« L’hypocrisie est un vice privilégié, qui jouit en repos d’une impunité souveraine » Molière
Il est de notoriété publique que le parti démocratique sénégalais (PDS) et son chef, ont toujours adopté la violence tant verbale que physique, depuis la création du parti, comme leur forme privilégiée de la pratique politique. L’histoire révèlera sans doute un jour, qu’ils ont toujours été mêlés, s’ils n’en étaient pas les initiateurs, à la base de toutes les violences politiques qui se sont produites dans notre pays, depuis 1974, date de la création du PDS, jusqu’à nos jours.
Adepte incontestable de la violence dans les faits, Me Wade emprunte cependant officiellement le langage de la paix pour leurrer son monde. Dans l’opposition déjà, il usait de la violence et semait des troubles à tout moment, pour atteindre ses objectifs politiques, en fomentant parfois des complots imaginaires ou simulacres d’agressions. Arrivé au pouvoir, ses premiers réflexes ont été de protéger et de tirer d’affaire, tous ceux qui l’ont servi dans l’opposition, à exécuter ses actes de violence et qui se trouvaient dans de sales draps. Les calots bleus constituent les exécutants les plus zélés de Me Wade, pour exécuter aveuglément, certaines tâches moralement inacceptables, pour des personnes douées de raison et de bon sens humain. C’est ainsi que, tous ceux qui étaient emprisonnés pour crime, ont été graciés par Me Wade aussitôt après son installation au pouvoir. Et aujourd’hui, sous la couverture de l’impunité, ils ne vont même plus en prison, quelle que soit la gravité de leur délit.
En fait, il est aujourd’hui bien établi, que la description qu’avait faite Ousmane Ngom en 1998, du personnage de Me Wade, s’est bien avérée exacte, et se vérifie chaque jour par les Sénégalais de bonne foi. A savoir quand il disait de Me Wade, ceci : « Vous pensez pouvoir toujours, par la ruse, dérouter et déstabiliser vos interlocuteurs…. » Ou « Vous parlez comme un démocrate et vous agissez comme monarque » Il ajouta encore « Avec vous, après vingt-quatre ans sous votre ombre, j’aurais appris beaucoup de choses qu’un homme doit faire ; mais aussi trop de choses qu’un homme qu’un homme ne doit pas faire. C’est pourquoi je reprends ma liberté et je demande pardon à Dieu » Mais Ousmane Ngom a-t-il déjà oublié tout cela ? Et le peuple sénégalais alors, ne lui devez-vous pas aussi un pardon ?
Me Wade opposant, toujours dans ses initiatives de va-t’en guerre, fidèle militant de la violence, avait fait à l’époque appel à l’armée pour qu’elle prenne le pouvoir. Et Ousmane Ngom avait qualifié cet appel à l’armée de subversif et disait : « Ce qui, au regard de la constitution, de nos lois, est un délit grave » et il poursuivait en disant : « Ce qui est sûr, c’est qu’il ne restera pas impuni » Il avait affirmé sans ambages ce que valait réellement Me Wade en disant : « Il est préférable de confier les destinées du pays à un mouton plutôt qu’à Me Wade » Il est évident pour nous tous, que l’auteur de ces paroles est totalement différent de celui que nous pratiquons en ce moment, dans ses fonctions de ministre de l’intérieur de Me Wade. L’inconséquence de l’homme saute aux yeux des Sénégalais et comme son mentor, il a ravalé sans état d’âme, tout ce qu’il avait si justement bien dit, de Me Wade. Mais, une chose est tout même claire et incontestable, les deux hommes partagent un dénominateur commun, celui de « Ma waxoon waxeet » et « les promesses n’engagent que ceux qui y croient » Ceci n’est-il pas d’ailleurs commun à tout le camp présidentiel ?
Ainsi, le malheur de notre pays est d’avoir placé à sa tête par erreur, de tels hommes sans éthique, antivaleurs par nature ou d’essence. Voilà pourquoi, des actes et mesures très graves ont été pris par Me Wade dès son installation au pouvoir ; et dont la plupart, dans leur écrasante majorité, sont en violation flagrante des lois de la République ou, sont entachés d’impunité notoire, si toutefois les délits étaient commis par ses partisans. C’est ainsi que Me Wade a libéré les assassins de Me Babacar Seye, a fait voter la loi très controversée, portant amnistie des crimes de sang commis entre 1983 et 2004, de Issidore Ezzan. Les 2000 victimes de la tragédie du bateau Le Joola ne connaissent toujours pas, les véritables responsables de la plus grave catastrophe maritime de l’humanité, parce que, l’enquête en a conclu ainsi. Depuis l’avènement de Me Wade le 19 Mars 2000, nous comptons de nombreux crimes dans lesquels, des hommes du pouvoir, de la Police ou de la gendarmerie sont incriminés et jusqu’ici, aucun d’eux n’a été élucidé. Tous ces crimes, partant de celui commis sur l’étudiant Balla Gaye en 2000, jusqu’au dernier sur Ndiaga Diouf le 22/12/2011 portent la marque de l’alternance ou plutôt du PDS. La justice est jusqu’à présent incapable de mettre un visage sur leurs auteurs. S’agit-il de crime parafait ou de l’impunité? Non, point du tout ! C’est plutôt ce que dit Jean Richepin en ces termes : « Un crime n’est véritablement un chef-d’œuvre que si l’auteur reste impuni. D’autre part, l’impunité n’est complète que si la justice condamne un faux coupable. »
Il est reconnu de par le monde, que, l’abus du pouvoir enfante tous les crimes et parfois les plus odieux. Notre pays baigne de plus bel dans l’impunité totale à tous les niveaux, motivée par un homme qui ne se reconnait plus, en dehors des délices du pouvoir. Cet homme est même prêt à tout et contre tout, pour demeurer au pouvoir ad vitam aeternam. Quand un homme est arrivé à ce stade, contraint par le poids de l’âge, avec un tel état d’esprit, il perd complètement la raison, donc capable de mettre son pays inconsciemment, dans une insécurité permanente, rien que pour garder le pouvoir. Et Patrick Poivre d’Avoir nous mettait en garde en ces termes : « Il est dangereux de remettre les clés de la République à un homme tenté par le pouvoir personnel. » C’est l’erreur que nous avons faite au Sénégal, en confiant le pouvoir à Me Wade.
Par conséquent, ce qui devait arriver arriva. Et, il n’y a pas lieu de nous étonner outre mesure, car le plus grave, reste à venir, s’il ne quittait pas le pouvoir en 2012. Cette menace est une raison majeure pour que toutes les forces patriotiques au service de notre pays, fassent de la mobilisation générale et de la cohésion parfaite des forces vives, leurs préoccupations principales avant tout. L’exemple du rassemblement du M23 du 23 Décembre, est un exemple et une voie obligée à suivre. Me Wade et son camp tenteront à tous les coûts, toutes sortes de provocations et de manipulations imaginables, pour déstabiliser son opposition ; quitte même, à l’entrainer dans des troubles et autres violences, qui lui serviront de prétexte fallacieux, s’il n’est pas assuré de se représenter pour un 3e mandat et de remporter l’élection présidentielle, à reporter l’échéance du 26 février 2012, sine die.
L’attaque par une bande armée, perpétrée à la Mairie d’arrondissement Baobab-Mermoz est vue, sous tous les angles, comme une provocation pure et simple du pouvoir. C’est ce point de départ qui a précédé la riposte de Barthélemy Dias que l’on occulte, et il n’y a pas de fumée sans feu. Cette opération participe bel et bien à l’exécution d’un plan de complot ourdi et planifié par le pouvoir, pour hypothéquer la tenue à date et dans la transparence, d’une élection libre et démocratique. C’est en effet, une véritable campagne d’intimidation en direction de l’opposition qui est déclenchée et en mise en orbite, avec la complicité du Commandement territorial et de certains Services de l’Etat inféodés au PDS et au-delà, contre un vote libre des populations, dans un climat de paix et de sécurité. Comme on le dit si bien, la violence c’est l’arme des faibles et ceux qui n’ont pas des idées fortes comme arguments à opposer à leurs adversaires. Etant adeptes notoires de la violence et bénéficiant de l’impunité offerte, le PDS et sa coalition, ne pouvant trouver leur salut pour 2012, que dans la violence généralisée, s’engouffrent dans la brèche.
Voilà pourquoi, les citoyens et patriotes épris de paix et de justice, mais déterminés ne doivent pas se laisser faire et moins encore, de permettre un coup de force du pouvoir et ses alliés. Nous devons demeurer très vigilants et solidaires dans l’action collective, face à un seul et unique adversaire, un pouvoir aux abois, prêt à faire feu de tout bois. Nous devons considérer tous ces appels voilés à la paix, de prétendus marabouts caméléons comme Moustapha Cissé de Pire,-qui a répété textuellement le même discours de 1999, à l’époque en faveur de Diouf- qui ne situent jamais de manière nette et claire les responsabilités de l’Etat dans les malheurs qui arrivent à notre pays. L’Etat, étant seul à disposer du monopole et du commandement des forces de l’ordre, pour assurer la sécurité de nous tous citoyens sans exclusive, doit être à équidistant entre les acteurs. Le maintien de l’ordre est du ressort exclusif de l’Etat. Mais, quand le pouvoir emploie les forces publiques, qui sont payées par nous les contribuables au service exclusif du parti au pouvoir, sans que ces prétendus marabouts, messagers soi-disant de la paix, ne condamnent et dénoncent une telle pratique, c’est parce qu’ils sont complices du pouvoir dans son entreprise, pour des raisons obscures, qui seront éclairées au grand jour demain. C’est vrai qu’on dit parfois que : L’Etat a le monopole de la violence ! Mais c’est dans la mesure où, cette violence de l’Etat est exercée et appliquée contre, ceux-là qui sèment les troubles publics et les agressions sur les paisibles citoyens, comme par exemple ce qui se passe après les séances de luttes. En vérité, la violence est congénitale au PDS, c’est ce que nous devons tous savoir une bonne fois pour toute. Leur escalade ne s’arrêtera que contre une force bien organisée de tous les patriotes de notre pays, pour faire face à une machine de violence qui tente de nous écraser.
Gaye Mandiaye
Gaye_mandiaye@hotmail.com
Il est de notoriété publique que le parti démocratique sénégalais (PDS) et son chef, ont toujours adopté la violence tant verbale que physique, depuis la création du parti, comme leur forme privilégiée de la pratique politique. L’histoire révèlera sans doute un jour, qu’ils ont toujours été mêlés, s’ils n’en étaient pas les initiateurs, à la base de toutes les violences politiques qui se sont produites dans notre pays, depuis 1974, date de la création du PDS, jusqu’à nos jours.
Adepte incontestable de la violence dans les faits, Me Wade emprunte cependant officiellement le langage de la paix pour leurrer son monde. Dans l’opposition déjà, il usait de la violence et semait des troubles à tout moment, pour atteindre ses objectifs politiques, en fomentant parfois des complots imaginaires ou simulacres d’agressions. Arrivé au pouvoir, ses premiers réflexes ont été de protéger et de tirer d’affaire, tous ceux qui l’ont servi dans l’opposition, à exécuter ses actes de violence et qui se trouvaient dans de sales draps. Les calots bleus constituent les exécutants les plus zélés de Me Wade, pour exécuter aveuglément, certaines tâches moralement inacceptables, pour des personnes douées de raison et de bon sens humain. C’est ainsi que, tous ceux qui étaient emprisonnés pour crime, ont été graciés par Me Wade aussitôt après son installation au pouvoir. Et aujourd’hui, sous la couverture de l’impunité, ils ne vont même plus en prison, quelle que soit la gravité de leur délit.
En fait, il est aujourd’hui bien établi, que la description qu’avait faite Ousmane Ngom en 1998, du personnage de Me Wade, s’est bien avérée exacte, et se vérifie chaque jour par les Sénégalais de bonne foi. A savoir quand il disait de Me Wade, ceci : « Vous pensez pouvoir toujours, par la ruse, dérouter et déstabiliser vos interlocuteurs…. » Ou « Vous parlez comme un démocrate et vous agissez comme monarque » Il ajouta encore « Avec vous, après vingt-quatre ans sous votre ombre, j’aurais appris beaucoup de choses qu’un homme doit faire ; mais aussi trop de choses qu’un homme qu’un homme ne doit pas faire. C’est pourquoi je reprends ma liberté et je demande pardon à Dieu » Mais Ousmane Ngom a-t-il déjà oublié tout cela ? Et le peuple sénégalais alors, ne lui devez-vous pas aussi un pardon ?
Me Wade opposant, toujours dans ses initiatives de va-t’en guerre, fidèle militant de la violence, avait fait à l’époque appel à l’armée pour qu’elle prenne le pouvoir. Et Ousmane Ngom avait qualifié cet appel à l’armée de subversif et disait : « Ce qui, au regard de la constitution, de nos lois, est un délit grave » et il poursuivait en disant : « Ce qui est sûr, c’est qu’il ne restera pas impuni » Il avait affirmé sans ambages ce que valait réellement Me Wade en disant : « Il est préférable de confier les destinées du pays à un mouton plutôt qu’à Me Wade » Il est évident pour nous tous, que l’auteur de ces paroles est totalement différent de celui que nous pratiquons en ce moment, dans ses fonctions de ministre de l’intérieur de Me Wade. L’inconséquence de l’homme saute aux yeux des Sénégalais et comme son mentor, il a ravalé sans état d’âme, tout ce qu’il avait si justement bien dit, de Me Wade. Mais, une chose est tout même claire et incontestable, les deux hommes partagent un dénominateur commun, celui de « Ma waxoon waxeet » et « les promesses n’engagent que ceux qui y croient » Ceci n’est-il pas d’ailleurs commun à tout le camp présidentiel ?
Ainsi, le malheur de notre pays est d’avoir placé à sa tête par erreur, de tels hommes sans éthique, antivaleurs par nature ou d’essence. Voilà pourquoi, des actes et mesures très graves ont été pris par Me Wade dès son installation au pouvoir ; et dont la plupart, dans leur écrasante majorité, sont en violation flagrante des lois de la République ou, sont entachés d’impunité notoire, si toutefois les délits étaient commis par ses partisans. C’est ainsi que Me Wade a libéré les assassins de Me Babacar Seye, a fait voter la loi très controversée, portant amnistie des crimes de sang commis entre 1983 et 2004, de Issidore Ezzan. Les 2000 victimes de la tragédie du bateau Le Joola ne connaissent toujours pas, les véritables responsables de la plus grave catastrophe maritime de l’humanité, parce que, l’enquête en a conclu ainsi. Depuis l’avènement de Me Wade le 19 Mars 2000, nous comptons de nombreux crimes dans lesquels, des hommes du pouvoir, de la Police ou de la gendarmerie sont incriminés et jusqu’ici, aucun d’eux n’a été élucidé. Tous ces crimes, partant de celui commis sur l’étudiant Balla Gaye en 2000, jusqu’au dernier sur Ndiaga Diouf le 22/12/2011 portent la marque de l’alternance ou plutôt du PDS. La justice est jusqu’à présent incapable de mettre un visage sur leurs auteurs. S’agit-il de crime parafait ou de l’impunité? Non, point du tout ! C’est plutôt ce que dit Jean Richepin en ces termes : « Un crime n’est véritablement un chef-d’œuvre que si l’auteur reste impuni. D’autre part, l’impunité n’est complète que si la justice condamne un faux coupable. »
Il est reconnu de par le monde, que, l’abus du pouvoir enfante tous les crimes et parfois les plus odieux. Notre pays baigne de plus bel dans l’impunité totale à tous les niveaux, motivée par un homme qui ne se reconnait plus, en dehors des délices du pouvoir. Cet homme est même prêt à tout et contre tout, pour demeurer au pouvoir ad vitam aeternam. Quand un homme est arrivé à ce stade, contraint par le poids de l’âge, avec un tel état d’esprit, il perd complètement la raison, donc capable de mettre son pays inconsciemment, dans une insécurité permanente, rien que pour garder le pouvoir. Et Patrick Poivre d’Avoir nous mettait en garde en ces termes : « Il est dangereux de remettre les clés de la République à un homme tenté par le pouvoir personnel. » C’est l’erreur que nous avons faite au Sénégal, en confiant le pouvoir à Me Wade.
Par conséquent, ce qui devait arriver arriva. Et, il n’y a pas lieu de nous étonner outre mesure, car le plus grave, reste à venir, s’il ne quittait pas le pouvoir en 2012. Cette menace est une raison majeure pour que toutes les forces patriotiques au service de notre pays, fassent de la mobilisation générale et de la cohésion parfaite des forces vives, leurs préoccupations principales avant tout. L’exemple du rassemblement du M23 du 23 Décembre, est un exemple et une voie obligée à suivre. Me Wade et son camp tenteront à tous les coûts, toutes sortes de provocations et de manipulations imaginables, pour déstabiliser son opposition ; quitte même, à l’entrainer dans des troubles et autres violences, qui lui serviront de prétexte fallacieux, s’il n’est pas assuré de se représenter pour un 3e mandat et de remporter l’élection présidentielle, à reporter l’échéance du 26 février 2012, sine die.
L’attaque par une bande armée, perpétrée à la Mairie d’arrondissement Baobab-Mermoz est vue, sous tous les angles, comme une provocation pure et simple du pouvoir. C’est ce point de départ qui a précédé la riposte de Barthélemy Dias que l’on occulte, et il n’y a pas de fumée sans feu. Cette opération participe bel et bien à l’exécution d’un plan de complot ourdi et planifié par le pouvoir, pour hypothéquer la tenue à date et dans la transparence, d’une élection libre et démocratique. C’est en effet, une véritable campagne d’intimidation en direction de l’opposition qui est déclenchée et en mise en orbite, avec la complicité du Commandement territorial et de certains Services de l’Etat inféodés au PDS et au-delà, contre un vote libre des populations, dans un climat de paix et de sécurité. Comme on le dit si bien, la violence c’est l’arme des faibles et ceux qui n’ont pas des idées fortes comme arguments à opposer à leurs adversaires. Etant adeptes notoires de la violence et bénéficiant de l’impunité offerte, le PDS et sa coalition, ne pouvant trouver leur salut pour 2012, que dans la violence généralisée, s’engouffrent dans la brèche.
Voilà pourquoi, les citoyens et patriotes épris de paix et de justice, mais déterminés ne doivent pas se laisser faire et moins encore, de permettre un coup de force du pouvoir et ses alliés. Nous devons demeurer très vigilants et solidaires dans l’action collective, face à un seul et unique adversaire, un pouvoir aux abois, prêt à faire feu de tout bois. Nous devons considérer tous ces appels voilés à la paix, de prétendus marabouts caméléons comme Moustapha Cissé de Pire,-qui a répété textuellement le même discours de 1999, à l’époque en faveur de Diouf- qui ne situent jamais de manière nette et claire les responsabilités de l’Etat dans les malheurs qui arrivent à notre pays. L’Etat, étant seul à disposer du monopole et du commandement des forces de l’ordre, pour assurer la sécurité de nous tous citoyens sans exclusive, doit être à équidistant entre les acteurs. Le maintien de l’ordre est du ressort exclusif de l’Etat. Mais, quand le pouvoir emploie les forces publiques, qui sont payées par nous les contribuables au service exclusif du parti au pouvoir, sans que ces prétendus marabouts, messagers soi-disant de la paix, ne condamnent et dénoncent une telle pratique, c’est parce qu’ils sont complices du pouvoir dans son entreprise, pour des raisons obscures, qui seront éclairées au grand jour demain. C’est vrai qu’on dit parfois que : L’Etat a le monopole de la violence ! Mais c’est dans la mesure où, cette violence de l’Etat est exercée et appliquée contre, ceux-là qui sèment les troubles publics et les agressions sur les paisibles citoyens, comme par exemple ce qui se passe après les séances de luttes. En vérité, la violence est congénitale au PDS, c’est ce que nous devons tous savoir une bonne fois pour toute. Leur escalade ne s’arrêtera que contre une force bien organisée de tous les patriotes de notre pays, pour faire face à une machine de violence qui tente de nous écraser.
Gaye Mandiaye
Gaye_mandiaye@hotmail.com
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