Les dénégations véhémentes de Bass T. commencent à fondre comme beurre au soleil au contact des éléments béton des enquêteurs policiers dans l’affaire du meurtre cruel du bijoutier Ndongo Guèye.
Le présumé meurtrier confondu par plusieurs preuves matérielles et scientifiques compromettantes
Durant le fatidique rituel des séances de questions-réponses, Bass a réfuté catégoriquement la paternité du meurtre du jeune orfèvre devant les policiers. Mais, sans convaincre les redoutables flics de la Sûreté urbaine (Su). Qui lui opposent à chaque fois des preuves matérielles scientifiques, mais surtout compromettantes. Ils lui collent aussi de nombreux éléments irréfutables auxquels il peine ou plutôt est incapable d’apporter la moindre justification. Il se contente juste de livrer des explications tirées par les cheveux ou il préfère parfois garder le silence. Ce qui fait croire à nos interlocuteurs qu’il pourrait craquer à tout moment et passer aux aveux détaillés, au rythme où il est soumis au feu roulant des questions aussi vicieuses qu’embarrassantes des enquêteurs.
Ndongo tué à Pikine, transporté dans son véhicule sur la banquette arrière et abandonné sur la Vdn
Autant de choses qui maintiennent encore le suspect numéro 1 dans le collimateur des limiers. Qui croient dur comme fer tenir leur homme dans l’histoire du meurtre de Ndongo Guèye. Celui-ci a été bâillonné et étranglé à mort à Pikine. Son corps sans vie a été ensuite fourré dans un sac et posé sur la banquette arrière du véhicule appartenant à un de ses frères ; un véhicule qu’il conduisait au moment d’aller récupérer son pognon auprès de son collègue Bass. Il a été transporté dans ledit véhicule de marque Toyota Yaris jusque dans un endroit désert de la nouvelle Voie de dégagement nord (Vdn) de Cambérène, puis abandonné à l’intérieur de la bagnole par son ou ses bourreaux.
Ni argent ni or dans le véhicule, sauf des clés et des factures de commerce du défunt
Quand les agents du nouveau commissariat d’arrondissement de l’unité 15 des Parcelles assainies de Dakar ont été alertés de la découverte du corps sans vie à bord d’un véhicule sur la Vdn, ils se sont rendus immédiatement sur les lieux et ont délimité la scène de crime par un cordon de sécurité avant de procéder aux constatations d’usage des faits. Ils ont auparavant activé leurs collègues de la Division de la police technique et scientifique, qui ont effectué des prélèvements d’indices, des traces et autres empreintes de l’auteur de la boucherie. Tandis que les agents du service d’hygiène ont désinfecté les lieux. Sans oublier les sapeurs-pompiers qui ont acheminé le corps à la morgue de l’hôpital. Mais, au cours des constatations par les flics, ni de l’argent ni de l’or n’ont été trouvés dans le véhicule contenant la dépouille du jeune bijoutier.
Il a été bâillonné et non ligoté, aucune blessure apparente
Des clés, des factures de commerce appartenant au défunt et autres divers ont par contre été découverts dans la voiture. Celui-ci a été juste bâillonné et fourré dans le sac posé sur la banquette arrière de la caisse. Et contrairement à certaines informations distillées par-ci par-là, le jeune orfèvre n’a été ligoté ni des pieds ni des mains dans le dos. Et aucune blessure visible ou apparente n’a été constatée sur le corps. Comme en attestent les conclusions du certificat de genre de mort qui lient le décès à une « asphyxie mécanique par étranglement ; luxation du rachis cervical».
LES ECHOS
Le présumé meurtrier confondu par plusieurs preuves matérielles et scientifiques compromettantes
Durant le fatidique rituel des séances de questions-réponses, Bass a réfuté catégoriquement la paternité du meurtre du jeune orfèvre devant les policiers. Mais, sans convaincre les redoutables flics de la Sûreté urbaine (Su). Qui lui opposent à chaque fois des preuves matérielles scientifiques, mais surtout compromettantes. Ils lui collent aussi de nombreux éléments irréfutables auxquels il peine ou plutôt est incapable d’apporter la moindre justification. Il se contente juste de livrer des explications tirées par les cheveux ou il préfère parfois garder le silence. Ce qui fait croire à nos interlocuteurs qu’il pourrait craquer à tout moment et passer aux aveux détaillés, au rythme où il est soumis au feu roulant des questions aussi vicieuses qu’embarrassantes des enquêteurs.
Ndongo tué à Pikine, transporté dans son véhicule sur la banquette arrière et abandonné sur la Vdn
Autant de choses qui maintiennent encore le suspect numéro 1 dans le collimateur des limiers. Qui croient dur comme fer tenir leur homme dans l’histoire du meurtre de Ndongo Guèye. Celui-ci a été bâillonné et étranglé à mort à Pikine. Son corps sans vie a été ensuite fourré dans un sac et posé sur la banquette arrière du véhicule appartenant à un de ses frères ; un véhicule qu’il conduisait au moment d’aller récupérer son pognon auprès de son collègue Bass. Il a été transporté dans ledit véhicule de marque Toyota Yaris jusque dans un endroit désert de la nouvelle Voie de dégagement nord (Vdn) de Cambérène, puis abandonné à l’intérieur de la bagnole par son ou ses bourreaux.
Ni argent ni or dans le véhicule, sauf des clés et des factures de commerce du défunt
Quand les agents du nouveau commissariat d’arrondissement de l’unité 15 des Parcelles assainies de Dakar ont été alertés de la découverte du corps sans vie à bord d’un véhicule sur la Vdn, ils se sont rendus immédiatement sur les lieux et ont délimité la scène de crime par un cordon de sécurité avant de procéder aux constatations d’usage des faits. Ils ont auparavant activé leurs collègues de la Division de la police technique et scientifique, qui ont effectué des prélèvements d’indices, des traces et autres empreintes de l’auteur de la boucherie. Tandis que les agents du service d’hygiène ont désinfecté les lieux. Sans oublier les sapeurs-pompiers qui ont acheminé le corps à la morgue de l’hôpital. Mais, au cours des constatations par les flics, ni de l’argent ni de l’or n’ont été trouvés dans le véhicule contenant la dépouille du jeune bijoutier.
Il a été bâillonné et non ligoté, aucune blessure apparente
Des clés, des factures de commerce appartenant au défunt et autres divers ont par contre été découverts dans la voiture. Celui-ci a été juste bâillonné et fourré dans le sac posé sur la banquette arrière de la caisse. Et contrairement à certaines informations distillées par-ci par-là, le jeune orfèvre n’a été ligoté ni des pieds ni des mains dans le dos. Et aucune blessure visible ou apparente n’a été constatée sur le corps. Comme en attestent les conclusions du certificat de genre de mort qui lient le décès à une « asphyxie mécanique par étranglement ; luxation du rachis cervical».
LES ECHOS
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