Nul n’est indispensable, mais tout le monde a son importance et Baba Tandian, le président de la Fédération sénégalaise de basket-ball (FSBB), pèse lourd dans la gestion actuelle du ballon orange dans notre pays et son départ présentement pourrait être plus un problème qu’une solution.
Ange ou démon, Dr Jekyll et Mr. Hyde en même temps, l’ancien basketteur devenu imprimeur ne fait pas ou jamais les choses comme M. tout le monde, mais son bilan de quelques mois à la tête de l’instance dirigeante du basket national peut-être qualifié de positif.
Il le reconnait lui-même, il a beaucoup de défauts mais, en venant prendre en charge la FSBB, tout le monde savait à qui, on avait affaire.
Avec Baba Tandian, on savait qu’on a élu un ancien basketteur qui a évolué au haut niveau et qui s’est professionnellement fait tout seul. D’où le risque d’avoir un exercice solitaire du pouvoir surtout au niveau des instances sportives comme le basket où l’argent, le nerf de la guerre, est souvent la chose qui manque le plus.
Comment peut-on demander en même temps à ce self-made-man de mettre chaque fois la main sur son chéquier pour régler des problèmes et lui refuser en même temps qu’il se mette en avant pour prendre des décisions.
N’est-ce pas, qui paye, commande ?
Comment peut-on déléguer à un homme seul le règlement des questions de visas des internationaux et lui demander de se désintéresser de la gestion des sélections nationales.
Assurément, on ne peut pas vouloir une chose et son contraire, Baba Tandian qui a soufflé sur ses 50 bougies depuis longtemps, on ne peut refaire son éducation.
Et ne lui demandez surtout pas de faire des proses ou de conjuguer les verbes au conditionnel et/ou au subjonctif.
Son arrivée à la présidence de la FSBB tombait bien puisqu’en plus du fait que ça allait dans tous les sens, cette structure avait un problème d’autorité criarde.
S’il tarde à gagner encore un trophée continental, il est en train de poser des fondations solides pour le basket national qui en plus d’attirer de plus en plus de sponsors, a commencé à faire des bénéfices.
Récemment la venue de la Fédération espagnole de basket fait partie des idées à applaudir des deux mains parce que le champion d’Europe masculin en titre, en plus de la qualité de ses basketteurs, est reconnu par l’excellence de sa politique de formation sportive.
Et sur ces actes qu’il faudrait juger Baba Tandian qui a besoin de se faire coacher avant de poser certains actes ou communiquer.
Comme pour lui souligner qu’en ce 21-ème siècle, les différends ne se règlent plus à coups de poings mais autour d’une table ou à défaut se plaindre devant les juridictions compétentes.
Pour dire qu’avec Baba Tandian, ce n’est pas en changeant l’homme à la tête de la FSBB que les difficultés seront résolues mais en l’aidant à changer de méthode de management par un véritable coaching.
A ce niveau, les autres membres du Comité exécutif de la FSBB ont un grand rôle à jouer.
( APS )
Ange ou démon, Dr Jekyll et Mr. Hyde en même temps, l’ancien basketteur devenu imprimeur ne fait pas ou jamais les choses comme M. tout le monde, mais son bilan de quelques mois à la tête de l’instance dirigeante du basket national peut-être qualifié de positif.
Il le reconnait lui-même, il a beaucoup de défauts mais, en venant prendre en charge la FSBB, tout le monde savait à qui, on avait affaire.
Avec Baba Tandian, on savait qu’on a élu un ancien basketteur qui a évolué au haut niveau et qui s’est professionnellement fait tout seul. D’où le risque d’avoir un exercice solitaire du pouvoir surtout au niveau des instances sportives comme le basket où l’argent, le nerf de la guerre, est souvent la chose qui manque le plus.
Comment peut-on demander en même temps à ce self-made-man de mettre chaque fois la main sur son chéquier pour régler des problèmes et lui refuser en même temps qu’il se mette en avant pour prendre des décisions.
N’est-ce pas, qui paye, commande ?
Comment peut-on déléguer à un homme seul le règlement des questions de visas des internationaux et lui demander de se désintéresser de la gestion des sélections nationales.
Assurément, on ne peut pas vouloir une chose et son contraire, Baba Tandian qui a soufflé sur ses 50 bougies depuis longtemps, on ne peut refaire son éducation.
Et ne lui demandez surtout pas de faire des proses ou de conjuguer les verbes au conditionnel et/ou au subjonctif.
Son arrivée à la présidence de la FSBB tombait bien puisqu’en plus du fait que ça allait dans tous les sens, cette structure avait un problème d’autorité criarde.
S’il tarde à gagner encore un trophée continental, il est en train de poser des fondations solides pour le basket national qui en plus d’attirer de plus en plus de sponsors, a commencé à faire des bénéfices.
Récemment la venue de la Fédération espagnole de basket fait partie des idées à applaudir des deux mains parce que le champion d’Europe masculin en titre, en plus de la qualité de ses basketteurs, est reconnu par l’excellence de sa politique de formation sportive.
Et sur ces actes qu’il faudrait juger Baba Tandian qui a besoin de se faire coacher avant de poser certains actes ou communiquer.
Comme pour lui souligner qu’en ce 21-ème siècle, les différends ne se règlent plus à coups de poings mais autour d’une table ou à défaut se plaindre devant les juridictions compétentes.
Pour dire qu’avec Baba Tandian, ce n’est pas en changeant l’homme à la tête de la FSBB que les difficultés seront résolues mais en l’aidant à changer de méthode de management par un véritable coaching.
A ce niveau, les autres membres du Comité exécutif de la FSBB ont un grand rôle à jouer.
( APS )
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