La plateforme nationale des femmes musulmanes du Sénégal s'est réunie, ce lundi 28 octobre 2024 pour s'exprimer sur l'agenda du Sénégal. Face à la presse, les femmes ont décliné leurs attentes avant de donner leur avis sur la dimension humaine de la Rupture. Des sujets comme le Code de la famille, l'éducation, l'avortement, les phénomènes à caractère incitatif à la débauche, le planning familial, mais aussi le débat sur le port du voile ont été abordés. La secrétaire générale de la plateforme des femmes musulmanes du Sénégal "Ndeyu Askan Wi",Sokhna Soda Diop, a estimé que le capital humain contenu dans le référentiel 2050 regroupe tous les autres axes. Cette dernière a d'ailleurs plaidé pour le retour aux valeurs et aux bonnes manières qui sont en mode de disparition. Ceci,en invitant tout un chacun à s'atteler à une meilleure connaissance. Elle invite l'État du Sénégal à œuvrer pour une meilleure éducation dans les écoles en créant des écoles à caractère différent et de qualité.