
C’est un grand défi que se lance le metteur en scène rufisquois Mame Birame Diouf. Comme il l'a fait noter, lors d’une conférence de presse organisée le Jeudi dernier, « adapter la Grande royale sur scène est un grand défi ». D’autant plus que, avance Hamidou, directeur artistique du Grand Théâtre, par ailleurs neveu de Cheikh Hamidou Kâne, «l’expérience de l'adaptation de l'aventure ambiguë au théâtre a été une fois tentée en Côte d'Ivoire, mais ce fut un échec. Et Cheikh Hamidou Kâne l’a même reconnu ».
Mais, informe-t-il, « lorsque le projet nous a été présenté au Grand Théâtre, nous l'avons salué. Et nous sommes aux côtés de son initiateur afin qu'il réussisse». Parallèlement, monsieur Kâne salue « le courage et la pugnacité de l'initiateur ; c’est-à-dire Mame Birame Diouf», parce que continue-t-il, «ce n'est pas simple dans la mesure où c'est une chose que personne n'a jusque-là jamais osée au Sénégal».
Pour Mame Birame Diouf, le chapitre 10 de l’aventure ambiguë est le morceau. Ainsi, il signale : «c'est un chapitre très surréaliste que Cheikh Hamidou Kâne a intitulé « la voix et l'ombre ». La lecture de ce chapitre est accompagnée d’un questionnement. Et ce qui me concerne, j'ai essayé de pénétrer la pensée de l'auteur». Par ailleurs directeur de l'atelier du théâtre expérimental de Rufisque, Mame Birame Diouf souligne que « c'est une œuvre non seulement philosophique mais qui, sur le plan de l'éducation, renferme d'énormes valeurs. Moi-même, il m'est arrivé de vivre une histoire similaire à celle que l'auteur de l'ouvrage, Cheikh Hamidou Kane, raconte».
Des raisons suffisantes pour lui d’affirmer que «l'aventure ambiguë donne des leçons d'humilité, d'éducation. Je crois que si tous les jeunes s'inspiraient de la vie de Samba Diallo, de ce qu'il a vécu, pour se rendre compte que tout ce qu'on lui a fait subir, avait pour ultime objectif de lui donner une éducation, qui soit à la hauteur de ce que Samba Diallo représente».
Mais, informe-t-il, « lorsque le projet nous a été présenté au Grand Théâtre, nous l'avons salué. Et nous sommes aux côtés de son initiateur afin qu'il réussisse». Parallèlement, monsieur Kâne salue « le courage et la pugnacité de l'initiateur ; c’est-à-dire Mame Birame Diouf», parce que continue-t-il, «ce n'est pas simple dans la mesure où c'est une chose que personne n'a jusque-là jamais osée au Sénégal».
Pour Mame Birame Diouf, le chapitre 10 de l’aventure ambiguë est le morceau. Ainsi, il signale : «c'est un chapitre très surréaliste que Cheikh Hamidou Kâne a intitulé « la voix et l'ombre ». La lecture de ce chapitre est accompagnée d’un questionnement. Et ce qui me concerne, j'ai essayé de pénétrer la pensée de l'auteur». Par ailleurs directeur de l'atelier du théâtre expérimental de Rufisque, Mame Birame Diouf souligne que « c'est une œuvre non seulement philosophique mais qui, sur le plan de l'éducation, renferme d'énormes valeurs. Moi-même, il m'est arrivé de vivre une histoire similaire à celle que l'auteur de l'ouvrage, Cheikh Hamidou Kane, raconte».
Des raisons suffisantes pour lui d’affirmer que «l'aventure ambiguë donne des leçons d'humilité, d'éducation. Je crois que si tous les jeunes s'inspiraient de la vie de Samba Diallo, de ce qu'il a vécu, pour se rendre compte que tout ce qu'on lui a fait subir, avait pour ultime objectif de lui donner une éducation, qui soit à la hauteur de ce que Samba Diallo représente».
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