Ce 9 juillet 2024, l’Agence nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD) a publié les résultats détaillés du 5ème recensement général de la population et de l’habitat (RGPH-5). Présidé par le ministre de l’Economie, du plan et de la coopération, Abdourahmane Sarr, le Dg de l’ANSD, Dr Abdou Diouf a présenté les principaux résultats issus du RGPH-5.
Selon les chiffres du rapport de 550 pages fournis par le Dr Abdou Diouf, directeur général de l’ANSD, la population totale en 2023 au Sénégal est de 18.126.390 personnes constituées de 50,6% d’hommes et de 49, 4 % de femmes. Sur cette population sénégalaise très jeune, 1 sénégalais sur 2 a moins de 19 ans et 75% de la population est âgé de moins de 35 ans. Cette population est majoritairement urbaine à 54,7%. Cependant, il est à noter que les trois régions que sont Dakar, Thiès et Diourbel abritent 45% de la population sénégalaise. Près d’un sénégalais sur deux s’active dans l’agriculture 44,5%. Ses principaux résultats sur les caractéristiques socio-économiques, les conditions d’habitat et sur les caractéristiques démographiques.
Par rapport à la nuptialité, le Dg révèle que l’âge au premier mariage a augmenté de deux ans entre 2002 et 2023.En fait, chez les femmes, il est de 23 ans alors qu’il était de 21 ans en 2002. Cette situation découle principalement de la présence de plus en plus significative des femmes à l’école retardant naturellement l’âge au premier mariage. Pour ce qui est de la fécondité, l’on constate qu’entre 2002 et 2023, l’indice synthétique de fécondité qui exprime le nombre moyen d’enfants qu’a une femme à la fin de sa période féconde est passé de 5,3 enfants en 2002 à 4,2 enfants en 2023 avec un indicateur qui varie, selon les milieux de résidence. A Dakar, en 2023, l’indice synthétique de fécondité est de 2,8 enfants par femmes.
Selon les chiffres du rapport de 550 pages fournis par le Dr Abdou Diouf, directeur général de l’ANSD, la population totale en 2023 au Sénégal est de 18.126.390 personnes constituées de 50,6% d’hommes et de 49, 4 % de femmes. Sur cette population sénégalaise très jeune, 1 sénégalais sur 2 a moins de 19 ans et 75% de la population est âgé de moins de 35 ans. Cette population est majoritairement urbaine à 54,7%. Cependant, il est à noter que les trois régions que sont Dakar, Thiès et Diourbel abritent 45% de la population sénégalaise. Près d’un sénégalais sur deux s’active dans l’agriculture 44,5%. Ses principaux résultats sur les caractéristiques socio-économiques, les conditions d’habitat et sur les caractéristiques démographiques.
Par rapport à la nuptialité, le Dg révèle que l’âge au premier mariage a augmenté de deux ans entre 2002 et 2023.En fait, chez les femmes, il est de 23 ans alors qu’il était de 21 ans en 2002. Cette situation découle principalement de la présence de plus en plus significative des femmes à l’école retardant naturellement l’âge au premier mariage. Pour ce qui est de la fécondité, l’on constate qu’entre 2002 et 2023, l’indice synthétique de fécondité qui exprime le nombre moyen d’enfants qu’a une femme à la fin de sa période féconde est passé de 5,3 enfants en 2002 à 4,2 enfants en 2023 avec un indicateur qui varie, selon les milieux de résidence. A Dakar, en 2023, l’indice synthétique de fécondité est de 2,8 enfants par femmes.
S’agissant des conditions d’habitation, les sénégalais sont majoritairement propriétaires de leur logement. En revanche, en milieu urbain, 55% des ménages sénégalais sont propriétaires de leur logement et à Dakar, ce taux n’est que 38,8%. A l’échelle nationale, 77,7% des ménages ont accès à l’électricité variable selon les régions mais plus fortement à Dakar, Thiès et Ziguinchor.
Pour sa part, Le ministre de l'économie s’est félicité de la restitution de ses travaux du recensement général qui se fait sur 10 ans que le Sénégal. Pour lui, c’est un exercice très important parce que les données qui sont reconnues au niveau des populations permettent d'orienter et de quitter les politiques publiques à savoir les caractéristiques socio-économiques, les conditions d’habitat et les caractéristiques démographiques. Cela permettra aux autorités de se concentrer pour satisfaire les besoins des populations.
Pour sa part, Le ministre de l'économie s’est félicité de la restitution de ses travaux du recensement général qui se fait sur 10 ans que le Sénégal. Pour lui, c’est un exercice très important parce que les données qui sont reconnues au niveau des populations permettent d'orienter et de quitter les politiques publiques à savoir les caractéristiques socio-économiques, les conditions d’habitat et les caractéristiques démographiques. Cela permettra aux autorités de se concentrer pour satisfaire les besoins des populations.