Quelques anciennes gloires du basket sénégalais ont conseillé aux Lionnes de faire montre d’un "mental d’acier" lors de leurs prochaines sorties à l’Afrobasket féminin pour conserver la Coupe d’Afrique à Bamako.
‘’En terre étrangère, il faut avoir un mental d’acier. Le public et même l’arbitrage sont des adversaires’’, a estimé l’ancienne gloire des années 1970-1980, Coumba Dickel Diawara.
Selon elle, les Lionnes doivent s’attendre à n’importe quelle situation, mais elles doivent garder leur sang froid.
Lui emboîtant le pas, Aya Pouye souligne que ‘’quand on dispute l’Afrobasket à l’étranger la sérénité est la seul arme pour s’en sortir’’.
Se projetant très tôt dans la suite de la compétition, Mme Pouye qui l’une des Sénégalaises les plus titrées en Afrique avec cinq titres, voit les Lionnes en finale face aux Aigles du Mali.
‘’Je vois le Sénégal et le Mali en finale. Elles nous battues à Dakar en 2007 et nous pouvons les battre à domicile. Un match de basket-ball se joue sur le terrain pas en dehors’’, a-t-elle dit. Elle est le premier vice-président de la Fédération sénégalaise de basket-ball (FSB).
Contrairement à Aya Pouye, l’ancien pivot des Lionnes dans les années 1980, Fatou Kiné Ndiaye, demande de ne pas se projeter très tôt dans la finale. Elle pense laisser les protégées de l’entraîneur Moustapha Gaye prendre le match.
‘’ Il faut prendre match par match. Dans ces genres de compétitions pour remporter le trophée, il faut jouer varié en étant bien en place avec une agressivité en défense’’, suggère Fatou Kiné Ndiaye.
Les anciennes gloires du basket-ball sénégalais sont les invitées d’honneur de la FIBA-Afrique pour les besoins de la célébration du cinquantenaire de l’instance africaine de cette discipline.
Le Sénégal a été choisi en basket féminin meilleure équipe des cinquante ans. Les anciennes gloires seront fêtées jeudi par la FIBA-Afrique au cours d’une cérémonie.
( APS )
‘’En terre étrangère, il faut avoir un mental d’acier. Le public et même l’arbitrage sont des adversaires’’, a estimé l’ancienne gloire des années 1970-1980, Coumba Dickel Diawara.
Selon elle, les Lionnes doivent s’attendre à n’importe quelle situation, mais elles doivent garder leur sang froid.
Lui emboîtant le pas, Aya Pouye souligne que ‘’quand on dispute l’Afrobasket à l’étranger la sérénité est la seul arme pour s’en sortir’’.
Se projetant très tôt dans la suite de la compétition, Mme Pouye qui l’une des Sénégalaises les plus titrées en Afrique avec cinq titres, voit les Lionnes en finale face aux Aigles du Mali.
‘’Je vois le Sénégal et le Mali en finale. Elles nous battues à Dakar en 2007 et nous pouvons les battre à domicile. Un match de basket-ball se joue sur le terrain pas en dehors’’, a-t-elle dit. Elle est le premier vice-président de la Fédération sénégalaise de basket-ball (FSB).
Contrairement à Aya Pouye, l’ancien pivot des Lionnes dans les années 1980, Fatou Kiné Ndiaye, demande de ne pas se projeter très tôt dans la finale. Elle pense laisser les protégées de l’entraîneur Moustapha Gaye prendre le match.
‘’ Il faut prendre match par match. Dans ces genres de compétitions pour remporter le trophée, il faut jouer varié en étant bien en place avec une agressivité en défense’’, suggère Fatou Kiné Ndiaye.
Les anciennes gloires du basket-ball sénégalais sont les invitées d’honneur de la FIBA-Afrique pour les besoins de la célébration du cinquantenaire de l’instance africaine de cette discipline.
Le Sénégal a été choisi en basket féminin meilleure équipe des cinquante ans. Les anciennes gloires seront fêtées jeudi par la FIBA-Afrique au cours d’une cérémonie.
( APS )