Appel à tous ceux qui croient en la candidature de Cheikh Bamba Dièye


Appel à tous ceux qui croient en la candidature de Cheikh Bamba Dièye
Très chers camarades,

Le 30 décembre 2011, notre formation politique a donné au camarade Secrétaire Général, Cheikh Bamba Dièye, l’immense honneur de porter la candidature de notre parti lors de la prochaine élection présidentielle. C’est avec modestie qu’il a accepté cette investiture tout en précisant, à juste titre, qu’il n’en tire aucune gloire personnelle et qu’il mesure l’immense responsabilité de ne pas décevoir toutes celles et tous ceux qui croient en lui et en notre formation politique. De par son discours, le Secrétaire Général a mesuré avec gravité l’ampleur de la tâche et les attentes des populations mais nul doute qu’avec nous tous à ses côtés, jeunes, adultes, hommes et femmes du FSD/BJ, armés de nos convictions et de nos valeurs, nous pouvons largement redresser notre cher Sénégal. La volonté, le courage, la foi en un Sénégal meilleur, juste et prospère permettront d’aller chercher toutes celles et tous ceux qui sont laissés sur le bord de la route, qui ne savent plus de quoi demain sera fait, que l’Etat cantonne à peupler les stades du dimanche et que le pouvoir libéral réduit à des bras musclés qui agressent de paisibles citoyens. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il a choisi d’être investi symboliquement à Guédiawaye, cette belle et fougueuse banlieue riche d’enfants enthousiastes, talentueux, conscients et attachés aux valeurs républicaines. Pour redresser le Sénégal chers amis, pour le retirer vers le haut, pour mettre fin à cet insupportable vécu de déclin et de pessimisme, chacun doit jouer sa partition. Aucun talent ne doit être laissé en rade, aucune chance sous-estimée, aucune bonne volonté écartée.

Très chers camarades,

Depuis 15 ans que notre parti existe, nous avons participé à tous les évènements politiques majeurs de ce pays. Par la force de nos convictions, nous avons toujours été dans le sens de l’histoire. Ce fut le cas lorsqu’il s’est agi de combattre le régime socialiste. Nous avons grandement participé à l’avènement de l’alternance avec tous les sénégalais qui en avaient marre de vivre avec des dépenses ajustées qu’aucun plan économique n’a su relancer et garantir. C’est pourquoi notre détermination à chasser le régime d’Abdoulaye Wade n’a d’égal que l’enthousiasme que nous avions lorsqu’on a cru à un Sénégal nouveau à l’orée de l’alternance.

Nous avons dénoncé le régime libéral dès ses premières turpitudes. Nous étions présents aux législatives de 2007 avec le résultat que vous savez. Nous sommes à la base de la coalition qui a permis à l’opposition de gagner les élections locales dans les grandes villes et qui nous permet aujourd’hui de diriger la ville de Saint Louis. Le 23 juin nous étions là camarades, et de quelle manière ! Il va de soi que si le Président de la République persiste à vouloir solliciter illégalement un troisième mandat, il nous trouvera sur son chemin.

Très chers camarades,

Notre présence à la prochaine élection présidentielle est dans l’ordre naturel des choses au vu de notre parcours. Nous allons y aller avec de réelles ambitions. Un parti politique ne se forge une identité qu’à force de solliciter le suffrage et la confiance des électeurs mais aussi en étant constant et conséquent dans ses prises de positions. Les liens que nous avons tissés avec les sénégalais nous obligent grandement à croire en nos chances et à nous préparer à diriger ce pays. Et à cela, très chers camarades, le Président Cheikh Bamba Dièye est prêt ! Il est prêt car il s’y est préparé sereinement, loin des critiques sur sa supposée jeunesse et dans l’idée d’incarner la rupture telle que l’exige la situation.

La situation du Sénégal d’Abdoulaye Wade nous la connaissons tous. Ce sont des jeunes qui désespèrent de pouvoir vivre un jour de leur travail si tant est qu’ils en aient et qui en sont réduits à prendre le large au péril de leur vie à la recherche d’une vie meilleure ; ce sont des salariés qui descendent quotidiennement dans la rue pour demander un meilleur sort ; ce sont des familles qui n’arrivent plus à joindre les deux bouts, ni à se loger correctement, encore moins à élever leurs enfants.

Le Sénégal d’Abdoulaye Wade ce sont aussi des milliardaires dont personne ne peut dire ni justifier la fortune ; C’est une justice dont la balance penche très souvent du côté des plus forts ; c’est un Sénégal qui se résume très souvent à Dakar, à sa Corniche Ouest et aux Almadies.

Le Sénégal d’Abdoulaye Wade c’est aussi des étudiants laissés à eux-mêmes, des contre modèles mis en avant, des médiocres promus et des compétences ignorées ; c’est l’abrogation du mérite au profit du clientélisme.

Vous autres employés, salariés, artisans, commerçants, petits agriculteurs et retraités, pouvez-vous vous satisfaire de ce Sénégal là ? Nous ne le croyons pas.

Le monde a changé et le Sénégal avec alors la façon de faire la politique doit absolument changer. En cette vérité, Cheikh Bamba Dièye a toujours cru et continue à croire, très chers camarades, que changer le Sénégal c’est à notre portée !!

Il veut non seulement incarner ce changement profond mais le construire avec tous les sénégalais valeureux, dignes, honnêtes et qui croient en ces valeurs. La politique doit partir de la réalité de la vie des gens, être attentive aux leçons que le peuple donne, comprendre que le citoyen est le mieux placé pour faire le diagnostic de ce qu’il vit et pour dire au nom de quelles valeurs l’Etat doit agir. Le Sénégal doit donner à chacun les moyens de prendre effectivement son existence en main.

C’est Abdoulaye Wade et le PDS qui ont affaibli la République en portant atteinte au contrat social, à l’égalité des chances, au traitement égal entre les communautés religieuses. Nous croyons, nous au FSD/BJ, que l’arrogance des libéraux, le mensonge d’État et le mépris des citoyens ne sont pas une fatalité.

C’est Abdoulaye Wade qui a fait le choix de l’autoritarisme, de la confusion, du manquement à la parole donnée, du « pouvoirisme » et de l’irresponsabilité, attisant ainsi la crise démocratique. Qu’Abdoulaye Wade sache que les sénégalais refuseront le cercle de fatalité, le « cercle de fer » comme le disait Jean Jaurès. Chaque militant, chaque militante a commencé par dire non à quelque chose qui lui semblait insupportable avant de se dresser devant l’improbabilité d’un mandat nouveau du PDS.

Très chers camarades,

Dans cette campagne, il y aura des embûches, de la désintoxication et des pièges. Nous connaissons les méthodes nauséabondes de nos adversaires, ils ne reculent absolument devant rien. Il y aura probablement des chutes mais nous nous relèverons. Il y aura certainement des entorses mais nous les soignerons. Il y aura sans doute des pièges et nous les contournerons. Cheikh Bamba Dièye est résolument déterminé, habité par le courage et la force de nos convictions, emprunt d’un amour incommensurable pour ce pays, à se battre pour qu’au soir du 26 février les sénégalais goutent à nouveau à l’espoir d’un changement qui, nous l’espérons cette fois-ci, sera réel.

Que chacun de nous pense au Sénégal dont il a hérité. 40 interminables années de souffrance et de pauvreté sous le régime socialiste. Que chacun de nous pense aux incivilités, à l’arrogance, à l’impunité systématique et au mépris vécus sous Abdoulaye Wade. Pensons maintenant au Sénégal que l’on voudrait laisser aux générations futures. Nous ne voulons plus que les femmes de Niarry Tally continuent indéfiniment à entendre le bruit terrible de leurs pilons ; nous ne voulons plus que les jeunes, souvent méritants, aient nécessairement besoin d’un bras long pour trouver du travail. Nous ne voulons que les banlieues soient réduites à une armée de lutteurs en devenir, que les enfants qui y vivent pataugent dans des eaux de pluies pour avoir accès au droit élémentaire à l’éducation. Changer tout cela, chers amis, c’est à notre portée.

A nous donc de poursuivre le chemin, de le tracer à notre tour et de mettre la vérité en bataille. Accomplissons ensemble notre devoir pour les millions de sénégalais qui fondent un espoir sur notre destin. Très chers camarades, nous vous le crions et tâchez de l’entendre : changer le Sénégal c’est à notre portée.

Pour finir nous adressons une invitation à Abdoulaye WADE, le Président de la République. Il est encore temps, pour vous, de sortir par la grande porte. Le Sénégal demeure, dans la sous région, la seule démocratie à n’avoir pas vacillé pour des raisons électorales. Nous sommes l’exemple patent pour les autres Etats que la démocratie est possible dans notre sous-région. Nous avons l’obligation de préserver cet espoir. Vous avez, M. le Président, l’obligation de préserver cet espoir pour nous et pour tous nos voisins. Personne ne pourra nous reprocher de ne pas avoir tiré la sonnette d’alarme. « Dou niou partiwou xamonaniou ko partiwou waxonaniou ka laniou ».

Cellule de Montpellier.
Dimanche 22 Janvier 2012
Balla Dièye, Cellule de communication FSD/BJ France




1.Posté par Le Républicain le 22/01/2012 18:11
Mamadou Seck n'est qu'un lâche. Quand je l'ai écouté ce matin, je n'avais qu'une envie : VOMIR ! Il sait d'ailleurs ce que signifie cette expression. Macky Sall l'a sauvé en 2005 quand; au plus fort de la crise WADE-IDY; le chef de l'Etat a donné instruction pour le sortir du gouvernement parce que taxé Pro-Idy, ce qui n'était d'ailleurs pas faux. Macky lui a demandé d'aller organiser un meeting de clarification à Mbao. Il est allé vite rassembler ses ouailles et affidés pour TRENTER DE SUAVER SA PEAU. Ce meeting a été présidé par Macky Sall n°2 du PDS. Il avait à ses côtés un certain Abdou Fall, son compagnon de beuverie avec qui il a monté le coup de l'Assemblée Nationale pour faire débarquer Macky Sall du perchoir avec la complicité active de Iba Der Thiam. Il avait pris Abdou Fall comme témoin pour marteler son ancrage dans le camp de Wade au détriment de son mentor Idy. Il ne jurait que de MAcky Sall depuis lors jusqu'à ce qu'il ait été retourné par Wade, Doudou Wade et le clan Wade contre ce même Macky. Ce dernier est resté digne et jamais il n'a dit du mal de Mamadou Seck. Le Maire de Mbao en perte de vitesse dans son fief, en mal de popularité au Pds, un sournois notoire qui sait mal cacher son jeu, n'a pas d'autre bouée de sauvetage que Macky Sall sur qui il veut tirer pour désorienter le regard de ses frères libéraux et rivaux dans la course à la succession du Vieux. Il est hyper ambitieux pour ne pas dire prétentieux. Mamadou seck est intéressé plus que quiconque par le plan B de Me Wade. Il active de manière souterraine des troubadours comme le député Seydou Diouf pour travailler certains porteurs de voix supposés. Il n'aimme pas Souleymane Ndéné Ndiaye et passe toute sa vie à le calomnier. Ceux qui lui sont proches savent bien ce que je dis. Il ne croit qu'en sa personne. Quand l'heure sonnera, j'en dirais encore plus. Je ne suis pas avec Macky Sall mais j'étais ahuri quand j'ai entendu ce matin Mamadou Seck dire certaines contevérités sur son prédécesseur. Mamadou Seck est un fieffé menteur et j'enverrais d'ailleurs sous peu une lettre au Président de la République Me Abdoulaye WAde pour lui donner des éléments (dont certains documents sonores) d'une gravité extrême pour lui prouver le manque de loyauté et de sincérité de cet énergumène fumeux bombardé au cœur de l'Etat par accident. C'est un véritable monstre que Me Wade et son fils Karim Wade ont intérêt à découvrir. Si le Président Wade ou un de ses hommes de confiance sont intéressés, je laisserais sur ce site éventuellement une adresse mail par laquelle nous allons communiquer pour des raisons de sécurité. Il est temps pour l'intérêt de la République de démasquer certains tartuffes politiciens en mal de légitimité au Pds qui polluent l'espace public. A bon entendeur, soûlard de Mamadou Seck !

2.Posté par Magellan le 22/01/2012 18:43
De toute façon, c'entre laches et traitres.Tuez vous les et les autres.Toi soi disant republicain,fiche nous la paix.Ton mentor a la lâcheté dans l'ame.Mamadou Seck ne vaut rien, mais il n'est en aucun cas comparable a ton mentor.Il a plus d'envergure et il est plus digne.
Moi je lance plutôt un appel a Cheikh Bamba Dieye et je lui demande de ne regarder que les intérêts du Senegal.Tous les sondages le créditent de 8 a 10% des suffrages,surtout dans la tranche d'age des 18 a 30 ans.YOU draine massivement dans l'electorat populaire et dans les indecis.Si vous vous associez a lui,il pourrait meme passer au premier tour.Soyez raisonnable et rejoignez le, parce qu'il vaut mieux que tous ces gens de Benno que vous étiez prêt a suivre.Ensuite, avec YOU, le monde entier a les yeux rives sur le Senegal.Pas possibilité de frauder.Jouez la partition du Senegal plutôt que la votre.

3.Posté par moses le 22/01/2012 19:52
je partage tes points de vue M. Balla Dieye sur la gravité de la situation dans notre pays. Cependant, je déplore le comportement solitaire de Cheikh Bamba Dieye qui, certes, constitue un modèle pour la jeunesse sénégalaise, mais est un peu pressé, car il a l'avenir devant lui. A mon avis sa candidature est inopportune et il aurait du se ranger derrière le candidat des Assises Moustapha Niasse. Au bout d'un mandat de 5 ans, ce dernier s'effacera, et il aura toutes les coudées franches pour pouvoir briguer le suffrage des sénégalais. Cette élection sera l'une des plus ouvertes dans l'histoire politique du Sénégal car tous les candidats se valent et le Quarté gagnant est dans le désordre, sans part pris, car je suis apolitique: Macky, NIASSE, IDY ET TANOR

4.Posté par Montpellier le 22/01/2012 23:00
La candidature de Cheikh Bamba Dieye ne répond pas à une logique de carrière. Par conséquent ceux qui arguent que c'est trop tôt pour lui ont une approche Ô combien différente de la notre de la fonction présidentielle. Être président n'est pas une fatalité, c'est encore moins l'objectif d'une vie. Nous autres partisans de CBD considérons qu'il y a une vie après la présidentielle. Donc il n'est pas raisonnable de dire qu'il est tôt ou tard pour tel ou tel candidat. Posons nous plutôt la question des offres politiques, de leur contenu et des personnalités qui la portent. Sur ce terrain j'estime que nous n'avons pas rougir face au panel de candidats .

5.Posté par baol le 23/01/2012 07:39
J'EN FAIS PAS PARTIE ! MAIS TOUT DE MËME ..



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