L’affaire des 108 millions de francs CFA alloués par le gouvernement sénégalais pour soutenir les ex-détenus politiques a récemment enflé en polémique. Cette somme, destinée à aider les victimes de maladies graves ou souffrant de séquelles liées à leur incarcération, a été divisée en plusieurs tranches. Cependant, la répartition de cette aide a fait l'objet de vives critiques, notamment de la part de l'activiste Diop Taif, qui a accusé certains bénéficiaires d'avoir mal distribué les fonds. Ces accusations ont rapidement trouvé un écho dans les médias et les débats politiques.
Pour clarifier la situation, Coumba Ndoffène, membre du comité chargé de recenser les bénéficiaires et ex-détenus politiques, a pris la parole pour défendre la gestion des fonds. Selon lui, le processus de distribution a été transparent et basé sur des critères médicaux et sociaux rigoureux. Ndoffène insiste sur le fait que les fonds ont été attribués aux cas les plus urgents, en fonction de l’état de santé des ex-détenus. Il souligne également que cette première tranche de 108 millions n’était qu’un début et que d’autres aides seraient distribuées à l’avenir.
Cependant, l’accusation de Diop Taif, qui parle d’un "big deal" et d’une mauvaise gestion des fonds, a créé des divisions au sein de la communauté des ex-détenus. L’activiste a suggéré que certaines personnalités proches du camp de Mame Amy Dia auraient bénéficié d’une répartition injuste. Ces accusations ont été relayées par plusieurs acteurs politiques, dont le ministre des Finances, Cheikh Diba, et le Premier ministre, Ousmane Sonko, qui ont promis de vérifier la transparence de la distribution des fonds.
En réponse à ces critiques, Ndoffène a dénoncé l’attitude de Diop Taif, qu’il accuse de semer la discorde et de ternir l’image des membres du comité. Selon lui, le travail effectué par le comité a été honnête et fait dans l'intérêt de tous les ex-détenus. Le débat sur la répartition des 108 millions met en lumière la complexité de gérer l’aide publique et les enjeux politiques qui y sont liés. Le gouvernement devra sans doute apporter davantage de précisions pour restaurer la confiance et apaiser les tensions au sein de cette communauté.
Pour clarifier la situation, Coumba Ndoffène, membre du comité chargé de recenser les bénéficiaires et ex-détenus politiques, a pris la parole pour défendre la gestion des fonds. Selon lui, le processus de distribution a été transparent et basé sur des critères médicaux et sociaux rigoureux. Ndoffène insiste sur le fait que les fonds ont été attribués aux cas les plus urgents, en fonction de l’état de santé des ex-détenus. Il souligne également que cette première tranche de 108 millions n’était qu’un début et que d’autres aides seraient distribuées à l’avenir.
Cependant, l’accusation de Diop Taif, qui parle d’un "big deal" et d’une mauvaise gestion des fonds, a créé des divisions au sein de la communauté des ex-détenus. L’activiste a suggéré que certaines personnalités proches du camp de Mame Amy Dia auraient bénéficié d’une répartition injuste. Ces accusations ont été relayées par plusieurs acteurs politiques, dont le ministre des Finances, Cheikh Diba, et le Premier ministre, Ousmane Sonko, qui ont promis de vérifier la transparence de la distribution des fonds.
En réponse à ces critiques, Ndoffène a dénoncé l’attitude de Diop Taif, qu’il accuse de semer la discorde et de ternir l’image des membres du comité. Selon lui, le travail effectué par le comité a été honnête et fait dans l'intérêt de tous les ex-détenus. Le débat sur la répartition des 108 millions met en lumière la complexité de gérer l’aide publique et les enjeux politiques qui y sont liés. Le gouvernement devra sans doute apporter davantage de précisions pour restaurer la confiance et apaiser les tensions au sein de cette communauté.