Ousmane Dieng n’a pas eu la vie sauve. Interné à l’hôpital Le Dantec où il était dans le coma suite à son immolation devant le domicile de son ex-petite amie, le jeune tailleur a rendu l’âme hier. Le jeune tailleur de Yeumbeul Sud, Ousmane Dieng, n’est plus. Dans le coma pendant 72 heures après s’être immolé devant la maison de son ex-petite amie, Racky Dicko, qui l’a largué, le sieur Dieng est décédé hier dans la matinée à l’hôpital Le Dantec où il était admis aux urgences, suite aux brûlures qui avaient fini de consumer son corps. Ainsi, toute la Commune d’arrondissement de Yeumbeul Sud était plongée hier, dans la douleur.
Hier dans l’après-midi, délégués de quartier, imams, notables, femmes et enfants se sont rendus au domicile de la victime pour présenter leurs condoléances. La tristesse se lisait sur le visage des membres de la famille éplorée, des amis et proches du défunt. Certains devant le domicile mortuaire, accroupis au sol sous une tente, versaient encore des larmes.
Dans l’enceinte de la maison, des femmes et autres sœurs de la victime assises à même le sol, d’autres adossées au mur se souviennent de leur frère en témoignant de sa bonté et de sa générosité.
La maman de Ousmane Dieng, retrouvée dans l’une des pièces de la maison mortuaire, chapelet à la main, s’en remet au Bon Dieu. «Mon fils est parti, il est mort. Mais nous nous en remettons au Bon Dieu. Pour le moment, nous ne pouvons pas en parler car l’affaire est entre les mains de la Justice. Il sera enterré dans les jours à venir. Car au niveau de l’hôpital, ils ne nous ont pas encore remis le corps, à cause de la paperasserie administrative à remplir ; c’est toute une procédure», confie la maman. La voix tremblotante, elle poursuit : «Pour son enterrement, nous attendons de faire une concertation familiale pour voir où il sera inhumé.»
Ibrahima Dieng, grand frère de la victime déclare : «Pour ce qui est de la famille de la jeune fille Racky Dicko, nous ne voulons pas nous prononcer. Comme vient de le dire ma maman, nous attendons. Pour le moment notre seule préoccupation, c’est l’enterrement de mon jeune frère.»
Ousmane Dieng est dépeint comme quelqu’un de bien et de pieux. «Il était très gentil et n’avait de problème avec personne. Nous qui étions ses amis, pouvons lui témoigner cela. Et, c’est sa gentillesse qui lui a valu cette tragédie», informe Abdou Diallo, un ami et habitant de la localité de Touba-Thiaroye.
Un tour au domicile de la célèbre jeune fille Racky Dicko, qui était la petite amie du défunt, nous a permis de constater l’absence de tous les membres de sa famille. Leur maison fermée donnait l’impression d’un lieu inhabité. Il n’y avait personne sur les lieux pour parler à la presse.
La population de Yeumbeul Sud a, toutefois, fait le procès de Racky Dicko ainsi que celui de sa mère. Elle accuse la famille de cette jeune fille d’avoir abusé du jeune garçon avant de le ruiner.
( Le quotidien )
Hier dans l’après-midi, délégués de quartier, imams, notables, femmes et enfants se sont rendus au domicile de la victime pour présenter leurs condoléances. La tristesse se lisait sur le visage des membres de la famille éplorée, des amis et proches du défunt. Certains devant le domicile mortuaire, accroupis au sol sous une tente, versaient encore des larmes.
Dans l’enceinte de la maison, des femmes et autres sœurs de la victime assises à même le sol, d’autres adossées au mur se souviennent de leur frère en témoignant de sa bonté et de sa générosité.
La maman de Ousmane Dieng, retrouvée dans l’une des pièces de la maison mortuaire, chapelet à la main, s’en remet au Bon Dieu. «Mon fils est parti, il est mort. Mais nous nous en remettons au Bon Dieu. Pour le moment, nous ne pouvons pas en parler car l’affaire est entre les mains de la Justice. Il sera enterré dans les jours à venir. Car au niveau de l’hôpital, ils ne nous ont pas encore remis le corps, à cause de la paperasserie administrative à remplir ; c’est toute une procédure», confie la maman. La voix tremblotante, elle poursuit : «Pour son enterrement, nous attendons de faire une concertation familiale pour voir où il sera inhumé.»
Ibrahima Dieng, grand frère de la victime déclare : «Pour ce qui est de la famille de la jeune fille Racky Dicko, nous ne voulons pas nous prononcer. Comme vient de le dire ma maman, nous attendons. Pour le moment notre seule préoccupation, c’est l’enterrement de mon jeune frère.»
Ousmane Dieng est dépeint comme quelqu’un de bien et de pieux. «Il était très gentil et n’avait de problème avec personne. Nous qui étions ses amis, pouvons lui témoigner cela. Et, c’est sa gentillesse qui lui a valu cette tragédie», informe Abdou Diallo, un ami et habitant de la localité de Touba-Thiaroye.
Un tour au domicile de la célèbre jeune fille Racky Dicko, qui était la petite amie du défunt, nous a permis de constater l’absence de tous les membres de sa famille. Leur maison fermée donnait l’impression d’un lieu inhabité. Il n’y avait personne sur les lieux pour parler à la presse.
La population de Yeumbeul Sud a, toutefois, fait le procès de Racky Dicko ainsi que celui de sa mère. Elle accuse la famille de cette jeune fille d’avoir abusé du jeune garçon avant de le ruiner.
( Le quotidien )