DAKARACTU.COM - Qui de l'Establishment ou du clan de Karim Meissa Wade faudrait-il finalement croire? Et pour cause! Il y a de cela 48 heures, une certaine presse faisait état d'un rebondissement dans le dossier de Wade fils, arguant qu'il aurait été blanchi.
En effet, il avait été écrit que dans le chapitre de DPW qui représente près de 400 milliards cfa sur les 694 collés sur la calvitie de Wade fils, il y aurait des rebondissements et non des moindres.
Il était annoncé que le Parquet qui avait requis la mise sous administration provisoire de DPW, a fait une autre réquisition le 25 juillet pour demander que cette mesure soit levée parce qu’aucun mouvement suspect n’avait été constaté entre DPW et les sociétés offshore logées aux îles vierges britanniques, réputées être des paradis fiscaux. Des sources ont confié à "L’As" que si le Procureur estime qu’il faut lever l’administration provisoire, c’est parce que DPW n’est pas la propriété de Karim Wade. Et l’interlocuteur de notre confrère de poursuivre que malgré la demande formulée par la société dubaïote, qui avait fourni tous les documents prouvant que l’entreprise n’est pas à Karim, le parquet spécial l'avait estimée irrecevable.
Ce que démentent catégoriquement des sources proches des officines du régime en place. Lesquelles soutiennent : "Après paiement du reste du ticket d’entrée d’un montant de 24,6 milliards et la domiciliation de la société DPW Dakar au Sénégal et non aux Iles vierges, le procureur spécial a demandé la levée de l’administration Judiciaire puisque DPW a accédé aux exigences de l’Etat du Sénégal et a même promis d’aider à l’enquête en cours..(les avocats de Karim ont interprété sciemment la chose de façon a induire en erreur l'opinion, en prétendant que c'est parce qu'on ne retient rien contre Karim Wade. Ce qui est totalement faux".
Poursuivant de plus belle, notre source renchérit: "Ces arrangements entre l’Etat du Sénégal et DPW, n'ont rien à voir avec la procédure judiciaire en cours contre Karim Wade, qui reste bel et bien poursuivi pour enrichissement illicite. La Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite continue, en ce qui la concerne, de mener son travail de façon sereine".
Qui a raison, qui a tort? La suite du dossier nous édifiera bien...
En effet, il avait été écrit que dans le chapitre de DPW qui représente près de 400 milliards cfa sur les 694 collés sur la calvitie de Wade fils, il y aurait des rebondissements et non des moindres.
Il était annoncé que le Parquet qui avait requis la mise sous administration provisoire de DPW, a fait une autre réquisition le 25 juillet pour demander que cette mesure soit levée parce qu’aucun mouvement suspect n’avait été constaté entre DPW et les sociétés offshore logées aux îles vierges britanniques, réputées être des paradis fiscaux. Des sources ont confié à "L’As" que si le Procureur estime qu’il faut lever l’administration provisoire, c’est parce que DPW n’est pas la propriété de Karim Wade. Et l’interlocuteur de notre confrère de poursuivre que malgré la demande formulée par la société dubaïote, qui avait fourni tous les documents prouvant que l’entreprise n’est pas à Karim, le parquet spécial l'avait estimée irrecevable.
Ce que démentent catégoriquement des sources proches des officines du régime en place. Lesquelles soutiennent : "Après paiement du reste du ticket d’entrée d’un montant de 24,6 milliards et la domiciliation de la société DPW Dakar au Sénégal et non aux Iles vierges, le procureur spécial a demandé la levée de l’administration Judiciaire puisque DPW a accédé aux exigences de l’Etat du Sénégal et a même promis d’aider à l’enquête en cours..(les avocats de Karim ont interprété sciemment la chose de façon a induire en erreur l'opinion, en prétendant que c'est parce qu'on ne retient rien contre Karim Wade. Ce qui est totalement faux".
Poursuivant de plus belle, notre source renchérit: "Ces arrangements entre l’Etat du Sénégal et DPW, n'ont rien à voir avec la procédure judiciaire en cours contre Karim Wade, qui reste bel et bien poursuivi pour enrichissement illicite. La Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite continue, en ce qui la concerne, de mener son travail de façon sereine".
Qui a raison, qui a tort? La suite du dossier nous édifiera bien...