La présence annoncée des présidents ivoirien Alassane Dramane Ouattara, burkinabé Blaise Compaoré, béninois Yayi Boni, ou malien Amadou Toumani Touré (Mali), pour tenter une médiation de la dernière chance à Dakar, ne relève que de la "pure manipulation", selon Me Amadou Sall, porte-parole du candidat Abdoulaye Wade.
Le chef de l’Etat du Bénin, président en exercice de l’Union africaine (UA), et son homologue de la Côte d’Ivoire, président en exercice de la CEDEAO, pas plus que celui du Mali ne viendront à Dakar ce samedi, a signalé Me Sall, démentant ‘’de folles rumeurs’’ qui les avaient présentés comme des médiateurs alors que le Sénégal organise dans quelques heures son élection présidentielle.
‘’A l’heure actuelle, aucun chef d’Etat, encore moins une personnalité politique africaine, n’est à Dakar, pour discuter avec le président Wade sur une éventuelle question relative au processus électoral’’, a-t-il déclaré, signalant que ‘’plus de 3.000 observateurs sont présents au Sénégal pour superviser cette élection sur invitation du président de la République’’.
‘’Demain, les Sénégalais iront aux urnes pour élire leur président. Et Me Wade fait partie de la compétition au même titre que 13 autres candidats, s’il n’y a pas de désistement de dernière minute de leur part’’, a rappelé le porte-parole du candidat sortant de la coalition des Forces alliées pour la victoire (FAL 2012).
Par la même occasion, a-t-il assuré, le chef de l’Etat sortant ‘’prie pour une élection calme, apaisée, transparente et sécurisée afin que la démocratie triomphe au lendemain du scrutin’’.
Le chef de l’Etat du Bénin, président en exercice de l’Union africaine (UA), et son homologue de la Côte d’Ivoire, président en exercice de la CEDEAO, pas plus que celui du Mali ne viendront à Dakar ce samedi, a signalé Me Sall, démentant ‘’de folles rumeurs’’ qui les avaient présentés comme des médiateurs alors que le Sénégal organise dans quelques heures son élection présidentielle.
‘’A l’heure actuelle, aucun chef d’Etat, encore moins une personnalité politique africaine, n’est à Dakar, pour discuter avec le président Wade sur une éventuelle question relative au processus électoral’’, a-t-il déclaré, signalant que ‘’plus de 3.000 observateurs sont présents au Sénégal pour superviser cette élection sur invitation du président de la République’’.
‘’Demain, les Sénégalais iront aux urnes pour élire leur président. Et Me Wade fait partie de la compétition au même titre que 13 autres candidats, s’il n’y a pas de désistement de dernière minute de leur part’’, a rappelé le porte-parole du candidat sortant de la coalition des Forces alliées pour la victoire (FAL 2012).
Par la même occasion, a-t-il assuré, le chef de l’Etat sortant ‘’prie pour une élection calme, apaisée, transparente et sécurisée afin que la démocratie triomphe au lendemain du scrutin’’.
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