Hiér. Le chargé de communication de la campagne du président de la République : Maître El Hadj Amadou Sall, ancien ministre de la justice sénégalaise au cours d’une émission télévisée a troublé cette paisible nation à la recherche permanente d’une quiétude à l’approche des échéances présidentielles.
En confirmant le choix désastreux des libéraux en mal de confiance et de popularité auprès des sénégalais déchantés par une gestion désinvolte des biens de l’Etat qui impacte négativement le secteur économique, politique, social et religieux du pays, sans dire des ruses et des humeurs labiles interminables d’un fabuleux et éternel président sous-tendues uniquement par des calculs politiciens préjudiciables à toute personne supposée le contredire.
L’ancien ministre de la justice a dévoilé aux sénégalais la stratégie diabolique de son mentor pour se maintenir au pouvoir. En une seule phrase, le commis de Wade, réputé pour être un homme cohérent, a inopinément pris au dépourvu ce peuple sénégalais armé des principes de la charte républicaine et démocratique pour se délier de ces années placées sous les fourches caudines d’un pouvoir insensible aux souffrances des sénégalais.
« Celui qui brûlera, ma maison, je brûlerai la sienne », par cette déclaration, le respectable juriste s’est rétrogradé ignominieusement et inconsciemment en se classant au premier rang des boutefeux de Wade et de facto envoyant l’énergumène Farba Senghor aux oubliettes.
El Hadj Amadou Sall, par cette phrase a plongé bon nombre de sénégalais dans l’obscurité d’une guerre ou l’ennemi est à la porte de l’entrée. Devrons-nous céder aux menaces émanant du camp libéral ?
Une telle déclaration sortie dans la bouche d’un ancien ministre de la justice symbolise l’état dans lequel nos instituions souffrent de crédit et crédibilité.
Attention ! Le signal du chaos vient d’être donné par le maître El Hadj Amadou Sall.
khadimly@live.fr
En confirmant le choix désastreux des libéraux en mal de confiance et de popularité auprès des sénégalais déchantés par une gestion désinvolte des biens de l’Etat qui impacte négativement le secteur économique, politique, social et religieux du pays, sans dire des ruses et des humeurs labiles interminables d’un fabuleux et éternel président sous-tendues uniquement par des calculs politiciens préjudiciables à toute personne supposée le contredire.
L’ancien ministre de la justice a dévoilé aux sénégalais la stratégie diabolique de son mentor pour se maintenir au pouvoir. En une seule phrase, le commis de Wade, réputé pour être un homme cohérent, a inopinément pris au dépourvu ce peuple sénégalais armé des principes de la charte républicaine et démocratique pour se délier de ces années placées sous les fourches caudines d’un pouvoir insensible aux souffrances des sénégalais.
« Celui qui brûlera, ma maison, je brûlerai la sienne », par cette déclaration, le respectable juriste s’est rétrogradé ignominieusement et inconsciemment en se classant au premier rang des boutefeux de Wade et de facto envoyant l’énergumène Farba Senghor aux oubliettes.
El Hadj Amadou Sall, par cette phrase a plongé bon nombre de sénégalais dans l’obscurité d’une guerre ou l’ennemi est à la porte de l’entrée. Devrons-nous céder aux menaces émanant du camp libéral ?
Une telle déclaration sortie dans la bouche d’un ancien ministre de la justice symbolise l’état dans lequel nos instituions souffrent de crédit et crédibilité.
Attention ! Le signal du chaos vient d’être donné par le maître El Hadj Amadou Sall.
khadimly@live.fr