DAKARACTU.COM - Au cours d’une émission sportive sur la violence dans l’arène sur la TFM ce vendredi dernier, Amadou Kane entre autres propos tenus a révélé qu’il n’était pas au courant de la mort du jeune Abdou Dramé un supporter de l’ASC Kussum de la Médina. Pour rappel, cet élève a reçu deux balles à la tête après des échauffourées à la fin de matchs, pour plus tard plonger dans le coma un mois durant avant de rendre l’âme.
Interpellé sur la violence en général dans les stades surtout au cours des matchs navétanes, Amadou Kane a déclaré que l’organisation qu’il dirige est en train de faire de son mieux pour éradiquer le phénomène des stades. «Non il n’y a pas encore eu de mort d’homme» a-t-il répondu sur la question avant que la journaliste Mame fatou Ndoye ne lui apprenne qu’un jeune homme nommé Abdou Dramé est décédé suite à des blessures par balle après un match de football à la Médina il y a plus d’un mois.
Ensuite, il a parlé des sanctions infligées à certaines équipes pour les dissuader de commettre des actes de violence et les inciter à faire preuve de sportivité. En prenant l’exemple cependant sur l’Angleterre, Amadou Kane de raisonner par : «nous ne pouvons quand même pas réussir là où des pays comme l’Angleterre ont échoué». Pressé de questions par la journaliste Mame Fatou Ndoye sur le nombre pléthorique d’ASC qui participent aux navétanes Amadou Kane s’est un peu énervé ne voulant pas entendre parler d’une quelconque réduction du nombre d’équipes. Il y a en fait plus de 500 ASC rien qu’à Dakar sur les plus de 3000 milles que compte le Sénégal.
Interpellé sur la violence en général dans les stades surtout au cours des matchs navétanes, Amadou Kane a déclaré que l’organisation qu’il dirige est en train de faire de son mieux pour éradiquer le phénomène des stades. «Non il n’y a pas encore eu de mort d’homme» a-t-il répondu sur la question avant que la journaliste Mame fatou Ndoye ne lui apprenne qu’un jeune homme nommé Abdou Dramé est décédé suite à des blessures par balle après un match de football à la Médina il y a plus d’un mois.
Ensuite, il a parlé des sanctions infligées à certaines équipes pour les dissuader de commettre des actes de violence et les inciter à faire preuve de sportivité. En prenant l’exemple cependant sur l’Angleterre, Amadou Kane de raisonner par : «nous ne pouvons quand même pas réussir là où des pays comme l’Angleterre ont échoué». Pressé de questions par la journaliste Mame Fatou Ndoye sur le nombre pléthorique d’ASC qui participent aux navétanes Amadou Kane s’est un peu énervé ne voulant pas entendre parler d’une quelconque réduction du nombre d’équipes. Il y a en fait plus de 500 ASC rien qu’à Dakar sur les plus de 3000 milles que compte le Sénégal.
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