A Gran Canaria, les sénégalais sont dans plusieurs secteurs importants de la vie économique de la région. Après plusieurs années de présence dans cette île, Aly Diouf, ce senegalais bon teint que nous avons rencontré dans une rue, de Las Palmas de Gran Canaria, qui fait face à un cabinet d'avocat, nous raconte une partie de sa vie d'aventurier. " Dés fois gua guiss ay gal aksi ak ay neew.." (Tu vois arriver des pirogues avec des morts...),révèle-t-il.
Un chapeau "Don Pédro" gris sur la tête, qui cache au mieux, ses cheveux de couleurs poivrées, lunettes noires autour des yeux, ce natif de Kayar, village de pêcheur sur la côte sénégalaise, n'est pas venu sur l'île de Gran Canaria par hasard. En effet, son métier de pêcheur (Mol chez les lébous), l'a bien mené dans cet archipel espagnol, il y a cinq ans .
" Je suis pêcheur, je suis venu pour la première fois en Espagne, grâce aux contrats que l'Etat du Sénégal a signé avec le gouvernement Espagnol en 2005, dans le cadre de la coopération", a indiqué M Diouf, la cinquantaine qui souhaite vraiment retourner définitivement au pays de la Téranga, si les conditions sont favorables. Dans la foulée, il conseille au nouveau président de la République, Bassirou Diomaye Faye, d'aider les jeunes à trouver de l'emploi afin qu'ils ne tentent pas l'émigration clandestine à leurs risques et périls.
Un chapeau "Don Pédro" gris sur la tête, qui cache au mieux, ses cheveux de couleurs poivrées, lunettes noires autour des yeux, ce natif de Kayar, village de pêcheur sur la côte sénégalaise, n'est pas venu sur l'île de Gran Canaria par hasard. En effet, son métier de pêcheur (Mol chez les lébous), l'a bien mené dans cet archipel espagnol, il y a cinq ans .
" Je suis pêcheur, je suis venu pour la première fois en Espagne, grâce aux contrats que l'Etat du Sénégal a signé avec le gouvernement Espagnol en 2005, dans le cadre de la coopération", a indiqué M Diouf, la cinquantaine qui souhaite vraiment retourner définitivement au pays de la Téranga, si les conditions sont favorables. Dans la foulée, il conseille au nouveau président de la République, Bassirou Diomaye Faye, d'aider les jeunes à trouver de l'emploi afin qu'ils ne tentent pas l'émigration clandestine à leurs risques et périls.
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