Au nom du peuple, chers libéraux, arrêtez le tapage!



Chaque jour, l’opposition libérale incarnée par le PDS et ses acolytes démontre son ignorance et ses limites. Ses hommes politiques et militants malheureux s’agitent et versent au quotidien dans la diversion et la stigmatisation. Mieux, ils foulent au pied la cohésion sociale, les principes de la démocratie et l’élégance républicaine.
En vérité, le référentiel des libéraux reste les moments où ils étaient aux affaires durant lesquels la dictature, l’arrogance, la corruption et la concussion, etc. étaient érigées en règle de gouvernance sous la complicité de leur « dieu sur terre », Abdoulaye Wade assisté par sa femme et son fils. On se souvient des crimes humains, des scandales financiers, du tripatouillage excessif de la constitution… Ce texte fondamental de notre pays n’était devenu qu’un brouillon déchiré à la guise des libéraux qui avaient réussi à saper les valeurs de notre république.
Au rythme actuel de la marche de notre pays, le référentiel du PDS est obsolète et de loin dépassé. A court d’argument et pour nier le progrès économique de notre pays, la pertinence du Plan Sénégal Emergent et l’adhésion du peuple à la politique du Président Macky Sall et de ses alliés, les libéraux se départissent de leur rôle d’opposition républicaine et s’engagent dans la stigmatisation ethnique, la diversion et la banalisation de nos institutions à travers des offenses portées contre la plus haute institution de la République.
En essayant de stigmatiser la famille du Président et de la Première Dame, les libéraux encagoulés soulèvent savamment un débat pour saper la cohésion sociale de notre pays. C’est scandaleux ! Les dignes fils des familles ciblées par cette opposition inélégante en perte de popularité doivent porter plainte contre le PDS. Les sociologues et les Sénégalais informés de l’intention des libéraux sont interpellés pour clore ce débat stérile et puéril qu’ils soulèvent à tort.
C’est regrettable que le procès de Karim Wade soit le prétexte choisi par le PDS pour faire le tintamarre et engager une bataille médiatique sans précédent ni limite. A travers ses agissements, le PDS étale son hostilité aux progrès social et économique de notre pays, à l’indépendance de la justice, à la reddition des comptes, à la transparence dans la gestion des affaires publiques... Dans tous les cas, le peuple sénégalais vigilant réclame justice.
 « Procès de la honte ! » comme le précise l’UJTL dans son caduc communiqué du 04 aôut paru dans la presse en ligne. Oui ! Il l’est pour un présumé voleur en phase d’être démasqué.
« Procès de la honte ! » Oui ! Si l’accusé est le fils d’un ancien Président. Pourtant, nous sommes tous convaincus que nul n’est au-dessus de la loi ; « Dura Lex Sed Lex ».
Quelle fausseté et diversion lorsque l’UJTL accuse la Première Dame et le  Ministre de la Jeunesse de vouloir saboter le procès en question ? On ne saurait en dire plus. Pitié ! Que Dieu leur pardonne leurs péchés. La seule chose qui vaille est que le droit soit dit. Aidons alors nos nobles magistrats à dérouler un procès équitable. Tout citoyen doit avoir foi en cette justice qui demeure le gage de stabilité de nos institutions.
Au lieu de s’attarder sur des faits divers qui ne concourent point au progrès de notre pays, mettons-nous au travail dans la discipline et attendons tous que justice soit rendue au nom du peuple.
Vive la République ! vive le Peuple !
 
Diomaye Dieng, conseiller municipal à FIMELA
COJER/ Fatick
Mercredi 13 Aout 2014
Dakaractu