Le ministère de la Justice en collaboration avec le ministère de la Communication et de la Culture a organisé un atelier de partage du projet de loi portant sur l'accès à l’information.
Venu représenter le ministère de la Justice, le secrétaire d'État Mamadou Salif Sow révèle que « les impératifs de participation, de contrôle citoyen, de reddition des comptes, d’efficacité, de performance et de qualité du service public, ne peuvent être que si le droit à l’accès à l’information est bien organisé. »
Cependant, il précise qu’il s’agit pour le Sénégal de se doter d’une loi à l’information pour favoriser « l’émergence d’une administration moderne et d’un secteur privé performant ». Il justifie que « le retard accusé dans le processus d’acquisition de la loi » a causé « l’obtention de la faible note du Sénégal en matière d’information, 2/4 ».
Venu représenter le ministère de la Justice, le secrétaire d'État Mamadou Salif Sow révèle que « les impératifs de participation, de contrôle citoyen, de reddition des comptes, d’efficacité, de performance et de qualité du service public, ne peuvent être que si le droit à l’accès à l’information est bien organisé. »
Cependant, il précise qu’il s’agit pour le Sénégal de se doter d’une loi à l’information pour favoriser « l’émergence d’une administration moderne et d’un secteur privé performant ». Il justifie que « le retard accusé dans le processus d’acquisition de la loi » a causé « l’obtention de la faible note du Sénégal en matière d’information, 2/4 ».