«En plus d’intégrer des mesures essentielles de lutte contre le terrorisme, il y a une approche préventive qui s’attaque directement aux causes sous-jacentes de la radicalisation et de l’avènement de l’extrémisme violent», soutient Coly Seck, directeur de Cabinet du ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur.
«Dans les programmes de développement visant à remédier à tous ces défis, on doit y intégrer des stratégies visant à les relever», ajoute-t-il. D’après M. Seck, le contexte géopolitique difficile des pays de l’Afrique de l’Ouest et du Sahel «aux causes multiples milite en faveur du plan de renforcement des capacités institutionnelles et une bonne gouvernance au niveau des frontières».
Il conclut : «Le Sénégal accorde un intérêt certain à la prévention de l’extrémisme violent, une des thématiques prioritaires dans le cadre de son mandat au Conseil de sécurité de l’Onu. Dans la même veine, il s’apprête à apporter sa contribution à la 5ème revue de la Stratégie des Nations unies de lutte contre le terrorisme prévue les 30 juin et 1er juillet 2016.»
«Dans les programmes de développement visant à remédier à tous ces défis, on doit y intégrer des stratégies visant à les relever», ajoute-t-il. D’après M. Seck, le contexte géopolitique difficile des pays de l’Afrique de l’Ouest et du Sahel «aux causes multiples milite en faveur du plan de renforcement des capacités institutionnelles et une bonne gouvernance au niveau des frontières».
Il conclut : «Le Sénégal accorde un intérêt certain à la prévention de l’extrémisme violent, une des thématiques prioritaires dans le cadre de son mandat au Conseil de sécurité de l’Onu. Dans la même veine, il s’apprête à apporter sa contribution à la 5ème revue de la Stratégie des Nations unies de lutte contre le terrorisme prévue les 30 juin et 1er juillet 2016.»