nous faire espérer une résolution paisible de cette « guerre fratricide » qui, depuis notre indépendance, fragilise la stabilité de notre « nation », l’intégration de l’ensemble de mon Peuple.
Mon cher président, Membres du gouvernement du Sénégal, Parlementaires, je pense que vous valez mieux que ça. Parmi vous il y a certes des novices, mais aussi des hommes d’expérience. Ayez plutôt du « sang dans les veines » au lieu de vous accommoder de « vous saigner aux quatre veines », une entreprise budgétivore qui n’aura aucun résultat à part enrichir des opportunistes qui profitent de nos peurs.
Question : qui finance ces organisations ?
Le Sociologue Rebelle
mactko@yahoo.fr