20 ans d’enseignement à L’Université Cheikh Anta Diop de Dakar du Sénégal, 7 ans comme Ministre de la République du Sénégal,
15 ans aux Nations Unis au service du monde entier au nom du Sénégal,
0 années de reproches
Cela donne, avec un calcul arithmétique objectif, 42 bonnes années de constance dans la droiture. Qui dit mieux !
Nous avons noté avec regret certains propos, reprochant avec des arguments « PM » (petit modèle), à Mr Ibrahima FALL d’avoir attendu sa retraite pour venir faire de la politique.
Servir son pays, est un plat qui se mange de plusieurs manières. Parfois il est froid et doux ? Souvent chaud et piégé, du fait des rivalités et de l’opportunisme qui gangrène ce terrain.
Les gourmands qui s’y prennent mal, finissent toujours avec une arête de poisson coincée dans la gorge qui peut rendre les discours incompréhensibles et les gestes préférables.
Nous écoutons chaque jour des apprentis politiciens essayer de convaincre leurs pairs de militer très tôt en politique pour faire partie des futurs dirigeants du pays et/ou espérer ainsi gagner des points pour les aventures en première classe, classe affaire ou en classe économique dans ces « vol » qui mène vers les Richesses à Grande Vitesse. Seule invention que nous avons faite !
Mais nous restons toujours persuadés que ceux qui évitent de jouer des coudes pour se faire une place parmi les chasseurs de privilèges, sont inéluctablement les meilleurs « gardiens du temple » et de ses biens. En effet, les élèves qui ne levaient jamais la main aux interrogatoires du maitre finissaient pourtant constant sur le tableau d’honneur !
C’est quand les autres pêchent, que le maitre fait appel à eux pour corriger, tache à laquelle ils s’attèlent dans l’humilité. Le maitre ici c’est le peuple.
La corrélation entre un militantisme quasi juvénile et la preuve d’amour pour son pays, n’avoisine ni moins un (-1), ni un (1). Elle est plutôt proche de zéro (0).
Mais quand ceux qui ont failli opter pour « laisser faire », sont dérangés dans leur posture d’observateur par les cris d’appel au secours des populations impuissantes soumises à des conditions difficile, quand ces cris ont coïncidé avec une insomnie du sauveur qui s’apprêtait d’ailleurs à l’assaut, il devient tout simplement normal que ceux-là qui dérangeaient, s’inquiètent à leur tour au point d’enfiler les combinaisons de guerre, les cagoules et les gants.
Aucun sénégalais ne doit aujourd’hui accepter de croire qu’il n’a de CHOIX qu’entre les anciens « politiciens-politiciens ». Ce nouveau jargon qui est hélas absent du Larousse mais qui a bien une signification chez nous du fait des pratiques dégradantes auxquelles nous ont habitués les artisans dans la gestion des affaires de la cité.
Méditer rime certes avec yeux fermés, mais chaque sénégalais doit ouvrir les yeux et méditer sur son avenir, l’avenir de ses enfants et tout simplement l’avenir du Pays.
Il devient dès lors clair que rien ne doit nous être imposés quand nous avons le sentiment que notre société semble lutter de toutes ses forces CONTRE son propre développement et paradoxalement POUR le développement de ceux qui avaient pourtant juré la servir.
A partir de ce moment, le choix du peuple doit porter sur quelqu’un dont on sait qu’il fera plus que ce qu’on attend de lui. Ce profil ne se trouve guère parmi ceux qui ont milité dès leurs bas âges. Désolé !
Cet illustre homme dont personne ne doute de ses valeurs et de son éthique, nous semble le mieux placé pour porter cet espoir de tout le peuple sénégalais.
Le seul avantage de ses détracteurs sera le taux d’analphabétisme du pays qu’ils ont pu maintenir 50 ans durant, aux cimes des échecs.
C’est d’ailleurs pour cette raison que « ceux qui se sont réveillés » ont la lourde tâche d’informer. Ils doivent sensibiliser mon frère menuisier, mon cousin maçon et mes tentes vendeuses ou « écailleuses » de poisson, de Soumbédioune à Kayar, de Foundiougne à Dagana, de Sokone à Malem Hodar, que nous AVONS LE CHOIX !
« Bou REWMI amé ay tolof tolof, ba BENNO mounou féé am, YAKAAR tass, Pathie bou rèy ci Démocratie Sénégalaise di sookhé, ba takh TEKKI fi méti lol alors TAXAW TEMM dafay jot nak. »
Désolé ! Mais mes compatriotes qui ont un souci avec le wolof pourraient solliciter les services de Son Excellence l’Ambassadeur d’Isr.. au Sénégal.
La droiture est la colonne vertébrale de la réussite. Sans elle, le reste n’est qu’échec et perte ! Salam
djsarr@hotmail.com
15 ans aux Nations Unis au service du monde entier au nom du Sénégal,
0 années de reproches
Cela donne, avec un calcul arithmétique objectif, 42 bonnes années de constance dans la droiture. Qui dit mieux !
Nous avons noté avec regret certains propos, reprochant avec des arguments « PM » (petit modèle), à Mr Ibrahima FALL d’avoir attendu sa retraite pour venir faire de la politique.
Servir son pays, est un plat qui se mange de plusieurs manières. Parfois il est froid et doux ? Souvent chaud et piégé, du fait des rivalités et de l’opportunisme qui gangrène ce terrain.
Les gourmands qui s’y prennent mal, finissent toujours avec une arête de poisson coincée dans la gorge qui peut rendre les discours incompréhensibles et les gestes préférables.
Nous écoutons chaque jour des apprentis politiciens essayer de convaincre leurs pairs de militer très tôt en politique pour faire partie des futurs dirigeants du pays et/ou espérer ainsi gagner des points pour les aventures en première classe, classe affaire ou en classe économique dans ces « vol » qui mène vers les Richesses à Grande Vitesse. Seule invention que nous avons faite !
Mais nous restons toujours persuadés que ceux qui évitent de jouer des coudes pour se faire une place parmi les chasseurs de privilèges, sont inéluctablement les meilleurs « gardiens du temple » et de ses biens. En effet, les élèves qui ne levaient jamais la main aux interrogatoires du maitre finissaient pourtant constant sur le tableau d’honneur !
C’est quand les autres pêchent, que le maitre fait appel à eux pour corriger, tache à laquelle ils s’attèlent dans l’humilité. Le maitre ici c’est le peuple.
La corrélation entre un militantisme quasi juvénile et la preuve d’amour pour son pays, n’avoisine ni moins un (-1), ni un (1). Elle est plutôt proche de zéro (0).
Mais quand ceux qui ont failli opter pour « laisser faire », sont dérangés dans leur posture d’observateur par les cris d’appel au secours des populations impuissantes soumises à des conditions difficile, quand ces cris ont coïncidé avec une insomnie du sauveur qui s’apprêtait d’ailleurs à l’assaut, il devient tout simplement normal que ceux-là qui dérangeaient, s’inquiètent à leur tour au point d’enfiler les combinaisons de guerre, les cagoules et les gants.
Aucun sénégalais ne doit aujourd’hui accepter de croire qu’il n’a de CHOIX qu’entre les anciens « politiciens-politiciens ». Ce nouveau jargon qui est hélas absent du Larousse mais qui a bien une signification chez nous du fait des pratiques dégradantes auxquelles nous ont habitués les artisans dans la gestion des affaires de la cité.
Méditer rime certes avec yeux fermés, mais chaque sénégalais doit ouvrir les yeux et méditer sur son avenir, l’avenir de ses enfants et tout simplement l’avenir du Pays.
Il devient dès lors clair que rien ne doit nous être imposés quand nous avons le sentiment que notre société semble lutter de toutes ses forces CONTRE son propre développement et paradoxalement POUR le développement de ceux qui avaient pourtant juré la servir.
A partir de ce moment, le choix du peuple doit porter sur quelqu’un dont on sait qu’il fera plus que ce qu’on attend de lui. Ce profil ne se trouve guère parmi ceux qui ont milité dès leurs bas âges. Désolé !
Cet illustre homme dont personne ne doute de ses valeurs et de son éthique, nous semble le mieux placé pour porter cet espoir de tout le peuple sénégalais.
Le seul avantage de ses détracteurs sera le taux d’analphabétisme du pays qu’ils ont pu maintenir 50 ans durant, aux cimes des échecs.
C’est d’ailleurs pour cette raison que « ceux qui se sont réveillés » ont la lourde tâche d’informer. Ils doivent sensibiliser mon frère menuisier, mon cousin maçon et mes tentes vendeuses ou « écailleuses » de poisson, de Soumbédioune à Kayar, de Foundiougne à Dagana, de Sokone à Malem Hodar, que nous AVONS LE CHOIX !
« Bou REWMI amé ay tolof tolof, ba BENNO mounou féé am, YAKAAR tass, Pathie bou rèy ci Démocratie Sénégalaise di sookhé, ba takh TEKKI fi méti lol alors TAXAW TEMM dafay jot nak. »
Désolé ! Mais mes compatriotes qui ont un souci avec le wolof pourraient solliciter les services de Son Excellence l’Ambassadeur d’Isr.. au Sénégal.
La droiture est la colonne vertébrale de la réussite. Sans elle, le reste n’est qu’échec et perte ! Salam
djsarr@hotmail.com