Assane Sall est né le 17 octobre 1977 à Pikine. A l'âge de 7 ans, il fait ses premiers pas à l'école 4 de la même localité. Les six longues années qu’il a faites dans cet établissement ont été sanctionnées par un Certificat de fin d’études élémentaires (Cfee).
Mais, le bonheur n’aura duré que quelques mois. Car, en 1991, sa mère est décédée au cours d’un accident de la route alors qu’il faisait la 6e secondaire au Collège d’enseignement moyen (Cem) privé Seydou Nourou Tall de Pikine. Prenant son courage à deux mains, il a pu se ressaisir pour se concentrer sur ses études. Il décrochera, trois années plus tard, son Brevet de fin d’études moyennes (Bfem).
«C’était un crack. Il n’a jamais redoublé à l’école et il a obtenu tous ses diplômes avec brio», souffle, avec fierté, un de ses frères.
Adeptes des sciences, il est orienté au lycée Ngalandou Diouf en série S. Ayant décroché son baccalauréat avec la mention assez bien, il fait Sup De Co, puis Iface (Ucad) où il a emmagasiné un certain nombre de diplômes. Etant étudiant stagiaire à l’entreprise Sapec peintures, il a commencé à travailler pour se prendre en charge tout en prenant des cours du soir. «Il était courageux», confie son papa.
«Il ne voulait pas partir au Mali», confie son père
Quelques années plus tard, il a rejoint le groupe Shell, devenu Vivo Energy.
Mais, en allant au Mali dans le cadre d’une mission de 24h, il ne savait pas qu’il allait croiser le chemin des terroristes. Selon toujours des témoignages de son père, il ne voulait même pas partir. «Il est venu me dire qu’il allait partir au Mali. Et, il avait soutenu qu’il n’allait pas passer la nuit là-bas», dit-il. Après la réunion, il est parti à l’aéroport. Mais, à sa grande surprise, le nombre de places de son vol était déjà réservé. C’est ainsi qu’il rebroussa chemin.
A 6 heures du matin de ce vendredi, Assane a prié avant de sortir chercher de l’eau. C’est au retour qu’il est tombé sur les terroristes qui l’ont froidement abattu. Il a laissé derrière lui, une jeune femme et une fillette de 2 ans.
Mais, le bonheur n’aura duré que quelques mois. Car, en 1991, sa mère est décédée au cours d’un accident de la route alors qu’il faisait la 6e secondaire au Collège d’enseignement moyen (Cem) privé Seydou Nourou Tall de Pikine. Prenant son courage à deux mains, il a pu se ressaisir pour se concentrer sur ses études. Il décrochera, trois années plus tard, son Brevet de fin d’études moyennes (Bfem).
«C’était un crack. Il n’a jamais redoublé à l’école et il a obtenu tous ses diplômes avec brio», souffle, avec fierté, un de ses frères.
Adeptes des sciences, il est orienté au lycée Ngalandou Diouf en série S. Ayant décroché son baccalauréat avec la mention assez bien, il fait Sup De Co, puis Iface (Ucad) où il a emmagasiné un certain nombre de diplômes. Etant étudiant stagiaire à l’entreprise Sapec peintures, il a commencé à travailler pour se prendre en charge tout en prenant des cours du soir. «Il était courageux», confie son papa.
«Il ne voulait pas partir au Mali», confie son père
Quelques années plus tard, il a rejoint le groupe Shell, devenu Vivo Energy.
Mais, en allant au Mali dans le cadre d’une mission de 24h, il ne savait pas qu’il allait croiser le chemin des terroristes. Selon toujours des témoignages de son père, il ne voulait même pas partir. «Il est venu me dire qu’il allait partir au Mali. Et, il avait soutenu qu’il n’allait pas passer la nuit là-bas», dit-il. Après la réunion, il est parti à l’aéroport. Mais, à sa grande surprise, le nombre de places de son vol était déjà réservé. C’est ainsi qu’il rebroussa chemin.
A 6 heures du matin de ce vendredi, Assane a prié avant de sortir chercher de l’eau. C’est au retour qu’il est tombé sur les terroristes qui l’ont froidement abattu. Il a laissé derrière lui, une jeune femme et une fillette de 2 ans.