Toujours connu pour ses diatribes contre ses adversaires politiques, Amath Dansokho n’est pas encore prêt pour changer de fusil d’épaule. Ce sont de véritables missiles et des qualificatifs assassins que le chef de file du PIT a balancé au Parti démocratique sénégalais (PDS) et à tous les partisans du Non au référendum du 20 mars prochain.
D’emblée, il commencera à attaquer le défunt régime libéral. « Il ne faut jamais oublier que nous sommes confrontés à une opposition extrêmement dangereuse parce-qu’elle n'a jamais accepté sa défaite », campe-t-il le débat non sans souligner avec forte conviction que « le Président Me Abdoulaye Wade était prêt à un coup de force pour imposer son fils à la tête de l'État du Sénégal ». Et d’ajouter que ce dernier se plaisait toujours de rappeler que son objectif était d'installer le Pds au pouvoir pendant 50 ans. Mais, heureusement, explique Dansokho, « notre armée nous a sauvés de plusieurs convulsions ».
Comme pour mettre en garde le Président Sall et l’actuelle équipe dirigeante, il demandera à ses camarades de Benno Bokk Yakaar ne de jamais perdre de vue cette ambition plus « qu’actuelle du Pds et de ses partisans ». « Il ne faut jamais oublier ça! », insiste-t-il.
« Ils (les membres de l’opposition) ont un trésor de guerre qu’on ne trouve nulle part ailleurs en Afrique », avise Dansokho qui est d’avis que toute cette agitation est un affolement de la petite bourgeoisie du Pds et de l’opposition qui ne sont rien d’autre qu’une association de malfaiteurs ayant beaucoup d'argent. Avant de conclure son propos, Amath Dansokho qui vote Oui et appelle à faire voter Oui au référendum du 20 mars 2016, avertit que « si le Non l'emporte ils (le Pds et Cie) poseront la question de la libération de Karim. »
D’emblée, il commencera à attaquer le défunt régime libéral. « Il ne faut jamais oublier que nous sommes confrontés à une opposition extrêmement dangereuse parce-qu’elle n'a jamais accepté sa défaite », campe-t-il le débat non sans souligner avec forte conviction que « le Président Me Abdoulaye Wade était prêt à un coup de force pour imposer son fils à la tête de l'État du Sénégal ». Et d’ajouter que ce dernier se plaisait toujours de rappeler que son objectif était d'installer le Pds au pouvoir pendant 50 ans. Mais, heureusement, explique Dansokho, « notre armée nous a sauvés de plusieurs convulsions ».
Comme pour mettre en garde le Président Sall et l’actuelle équipe dirigeante, il demandera à ses camarades de Benno Bokk Yakaar ne de jamais perdre de vue cette ambition plus « qu’actuelle du Pds et de ses partisans ». « Il ne faut jamais oublier ça! », insiste-t-il.
« Ils (les membres de l’opposition) ont un trésor de guerre qu’on ne trouve nulle part ailleurs en Afrique », avise Dansokho qui est d’avis que toute cette agitation est un affolement de la petite bourgeoisie du Pds et de l’opposition qui ne sont rien d’autre qu’une association de malfaiteurs ayant beaucoup d'argent. Avant de conclure son propos, Amath Dansokho qui vote Oui et appelle à faire voter Oui au référendum du 20 mars 2016, avertit que « si le Non l'emporte ils (le Pds et Cie) poseront la question de la libération de Karim. »