Depuis la déclaration de ce virus de la variole du singe comme une urgence de santé publique de portée internationale, les autorités sanitaires et l’organisation mondiale de la Santé (OMS) sont à pied d ’œuvre pour circonscrire cette maladie. Venu assister à Dakar l’atelier régional de formation sur le diagnostic moléculaire du virus de la variole du singe, le professeur Thierno Baldé a évoqué l’importance de la rencontre. « C’est un évènement important qui permet de capaciter les pays de la CEDEAO, s’y ajoute la Mauritanie et le Rwanda pour détecter le plus rapidement possible et confirmer ce diagnostic », lance le représentant de l’OMS à la rencontre.
Le professeur précise que l’épicentre se trouve en Afrique centrale. « L’épidémie se concentre beaucoup plus en RDC avec le Burundi. Par contre, il y a des cas mentionnés en Côte d’Ivoire, au Bénin et d’autres dans la sous-région. Tous ces Etats membres ont pris les dispositions qu’il faut pour qu’ils soient en alerte au niveau des aéroports et autres zones de transit international », rappelle le représentant de l’OMS au Sénégal qui indique que c’est une problématique mondiale. « La Covid nous a montré que les virus n’ont pas de frontières, les germes n’ont pas de frontière », fait-il savoir.
Le professeur précise que l’épicentre se trouve en Afrique centrale. « L’épidémie se concentre beaucoup plus en RDC avec le Burundi. Par contre, il y a des cas mentionnés en Côte d’Ivoire, au Bénin et d’autres dans la sous-région. Tous ces Etats membres ont pris les dispositions qu’il faut pour qu’ils soient en alerte au niveau des aéroports et autres zones de transit international », rappelle le représentant de l’OMS au Sénégal qui indique que c’est une problématique mondiale. « La Covid nous a montré que les virus n’ont pas de frontières, les germes n’ont pas de frontière », fait-il savoir.