L’affaire du général Kandé muté à New Delhi comme attaché de défense revient encore à la place publique. Face aux militants de son parti à l’esplanade du grand théâtre de Dakar, le premier ministre s’exprimant sur la casquette de président du parti, les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (PASTEF) prévient les journalistes et médias qui l’ont cité dans cette affaire. « Je dis, s’ils osent ou s’ils ont l’audace, qu’ils écrivent ce qu’ils avaient écrit », prévient le patriote en chef.
Poursuivant son discours, il sonne la fin, de ce qu’il appelle l’impunité dans le secteur de la presse. « L’impunité est de trop dans la presse. J’invite les journalistes à consulter l’article 13 du Code de la presse. Au lieu de prendre des infos du genre que le général Kandé a été sanctionné par Ousmane Sonko parce qu’il combattait la rébellion. On vous demande des preuves, vous citez un site que personne ne connaît où il se trouve. Parce que Sonko ne me plait pas ou j’ai reçu de l’argent pour vilipender un citoyen, j’écris ce que je veux. C’est fini ces agissements », conclut le président du parti au pouvoir.
Poursuivant son discours, il sonne la fin, de ce qu’il appelle l’impunité dans le secteur de la presse. « L’impunité est de trop dans la presse. J’invite les journalistes à consulter l’article 13 du Code de la presse. Au lieu de prendre des infos du genre que le général Kandé a été sanctionné par Ousmane Sonko parce qu’il combattait la rébellion. On vous demande des preuves, vous citez un site que personne ne connaît où il se trouve. Parce que Sonko ne me plait pas ou j’ai reçu de l’argent pour vilipender un citoyen, j’écris ce que je veux. C’est fini ces agissements », conclut le président du parti au pouvoir.