La Fédération nationale des cadres libéraux (FNCL) du Parti démocratique sénégalais (PDS, pouvoir) a dénoncé, vendredi à Dakar, la tentative de ’’politisation’’ par l’opposition de l’affaire Malick Noël Seck et la ’’complicité coupable’’ de certaines organisations de défense droits de l’homme.
‘’C’est le lieu de déplorer l’attitude peu courageuse de ces leaders de l’opposition qui préfèrent se cacher derrière (…) pour défier les institutions de la République, menacer la paix et la stabilité nationale et qui en retour osent s’ériger en donneurs de leçons’’, a fustigé Sérigne Mboup, président de la FNCL.
Il s’exprimait lors d’un petit-déjeuner de presse, premier d’une série de rencontres que la FNCL compte désormais organiser sur l’entendue du territoire national pour échanger avec la presse sur des grandes questions de l’actualité.
Selon Mboup, l’ambition présidentielle ‘’ne doit pas s’accommoder d’attitudes aux antipodes des valeurs morales et républicaines’’.
La FNCL dénonce ‘’vigoureusement’’ la tentative de ’’politisation’’ par l’opposition et la ’’complicité coupable’’ de certaines organisations dites des droits de l’homme, notamment la RADDHO dans l’affaire Malick Noël Seck.
‘’Ce qui est rapproché à ce jeune garçon à savoir outrage à un magistrat et menace de mort est d’une extrême gravité pour tout républicain de bonne foi’’, a soutenu Serigne Mboup.
Malick Noël Seck avait été arrêté après avoir adressé, le 10 octobre dernier, une lettre intitulée ‘’Doléances du peuple sénégalais aux membres du Conseil constitutionnel’’ aux cinq sages de la juridiction.
Jeudi, après l’avoir déclaré coupable de ‘’menaces de mort et outrage à magistrat’’, le Tribunal des flagrants délits de Dakar l’a condamné à deux ans de prison.
Les cadres libéraux, qui ont regretté la ‘’mort tragique’’ du colonel Kadhafi, se sont réjouit de la libération du jeune soldat israélien Gilad Shalit et du ‘’rôle’’ joué par le Président de la République, Me Abdoulaye Wade, dans ce dossier.
( APs )
‘’C’est le lieu de déplorer l’attitude peu courageuse de ces leaders de l’opposition qui préfèrent se cacher derrière (…) pour défier les institutions de la République, menacer la paix et la stabilité nationale et qui en retour osent s’ériger en donneurs de leçons’’, a fustigé Sérigne Mboup, président de la FNCL.
Il s’exprimait lors d’un petit-déjeuner de presse, premier d’une série de rencontres que la FNCL compte désormais organiser sur l’entendue du territoire national pour échanger avec la presse sur des grandes questions de l’actualité.
Selon Mboup, l’ambition présidentielle ‘’ne doit pas s’accommoder d’attitudes aux antipodes des valeurs morales et républicaines’’.
La FNCL dénonce ‘’vigoureusement’’ la tentative de ’’politisation’’ par l’opposition et la ’’complicité coupable’’ de certaines organisations dites des droits de l’homme, notamment la RADDHO dans l’affaire Malick Noël Seck.
‘’Ce qui est rapproché à ce jeune garçon à savoir outrage à un magistrat et menace de mort est d’une extrême gravité pour tout républicain de bonne foi’’, a soutenu Serigne Mboup.
Malick Noël Seck avait été arrêté après avoir adressé, le 10 octobre dernier, une lettre intitulée ‘’Doléances du peuple sénégalais aux membres du Conseil constitutionnel’’ aux cinq sages de la juridiction.
Jeudi, après l’avoir déclaré coupable de ‘’menaces de mort et outrage à magistrat’’, le Tribunal des flagrants délits de Dakar l’a condamné à deux ans de prison.
Les cadres libéraux, qui ont regretté la ‘’mort tragique’’ du colonel Kadhafi, se sont réjouit de la libération du jeune soldat israélien Gilad Shalit et du ‘’rôle’’ joué par le Président de la République, Me Abdoulaye Wade, dans ce dossier.
( APs )
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