Quelques heures après la publication de la lettre de désistement de l'Agent Judiciaire de l'Etat (AJE), sur le cas Ousmane Sonko, le réhabilitant ainsi sur les listes électorales, Alioune Tine a réagi sur sa page X. Il souhaite que le processus électoral s'achève normalement.
" Pour ceux qui hésitent encore de la volonté du chef de l’État de pacifier le champ politique , cette preuve est sans équivoque. La contumace est définitivement anéantie. On peut espérer la sortie de Sonko et de Bassirou Diomaye dans les meilleurs délais", informe le "Médiateur", Alioune Tine, d'Africa Jom Center.
" Maintenant concernant la requête auprès de la Cour Suprême des recalés, il faut absolument rester serein, la Cour Suprême à mon avis n’est pas compétente. Je ne vois pas une juridiction prendre le risque d’arrêter cet énorme investissement du peuple sénégalais. Ceux qui ont saisi la Cour Suprême en ont tous les droits, ils font de la politique. Ils ont certainement aussi des arguments", relativise, celui qui jusqu'ici se présente comme un "médiateur" dans cette crise politique profonde qui secoue le pays depuis quelques mois.
"Ont-ils une seule idée de la secousse tellurique qu’ils pourraient créer si jamais on arrêtait le processus présidentiel le plus dur et le plus meurtrier depuis 2000", s'interroge M Tine.
Ce dernier loue les qualités du nouveau Pm et de son ministre de l'Intérieur. "Enfin, j’ai un peu d’espoir, car on a Sidiky Kaba, ancien président de l’Ondh et ancien président de la Fidh, c’est son dernier défi, dans une station qui couronne une carrière politique. Ce capital symbolique, il ne le bradera pas. Je le connais patriote. Ensuite , il ya Makhtar Cissé, il a lui aussi un capital de confiance et un prestige d’un Grand commis de l’État aux performances exceptionnelles, c’est un bon investissement pour l’avenir qu’il ne gâchera certainement pas."
Pour Alioune Tine, il est hors de question d'arrêter le processus électoral en cours. "Personne ne doit arrêter la marche du processus, il faut l’achever avec la manière et avec toute la classe. Pas de violence, pas de jets de pierre. Mais on a vraiment besoin de joutes verbales. Que les candidats arrêtent un peu les soliloques, qu’ils débattent démocratiquement de leur vision et de leur projet. Sinon on va vers la même chose, nouvelle majorité avec le reclassement du personnel politique, avec certainement des ralliements massifs après l’élection du nouveau PR. La transhumance a encore de beaux jours et peut-être, une belle continuité du système tant que la démocratie sera réduite à l’élection au Sénégal", conclut-il.
" Pour ceux qui hésitent encore de la volonté du chef de l’État de pacifier le champ politique , cette preuve est sans équivoque. La contumace est définitivement anéantie. On peut espérer la sortie de Sonko et de Bassirou Diomaye dans les meilleurs délais", informe le "Médiateur", Alioune Tine, d'Africa Jom Center.
" Maintenant concernant la requête auprès de la Cour Suprême des recalés, il faut absolument rester serein, la Cour Suprême à mon avis n’est pas compétente. Je ne vois pas une juridiction prendre le risque d’arrêter cet énorme investissement du peuple sénégalais. Ceux qui ont saisi la Cour Suprême en ont tous les droits, ils font de la politique. Ils ont certainement aussi des arguments", relativise, celui qui jusqu'ici se présente comme un "médiateur" dans cette crise politique profonde qui secoue le pays depuis quelques mois.
"Ont-ils une seule idée de la secousse tellurique qu’ils pourraient créer si jamais on arrêtait le processus présidentiel le plus dur et le plus meurtrier depuis 2000", s'interroge M Tine.
Ce dernier loue les qualités du nouveau Pm et de son ministre de l'Intérieur. "Enfin, j’ai un peu d’espoir, car on a Sidiky Kaba, ancien président de l’Ondh et ancien président de la Fidh, c’est son dernier défi, dans une station qui couronne une carrière politique. Ce capital symbolique, il ne le bradera pas. Je le connais patriote. Ensuite , il ya Makhtar Cissé, il a lui aussi un capital de confiance et un prestige d’un Grand commis de l’État aux performances exceptionnelles, c’est un bon investissement pour l’avenir qu’il ne gâchera certainement pas."
Pour Alioune Tine, il est hors de question d'arrêter le processus électoral en cours. "Personne ne doit arrêter la marche du processus, il faut l’achever avec la manière et avec toute la classe. Pas de violence, pas de jets de pierre. Mais on a vraiment besoin de joutes verbales. Que les candidats arrêtent un peu les soliloques, qu’ils débattent démocratiquement de leur vision et de leur projet. Sinon on va vers la même chose, nouvelle majorité avec le reclassement du personnel politique, avec certainement des ralliements massifs après l’élection du nouveau PR. La transhumance a encore de beaux jours et peut-être, une belle continuité du système tant que la démocratie sera réduite à l’élection au Sénégal", conclut-il.