Le Sénégal est devenu une référence en matière de route tant ‘’au niveau de l’intensité du réseau routier que de la qualité des routes’’, a indiqué le Chef de l’Etat, vendredi à Dakar Hann, lors de l’inauguration du Centre de contrôle technique de véhicules (CCTV).
‘’C’est une performance technique que nous avons adoptée depuis 2000, et qui est aujourd’hui retenue au niveau de l’Union économique et monétaire ouest africain (UEMOA)’’, a-t-il révélé.
Le choix de construire un réseau routier de qualité se justifie en raison de l’importante progression du parc automobile qui, de 180 000 unités de véhicules en 2000, est passé à 326000 unités en 2012.
A cet égard, il a rappelé que l’un de ses collègues lui avait porté la contradiction au moment où il plaidait pour que l’accent soit mis sur le réseau routier au niveau de l’Union Africaine, en affirmant que ‘’le plus important c’est de donner aux gens à manger’’.
‘’Si on cultive à des centaines de kilomètres des consommateurs, il faut transporter les produits pour les mettre sur le marché. Et on ne peut pas faire cela avec de mauvaises routes au risque de perdre toute la production’’, a expliqué le Chef de l’Etat.
C’est pourquoi il a réitéré son engagement à donner la priorité aux routes, au transport et d’assurer en même temps la sécurité des citoyens. ‘’L’automobile est très agréable mais, malheureusement, elle peut être un danger pour le conducteur, les passagers et les piétons’’, a-t-il rappelé.
Ainsi, il a émis le souhait de voir le ministre des Transports terrestres, des Transports ferroviaires et de l’Aménagement relever les statistiques des accidents de la route, pour en identifier les causes principales au Sénégal.
Cela devrait permettre aux pouvoirs publics de donner les conseils idoines pour amener les conducteurs à faire beaucoup plus attention pour ne pas mettre en danger les piétons ou les autres automobilistes, a-t-il estimé.
‘’L’automobile entraîne une responsabilité, et les organes qui la composent doivent répondre à leurs fonctions de façon harmonieuse’’, a souligné le Chef de l’Etat pour montrer l’importance du Centre de contrôle technique des véhicules.
L’équipement ultra moderne mis en place au niveau du centre, d’un coût de 3 milliards 200 millions de francs Cfa, va permettre de faire le diagnostic complet des véhicules tant au niveau interne qu’externe pour l’amélioration de la sécurité routière et de la qualité de l’air.
L’objectif du programme soutenu par la Banque mondiale est aussi d’arriver à ‘’un alignement progressif sur les normes régionales et internationales en la matière’’, avec d’autres centres prévus à Dakar et dans la région.
Le matériel en place permet, en effet, la vérification du dispositif de l’ensemble du véhicule, du dispositif de freinage aux polluants dégagés par le véhicule en décelant tous les organes défectueux, a expliqué le Chef de l’Etat. Il a salué ainsi le choix du Bureau Véritas chargé de gérer l’exploitation des activités du contrôle technique des véhicules sous la forme d’une délégation de service public d’une durée de 15 ans.
Afin de donner ‘’le bon exemple’’, le Chef de l’Etat a appelé les services de la Présidence de la République, de l’Assemblée nationale, du Conseil économique et social, du Sénat et de l’Administration qui disposent d’un important parc automobile à ‘’venir contrôler leurs véhicules’’. Il a rappelé l’accident de la route qui a coûté la vie à deux députés sur la route de Saint-Louis (Nord).
Des membres du Gouvernement, des transporteurs, des syndicalistes du secteur des transports et des membres d’associations de consommateurs ont assisté en masse à la cérémonie d’inauguration du centre implanté à côté du Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (CETUD) qui a piloté le projet.
‘’C’est une performance technique que nous avons adoptée depuis 2000, et qui est aujourd’hui retenue au niveau de l’Union économique et monétaire ouest africain (UEMOA)’’, a-t-il révélé.
Le choix de construire un réseau routier de qualité se justifie en raison de l’importante progression du parc automobile qui, de 180 000 unités de véhicules en 2000, est passé à 326000 unités en 2012.
A cet égard, il a rappelé que l’un de ses collègues lui avait porté la contradiction au moment où il plaidait pour que l’accent soit mis sur le réseau routier au niveau de l’Union Africaine, en affirmant que ‘’le plus important c’est de donner aux gens à manger’’.
‘’Si on cultive à des centaines de kilomètres des consommateurs, il faut transporter les produits pour les mettre sur le marché. Et on ne peut pas faire cela avec de mauvaises routes au risque de perdre toute la production’’, a expliqué le Chef de l’Etat.
C’est pourquoi il a réitéré son engagement à donner la priorité aux routes, au transport et d’assurer en même temps la sécurité des citoyens. ‘’L’automobile est très agréable mais, malheureusement, elle peut être un danger pour le conducteur, les passagers et les piétons’’, a-t-il rappelé.
Ainsi, il a émis le souhait de voir le ministre des Transports terrestres, des Transports ferroviaires et de l’Aménagement relever les statistiques des accidents de la route, pour en identifier les causes principales au Sénégal.
Cela devrait permettre aux pouvoirs publics de donner les conseils idoines pour amener les conducteurs à faire beaucoup plus attention pour ne pas mettre en danger les piétons ou les autres automobilistes, a-t-il estimé.
‘’L’automobile entraîne une responsabilité, et les organes qui la composent doivent répondre à leurs fonctions de façon harmonieuse’’, a souligné le Chef de l’Etat pour montrer l’importance du Centre de contrôle technique des véhicules.
L’équipement ultra moderne mis en place au niveau du centre, d’un coût de 3 milliards 200 millions de francs Cfa, va permettre de faire le diagnostic complet des véhicules tant au niveau interne qu’externe pour l’amélioration de la sécurité routière et de la qualité de l’air.
L’objectif du programme soutenu par la Banque mondiale est aussi d’arriver à ‘’un alignement progressif sur les normes régionales et internationales en la matière’’, avec d’autres centres prévus à Dakar et dans la région.
Le matériel en place permet, en effet, la vérification du dispositif de l’ensemble du véhicule, du dispositif de freinage aux polluants dégagés par le véhicule en décelant tous les organes défectueux, a expliqué le Chef de l’Etat. Il a salué ainsi le choix du Bureau Véritas chargé de gérer l’exploitation des activités du contrôle technique des véhicules sous la forme d’une délégation de service public d’une durée de 15 ans.
Afin de donner ‘’le bon exemple’’, le Chef de l’Etat a appelé les services de la Présidence de la République, de l’Assemblée nationale, du Conseil économique et social, du Sénat et de l’Administration qui disposent d’un important parc automobile à ‘’venir contrôler leurs véhicules’’. Il a rappelé l’accident de la route qui a coûté la vie à deux députés sur la route de Saint-Louis (Nord).
Des membres du Gouvernement, des transporteurs, des syndicalistes du secteur des transports et des membres d’associations de consommateurs ont assisté en masse à la cérémonie d’inauguration du centre implanté à côté du Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (CETUD) qui a piloté le projet.