L'hôtel Terrou-bi a abrité la cérémonie de présentation officielle de la 4ème édition du Rapport sur l'état de l'environnement au Sénégal. Une occasion pour les acteurs de revenir sur la quintessence et l'utilité du rapport sur l'état de l'environnement au Sénégal.
Le gouvernement du Sénégal, conscient des enjeux et de la relation étroite entre la croissance économique et l'environnement dans le processus de développement durable, s'est engagé à renforcer les dispositifs existants, notamment en signant et en ratifiant diverses conventions régionales et internationales sur l'environnement.
L'engagement personnel du Président Sall dans la conception et la mise en œuvre du volet Environnement du Nouveau Partenariat National et international, témoigne également de la part de l'État du Sénégal, d'une volonté forte d'offrir aux populations un environnement meilleur pour une bonne qualité de vie.
En outre, le Sénégal a mis en place des cadres politiques, législatifs et réglementaires qui sont traduits par la formulation et la mise en œuvre de différents plans et programmes parmi lesquels on peut citer le Programme d'action national de lutte contre la Désertification (PAN/LCD). Le centre du suivi écologique (CSE) est engagée au côté du Ministère de l’Environnement et du Développement durable (MEDD) pour "mieux planifier le développement national en tenant en compte des menaces induites par les changements climatiques." C'est également, cette préoccupation constante pour le secteur de l'environnement et de la gestion des ressources naturelles qui a amené le Sénégal à placer la problématique environnementale au cœur de sa stratégie de réduction de la pauvreté.
Face à celà, "la gouvernance des changements s'opère à travers des cadres de concertation regroupant plusieurs acteurs, notamment la Plateforme Nationale pêche et de changement climatique (PNACC) , le cadre National sur les services climatiques (CNSC), la plateforme Nationale du dialogue Science-politique pour l'adaptation de l'agriculture et de la sécurité alimentaire au changement climatique (CCASA)..."
Ainsi, les impactés ont amené les acteurs de tout bord à adopter de nouvelles approches pour une meilleure prise en charge de la question à tous les niveaux.
Le gouvernement du Sénégal, conscient des enjeux et de la relation étroite entre la croissance économique et l'environnement dans le processus de développement durable, s'est engagé à renforcer les dispositifs existants, notamment en signant et en ratifiant diverses conventions régionales et internationales sur l'environnement.
L'engagement personnel du Président Sall dans la conception et la mise en œuvre du volet Environnement du Nouveau Partenariat National et international, témoigne également de la part de l'État du Sénégal, d'une volonté forte d'offrir aux populations un environnement meilleur pour une bonne qualité de vie.
En outre, le Sénégal a mis en place des cadres politiques, législatifs et réglementaires qui sont traduits par la formulation et la mise en œuvre de différents plans et programmes parmi lesquels on peut citer le Programme d'action national de lutte contre la Désertification (PAN/LCD). Le centre du suivi écologique (CSE) est engagée au côté du Ministère de l’Environnement et du Développement durable (MEDD) pour "mieux planifier le développement national en tenant en compte des menaces induites par les changements climatiques." C'est également, cette préoccupation constante pour le secteur de l'environnement et de la gestion des ressources naturelles qui a amené le Sénégal à placer la problématique environnementale au cœur de sa stratégie de réduction de la pauvreté.
Face à celà, "la gouvernance des changements s'opère à travers des cadres de concertation regroupant plusieurs acteurs, notamment la Plateforme Nationale pêche et de changement climatique (PNACC) , le cadre National sur les services climatiques (CNSC), la plateforme Nationale du dialogue Science-politique pour l'adaptation de l'agriculture et de la sécurité alimentaire au changement climatique (CCASA)..."
Ainsi, les impactés ont amené les acteurs de tout bord à adopter de nouvelles approches pour une meilleure prise en charge de la question à tous les niveaux.