Dakaractu a tenu à recueillir l’avis des dakarois sur la gestion de deux hommes qui à un certain moment furent au-devant l’actualité dakaroise: Le Maire Khaliffa Sall et le Préfet Alioune Badara Diop. C’est ainsi que des riverains de la rue Escarfait (aujourd’hui Amadou Lakhsane Ndoye) en passant par Moussé Diop (ex Robert Brun) sans oublier le Rue Joseph Gomis, ont donné leur opinion sur les actes posés par le Maire et le Préfet de la capitale sénégalaise.
Selon les premiers interrogés, ces deux hommes ont une vision partagée, celle de la mission à accomplir coûte que coûte. Objet de convergence de vue, mais aussi de divergence parfois avec l’ancien régime de Wade, Khalifa Sall fonce dans son projet et reste campé sur le chemin qu’il s’est tracé, celui de faire place nette au profit des citoyens qui veulent une ville organisée et propre, une capitale moderne. Il n’a pas hésité à fermer des marchés devenus des bombes humaines et des dangers publics, c’est une bonne chose, notent-ils.
« Il n’a pas tremblé lorsqu’il s’est agi de déguerpir des tabliers qui se montraient récalcitrants, montés par des hommes politiques pyromanes qui tentaient de leur faire croire qu’ils étaient dans leurs droits…faire de Dakar une poubelle à ciel ouvert » nous confie un homme dont la devanture de son domicile est presque ‘’fermée’’ par ces marchands.
C’est pourtant vrai et ceux qui passaient par Sandaga à certaines heures savent de quoi il parle.
Ce « micro-trottoir » a certes recueilli des avis parfois critiques, mais majoritairement, surtout du coté de ces résidents, cette volonté des deux hommes (Le Maire et le Préfet de Dakar) devait même naître depuis le départ du président Abdou Diouf.
Sur le préfet de Dakar, le gérant d’une agence en centre ville et des amis notent qu’il est un exécutant, fort de ses prérogatives administratives, et des ordres qu’il reçoit de ses supérieurs.
Ils ont rappelé pour le saluer que face à des menaces de troubles à l’ordre public, comme les dérives criminelles qui ont pollué les navétanes dernièrement, il n’a à aucun moment faibli
« C’est bien qu’il ait décidé de couper l’élan du championnat populaire dakarois en le stoppant net, quitte à revoir les conditions idoines à sa poursuite plus tard. Je suis un ancien sportif, mais je suis franchement pour cette décision salutaire qui a évité des morts.» nous dit un homme blanchissant.
Un autre de son âge, dans la même foulée salue un autre acte posé.
« C’est le même homme qui face à des excès de mœurs douteuses qui se répandent sur nos plages ou dans certains lieux publics de nuit, n’a pas hésité un seul instant à couper des têtes et à fermer ces lieux de débauches. A mon avis, c’est ça qu’on appelle restaurer les valeurs ».
De l’avis des dakarois nostalgique du lustre d’antan de leur ville, Alioune Badara Diop est le Préfet qu’il fallait à la capitale. C’est selon certains interrogés celui qui est à même d’accompagner le Maire de cette capitale dans sa mission qu’il s’est donnée d’honorer contre vents et marées et surtout sans se baser sur d’éventuelles ou futures échéances électorales : Donner un autre visage à Dakar.
D’autres parmi ces populations insistent : « Qu’on les laisse travailler !!! », plus extrémistes ils laissent même échapper que pour ‘’refaire’’ le Sénégalais, « ce sont des hommes de la trempe de Yaya Jammeh (le président gambien) qu’il faut !».
Sans en arriver là, Dakaractu tire globalement de ce « micro-trottoir que la ferme volonté affichée par le maire et le préfet est saluée par les populations résidentes de Dakar-ville.
Globalement, il ressort de notre reportage que s’il y a actuellement un vent d’espoir qui traverse Dakar, il porte indéniablement en lui l’empreinte de deux hommes liés par un commun vouloir, celui de faire de notre ville Dakar une capitale digne de ce nom.
Selon les premiers interrogés, ces deux hommes ont une vision partagée, celle de la mission à accomplir coûte que coûte. Objet de convergence de vue, mais aussi de divergence parfois avec l’ancien régime de Wade, Khalifa Sall fonce dans son projet et reste campé sur le chemin qu’il s’est tracé, celui de faire place nette au profit des citoyens qui veulent une ville organisée et propre, une capitale moderne. Il n’a pas hésité à fermer des marchés devenus des bombes humaines et des dangers publics, c’est une bonne chose, notent-ils.
« Il n’a pas tremblé lorsqu’il s’est agi de déguerpir des tabliers qui se montraient récalcitrants, montés par des hommes politiques pyromanes qui tentaient de leur faire croire qu’ils étaient dans leurs droits…faire de Dakar une poubelle à ciel ouvert » nous confie un homme dont la devanture de son domicile est presque ‘’fermée’’ par ces marchands.
C’est pourtant vrai et ceux qui passaient par Sandaga à certaines heures savent de quoi il parle.
Ce « micro-trottoir » a certes recueilli des avis parfois critiques, mais majoritairement, surtout du coté de ces résidents, cette volonté des deux hommes (Le Maire et le Préfet de Dakar) devait même naître depuis le départ du président Abdou Diouf.
Sur le préfet de Dakar, le gérant d’une agence en centre ville et des amis notent qu’il est un exécutant, fort de ses prérogatives administratives, et des ordres qu’il reçoit de ses supérieurs.
Ils ont rappelé pour le saluer que face à des menaces de troubles à l’ordre public, comme les dérives criminelles qui ont pollué les navétanes dernièrement, il n’a à aucun moment faibli
« C’est bien qu’il ait décidé de couper l’élan du championnat populaire dakarois en le stoppant net, quitte à revoir les conditions idoines à sa poursuite plus tard. Je suis un ancien sportif, mais je suis franchement pour cette décision salutaire qui a évité des morts.» nous dit un homme blanchissant.
Un autre de son âge, dans la même foulée salue un autre acte posé.
« C’est le même homme qui face à des excès de mœurs douteuses qui se répandent sur nos plages ou dans certains lieux publics de nuit, n’a pas hésité un seul instant à couper des têtes et à fermer ces lieux de débauches. A mon avis, c’est ça qu’on appelle restaurer les valeurs ».
De l’avis des dakarois nostalgique du lustre d’antan de leur ville, Alioune Badara Diop est le Préfet qu’il fallait à la capitale. C’est selon certains interrogés celui qui est à même d’accompagner le Maire de cette capitale dans sa mission qu’il s’est donnée d’honorer contre vents et marées et surtout sans se baser sur d’éventuelles ou futures échéances électorales : Donner un autre visage à Dakar.
D’autres parmi ces populations insistent : « Qu’on les laisse travailler !!! », plus extrémistes ils laissent même échapper que pour ‘’refaire’’ le Sénégalais, « ce sont des hommes de la trempe de Yaya Jammeh (le président gambien) qu’il faut !».
Sans en arriver là, Dakaractu tire globalement de ce « micro-trottoir que la ferme volonté affichée par le maire et le préfet est saluée par les populations résidentes de Dakar-ville.
Globalement, il ressort de notre reportage que s’il y a actuellement un vent d’espoir qui traverse Dakar, il porte indéniablement en lui l’empreinte de deux hommes liés par un commun vouloir, celui de faire de notre ville Dakar une capitale digne de ce nom.