Grâce à un faux compte Facebook, Libération a pu apprendre qu’un combattant sénégalais de l’Etat islamique, Abou Zeinab, a été tué lors de la fameuse bataille d’Al Sidra du nom de ce site pétrolier dont l’Etat islamique a tenté de s’accaparer.
Abou Zeinab n’est qu’un nom de guerre puisque l’individu en question (voir photo) se nomme Abdallah Sine. Ce dernier qui commandait un groupe de jihadistes dont Abdrourahame Mendy, cet ancien peintre qui se fait injurier à longueur de journées sur sa page Facebook où il multiplie délires et provocations, a été tué par l’armée libyenne. Abdallah Sine n’est en fait que la face visible du massacre. Avant lui, un autre combattant sénégalais, Zaid Bâ, de son vrai nom Hassane Bâ, avait été éliminé.
Visiblement très jeune, Hassane Bâ est le frère de Ibrahima Bâ, un autre égaré de Syrte.
Enfin, la troisième personne tombée en Libye est Hassane Diène qui s’était rebaptisé Abou Anais ou «le lion sénégalais». Celui-ci aurait rejoint l’Etat islamique en même temps que Abdourahmane Mendy. D’ailleurs sa famille, particulièrement un de ses oncles, s’est déchaîné sur la page Facebook de Abdourahmane Mendy qui avait publié une photo de Assane Diène, alors criblé de balles.
Dans la foulée, Libération a pu apprendre que le «chef» des Sénégalais, combattants pour le compte de l’Etat islamique, a frôlé de peu la mort. Abou Hatem, de son vrai nom Moustapha Diop, est depuis lors, sur un fauteuil roulant, paralysé qu’il est, comme on a pu le constater sur certaines photos.
Abou Zeinab n’est qu’un nom de guerre puisque l’individu en question (voir photo) se nomme Abdallah Sine. Ce dernier qui commandait un groupe de jihadistes dont Abdrourahame Mendy, cet ancien peintre qui se fait injurier à longueur de journées sur sa page Facebook où il multiplie délires et provocations, a été tué par l’armée libyenne. Abdallah Sine n’est en fait que la face visible du massacre. Avant lui, un autre combattant sénégalais, Zaid Bâ, de son vrai nom Hassane Bâ, avait été éliminé.
Visiblement très jeune, Hassane Bâ est le frère de Ibrahima Bâ, un autre égaré de Syrte.
Enfin, la troisième personne tombée en Libye est Hassane Diène qui s’était rebaptisé Abou Anais ou «le lion sénégalais». Celui-ci aurait rejoint l’Etat islamique en même temps que Abdourahmane Mendy. D’ailleurs sa famille, particulièrement un de ses oncles, s’est déchaîné sur la page Facebook de Abdourahmane Mendy qui avait publié une photo de Assane Diène, alors criblé de balles.
Dans la foulée, Libération a pu apprendre que le «chef» des Sénégalais, combattants pour le compte de l’Etat islamique, a frôlé de peu la mort. Abou Hatem, de son vrai nom Moustapha Diop, est depuis lors, sur un fauteuil roulant, paralysé qu’il est, comme on a pu le constater sur certaines photos.