L'avantage du Nigeria au coup de sifflet de son match contre l’Argentine (1-2), ce mardi, doit pouvoir servir de leçon. Les protégés de Gernot Rohr n’avaient besoin que d’un nul pour passer au prochain tour. Lionel Messi et Marcus Rojo les en ont empêché.
Bien sûr, la Colombie n’a ni Messi ni Rojo, mais peut compter sur l’altruisme de Radamel Falcao (Monaco), la vista de James Rodriguez (Bayern Munich) ou encore l’explosivité de Juan Guillermo Cuadrado (Juventus). Tout cela combiné aux plus de 65 mille supporters qui sont en Russie pour les besoins de la Coupe du Monde.
Surpris par le Japon (2-1, 1ère journée), José Pekerman a remanié son équipe face à la Pologne (3-0). Avec quatre changements dont le retour de James Rodriguez (mollet). Le coach des Cafeteros compte en outre sur le retour de suspension du taulier de l’entrejeu Carlos Sanchez. Un arsenal qui veut faire feu en direction de la cage des Lions. Les attentes placées dans le groupe d’Aliou Cissé dépassent les limites géographiques. Après les revers à répétition, synonyme d’élimination de l’Egypte, du Maroc et de la Tunisie, les Supers Eagles étaient l’avant dernier joker du continent africain. L’Argentine a eu le dernier mot à la 86e minute, suffisant pour mériter « doigt d’honneur » et malaise de la part de la légende Diego Maradona.
Les Lions sont aujourd’hui dans la même situation qu’au Mondial 2002. Un nul face à l’Uruguay (3- 3) avait suffi. Par contre, durant la CAN 2015, cela ne s’est pas passé comme prévu – défaite contre l’Algérie (0-2). L’exemple et le contre-exemple sont sur leur tableau de bord. A eux de prendre la bonne direction!
Bien sûr, la Colombie n’a ni Messi ni Rojo, mais peut compter sur l’altruisme de Radamel Falcao (Monaco), la vista de James Rodriguez (Bayern Munich) ou encore l’explosivité de Juan Guillermo Cuadrado (Juventus). Tout cela combiné aux plus de 65 mille supporters qui sont en Russie pour les besoins de la Coupe du Monde.
Surpris par le Japon (2-1, 1ère journée), José Pekerman a remanié son équipe face à la Pologne (3-0). Avec quatre changements dont le retour de James Rodriguez (mollet). Le coach des Cafeteros compte en outre sur le retour de suspension du taulier de l’entrejeu Carlos Sanchez. Un arsenal qui veut faire feu en direction de la cage des Lions. Les attentes placées dans le groupe d’Aliou Cissé dépassent les limites géographiques. Après les revers à répétition, synonyme d’élimination de l’Egypte, du Maroc et de la Tunisie, les Supers Eagles étaient l’avant dernier joker du continent africain. L’Argentine a eu le dernier mot à la 86e minute, suffisant pour mériter « doigt d’honneur » et malaise de la part de la légende Diego Maradona.
Les Lions sont aujourd’hui dans la même situation qu’au Mondial 2002. Un nul face à l’Uruguay (3- 3) avait suffi. Par contre, durant la CAN 2015, cela ne s’est pas passé comme prévu – défaite contre l’Algérie (0-2). L’exemple et le contre-exemple sont sur leur tableau de bord. A eux de prendre la bonne direction!